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Chambre n°5

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Dante McCry
Dante McCry

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Masculin Age : 41
Date de naissance : 18/01/1983
Messages : 1085

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MessageSujet: Chambre n°5 Chambre n°5 EmptyDim 25 Déc - 22:10

Chambre n°5


Dernière édition par Dante McCry le Lun 30 Jan - 18:28, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Chambre n°5 Chambre n°5 EmptyMar 27 Déc - 16:20

j'arrivais dans ma chambre après une fête mouvementé j'était très fatigué .J'arrivais alors a ma chambre les cadeaux sous le bras ,je les posais contre mon lit j'était seul je massis sur le rebord de ma fenetre il neigeait j'adore la neige elle me rend un peu melancolique parfois je la regardais tomber
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MessageSujet: Re: Chambre n°5 Chambre n°5 EmptyLun 2 Jan - 19:16

Apres avoir ouvert mes cadeaux qui n'étaient pas franchement nombreux en passant je dégainais mon sabre de son fourreau et essayais quelques mouvements avec.Bien que j en ai jamais au grand jamais utilisé je me débrouillait bien a mon plus grand étonnement mes mouvements assez basiques étaient quand même assez lent,j aimerais m’entraîner mais qui pourrais mentrainer?
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MessageSujet: Re: Chambre n°5 Chambre n°5 EmptyDim 12 Fév - 22:34

    Réveillé par l'heure qui se faisait tardive, je me redressais en position assise, m'étirant et baillant à bouche grande ouverte, je posais ma nuque entre mes mains pour regarder la créature d'à côté de moi dormir paisiblement. Oui, à peine arrivé, j'avais déjà une fille dans mon lit, que voulez-vous ? Caressant ses cheveux argentés et sa peau pâle qui contrastait avec la mienne, hâlée, je soupirais silencieusement tout en allant dans la pièce d'à côté pour me laver, une serviette prise par la même occasion. Posant la serviette sur le bol de l'évier, je pris part dans la cabine de douche, allumant l'eau chaude rapidement et, le jet d'eau sur ma tête me faisant soupirer d'aise, je me coupais des évènements extérieurs, me ressassant comment Sen en était arrivée jusqu'à ma chambre.

    Déjà, dans le couloir, je la voyais galérer à chercher ses clés dans son sac et à voir sa tête, elle n'avait pas envie de se fouler. Ses longues jambes recouvertes par son jeans, sa chemise blanche par dessus son veston lui donnait de grands airs soignés mais elle n'avait pas un caractère très strict, ce qui avait adoucis mon point de vue porté sur elle. Ses longs cheveux gris lui arrivait en bas du dos, sa petite frange sur le côté repoussée légèrement vers sa tempe, ça m'avait attiré et lorsqu'elle s'est retourné, j'avais pu croiser son regard carmin, qui avait en l'espace de dix secondes vacillé au rouge écarlate. Elle semblait animée par une envie soudaine et, arrêtant ses occupations, elle s'était mise à marcher vers moi et une chose en ayant entraîné une autre, drague mutuelle, nous en étions arrivés à maintenant. Elle m'avait révélé qu'elle était malade de nymphomanie, je m'en fichais un peu puisque d'une certaine manière, ça ne durerait qu'une nuit, idée qu'elle partageait complètement.

    Ma douche finie, ce fut une serviette autour de ma taille et en sortant de la salle d'eau que je vis que Sen était partie de la chambre très rapidement, aucune de ses affaires n'avaient été oublié, heureusement me direz-vous. Une fois habillé, je partis vers la fenêtre et l'ouvris pour siffler Akamaru qui s'était enfuit, ayant compris que j'allais être occupé pendant un moment. Celui-ci m'entendant, pris appuie contre l'arbre pour sauter et me rejoindre dans la chambre en peu de temps qu'il n'en faut pour le dire.

    - Allons manger, je crève la dalle de ses morts !

    Le chien me suivait et fermant la porte derrière-moi, je partis vers le réfectoire en baillant un peu, légèrement ensommeillé de ma levée, aiight !
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MessageSujet: Re: Chambre n°5 Chambre n°5 EmptyMar 10 Avr - 20:16

    Alors que j’avais rejoins Kasumi, derrière nous s’agitaient encore les autres adolescents, toute fois dans le bon sens : la jeune fille m’avait écouté et était à présent en train de s’occuper du collier, sans doute pour se racheter quelque part des paroles non sans conséquences qu’elle avait osé prononcé tantôt. Concentrée sur mon chakra, mes oreilles entendirent cependant malgré moi les mots de cette dernière. On aurait dit des incantations ou formules magiques étranges... Ne m’y attardant pas, je me concentrai davantage sur ma tache afin de ne plus entendre que le son de mon énergie, la plaie ne se refermant pas aussi vite que je ne l’espérais. Je le savais… Ma technique n’était pas assez développée pour les dégâts de cette envergure… Des gouttes de sueur perlant déjà sur mon front tant j’utilisais mes forces, celui que je tentais désespérément de sauvé gémissait toujours et pleurait même à chaudes larmes, mettant mes efforts à rude épreuve. Comment voulez-vous que je me concentre dans cette situation ? De plus, bien que mon courage et ma détermination m’est amenés à surmonter le dégoût du sang, je n’en avais pas moins des relents d’estomac. Mon dieu, faite que tout ceci se termine et au plus vite ! Fermant les yeux pour ne plus avoir à faire face à la vue de cette plaie immonde, je sentis une autre énergie s’ajouter soudainement à la mienne. Elle était maladroite, peu sur d’elle et irrégulière. Soit elle était trop forte, soit pas assez et elle partait également dans tout les sens. Cependant, elle me permit de calmer les battements de mon cœur et de donner plus de boost à mon corps qui perdait peu à peu de sa vitalité : je n‘étais plus seule. Réussissant à se stabilisée au bout d’un petit moment, l‘énergie devint plus douce et un sourire fin mais bien présent s’ installa alors à la commissure de mes lèvres, sachant pertinemment que cette énergie n’était autre que celle de mon cousin de petit-ami. N’ayant pourtant pas une aussi bonne maîtrise des flux que moi, il avait tout de même joint son chakra au mien en suivant mon exemple afin de me soutenir et c’est grâce à lui que je rouvris d’ailleurs les paupières, constatant avec soulagement que la blessure cicatrisait à vue d‘oeil.

    En revanche, si celle-ci était enfin refermée, ma tête commençait à tourner, brouillant par instant ma vue sans gravité. Lorsque je me laissai retombée sur mes fesses pour reprendre mon souffle, les autres quittaient la salle un à un, ne nous demandant même pas si on avait besoin d’aide, ne serait-ce que pour soulever le blessé afin de le porter dans un autre endroit. Seule la jeune fille m’accorda un regard désolé pour me faire comprendre qu’elle avait échouée sur le collier et qu’elle nous remerciait tout les deux d‘être intervenus. Au passage, elle s’adressa à son agresseur en insinuant qu’elle regrettait se qu’elle avait dit auparavant mais qu’elle ne lui pardonnait pas, ce que je comprenais parfaitement. Était-ce mes paroles ou celles de Kasumi qui l’avait convaincu ? Aucune idée. Moi, j’avais simplement dis cela sous le coup de l’indignation, tout comme elle sous l’effet de la colère. Peu importait, le résultat était toujours le même de toute façon : elle retirait les méchancetés lancées à son égard. Abandonnés tout les trois, seuls et plantés dans cette même marre d’hémoglobine, c’est dans nos réserves que l’on puisait nos dernières forces afin de se relevés. Aidant Kasumi à soulevé le jeune homme en le maintenant par l‘autre épaule, je me rappelai soudain d’un petit détail et allai lentement récupérer le katana que j’avais plus tôt envoyer balader à l’autre bout de la pièce, hésitant à le rendre à son propriétaire mais ne voulant pas le laisser là. L’accrochant alors à ma taille, je revenais sur mes pas et reprenais ma place, titubant jusqu’à la sortie tant mes jambes ne supportaient même plus mon propre poids. Une sortie que je n’avais jamais autant attendue tellement on avait peiné à prendre la porte, nous retrouvant finalement dans les couloirs. Ayant utilisé trop de chakra en une seule fois, l’adolescent était pour moi comme une énorme masse de plomb que je devais pourtant assisté jusqu’à la fin, et son arme accroché à ma hanche ne faisait qu’en rajouté. Je ne préfère alors même pas vous parler des escaliers, un véritable calvaire qui me parut aussi long que l’éternité, ma vue se brouillant davantage et ma respiration devenant haletante. Nous qui voulions nous entraîner à utilisé notre chakra, on avait été servit !

* * *
    Un dernier effort nous séparait à présent de la chambre de celui qui s’appuyait sur nous, toujours conscient mais dans un état quelque peu second. Longeant le couloir de nos dortoirs, encourager par le fait que notre chambre n’était donc pas loin elle non plus, on arrivait enfin devant la bonne porte, Kasumi l’ouvrant sans difficulté puisqu’elle était par chance ouverte. Déposant le corps du nin-jutsuka sur son lit, on eut le courage de le recouvrir en plus de ses couvertures, moi vérifiant une dernière fois que les autres plaies n’étaient plus ouvertes. Au final, pas étonnant que nos corps n’en puissent plus, non seulement on avait unis nos énergie pour refermée la blessures la plus dangereuse, mais en plus on avait au passage guéri les plus superficielles. Ça c’était du travail d’équipe ! Mais j’étais malheureusement plus exténuée que Kasumi… Le désavantage d’être une femme, c’est que notre endurance est moins forte que celle de l’homme puisque notre masse musculaire est moins importante. Et puis, sans compter que j’avais auparavant soignée les plaies causées par les échardes sur l’autre adolescent ! J’aurai donc bien voulu relâcher l’effort une fois dans notre chambre mais plus rien ne répondait à ma volonté, laissant mes genoux touchés lamentablement le sol, me rattrapant cependant aux draps du second lit. J’avais l’impression d’avoir fais le tour du monde à la course à pied. Mes muscles tremblaient, ma respiration se faisait rare et mes membres étaient engourdis. En avais-je trop fais ? Étais-je à ce point là inconsciente de mes capacités ? A vrai dire, j’ai toujours connue mes limites mais quand je suis dans une situation d’urgence, je pense plus à secourir les autres que de me secourir moi-même. Se préoccupant de ma santé, mon cher amour de cousin s’était précipité tant bien que mal vers moi lorsque mes jambes avaient flashées, me demandant affolé si j’allais bien. C’est tout moi ça aussi… Je ne peux pas m’empêcher d’inquiéter mon entourage ! Kasumi répétait sa question, n’ayant hélas aucune réponse car je n’avais plus la force d’ouvrir la bouche, trop occupée à chercher mon oxygène. Lui adressant toute fois un regard en ouvrant un œil, je lui fis comprendre que j‘étais simplement vidée, me rassurant moi-même intérieurement. Ça va passer, j’ai juste besoin de repos…
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MessageSujet: Re: Chambre n°5 Chambre n°5 EmptyMer 11 Avr - 18:03

J'avais mal, très mal même . Je restait accroché au personnes qui m'avait soulevé sous aucun prétexte même . Mon bras, comme engourdi, restait crispé sur le bras du garçon venu a mon secourt et l'autre un peu moins sur la fille... mes pseudos béquilles m'aidaient vraiment, je les remercieraient jamais assez...Je voyais trouble, la fatigue le stress et la douleur n'arrangeant rien, mon regard était comme plongé dans un liquide épais, je vacillais de droite a gauche . Certes je n'avait plus de blessures physiques terribles, ou presque mais sur le plan mental et interne tout n'était pas encore au point .J'aurais sans doute pu me lever voir même marcher si je n'avais pas usé de quasi tout mon chakra dans le combat précédent . Même a moitié mort j'était et je restait un fardeau, pendant la traversée le garçon regarda plus attentivement mon sabre qui était toujours lumineux après le combat d'une couleur bleue cyan, il éclairait le couloir devenu sombre avec la tombée de la nuit . Je savais encore mal doser mon chakra que pouvais envoyer dans mon sabre faisant office de réserve . J'avais du mal a me repérer et ces couloirs me semblaient de vrais labyrinthe nous arrivions finalement a ma chambre il déposèrent sur le lit et se reposèrent sur celui ci ... Pour les remercier de leur geste et de leur aide j’attrapais mon sabre et extirpant le chakra de la lame, le donnais volontiers aux deux ninjustu ka qui en avaient bien besoin il y en avait peu mais c'était mieux que rien.....Âpres leur avoir donné le chakra ils commencèrent tout de suite a aller mieux moi et bien je récupérait comme je pouvais enfin oui récupérer est un bien grand mot je pouvais bouger un peu encore sous le choc mais bien vivant !
( crea: que fait on la ensuite ??)
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MessageSujet: Re: Chambre n°5 Chambre n°5 EmptySam 14 Avr - 18:28

    Et quand tu crois qu'il y en a plus, en voilà encore. Finalement débarrassé de Toshiro, Aoko vint à tomber au sol. La pauvre était épuisée, voire même exténuée par tout ce qu'on venait de faire. On avait voulu s’entraîner, avec nos chakra qui plus est et il était désormais vide. On avait presque plus rien en nous, comme force pour tenir debout. Surtout que elle, elle avait soigné quelques blessures déjà auparavant. C'est fou ce que en même pas deux heures, notre état physique et moral a pu se controverser On était motivé et prêt à tout, et là... on avait même plus assez de volonté ou de force pour faire semblant de sourire. Les jambes tremblantes, je me suis alors laissé tombé au sol, à côté de ma cousine et petite amie. Je lui demandais si ça allait bien, question conne vue que je voyais clairement que ce n'était pas le cas. Mais le but réelle de cette interrogation, c'était plutôt de savoir si oui et non elle était encore capable de parler. Soulagé en apprenant que oui, je me suis dis que vu que je n'étais pas dans une meilleure posture qu'elle, il fallait peut-être que l'on reste ici un moment. M'asseyant donc, le dos contre le deuxième lit tout comme elle, je fis passé mon bras derrière sa nuque histoire de pouvoir la serrer doucement contre moi. Signe de ma présence, en quelque sorte. Puis comme ça, j'étais en mesure de savoir si sa santé passait soudainement en déclin. Grand heureusement, ça n' arriva pas.
    Ce fut le contraire, en fait. Subitement, on retrouva quelques forces. Je crus d'abord que ce n'était qu'une hallucination, à cause de mon imaginaton débordante mais non. Un chakra bleu nous entourait les membres, nous redonnant un peu de ce qu'on avait gracieusement - ou pas - offert. C'était Toshiro, de son lit, qui nous envoyait des flux d’énergies. C'était sympa de sa part mais vraiment pas raisonnable. De nous trois, il était certainement celui qui en avait le plus besoin.

    Debout, car oui j'avais décidé de profiter de sa générosité, je me suis approché de lui et lui ai dis :

    - Merci Toshi. Repose toi bien surtout, on se voit bientôt.

    C'était direct mais court. J'avais pas le temps de papoter plus longtemps, il fallait que j’emmène Aoko dans notre chambre pour qu'elle aussi puisse se reposer. L'aidant à se mettre sur ses pieds, car on avait pas reçu des masses d’énergies non plus, je l'ai assisté couragement jusqu'à notre petit nid douillet. Étonnement, il était pas en bordel. J'avais de mon côté laissé mes affaires sur mon lit mais pas elle. Une bonne initiative qu'elle eut prit avant que l'on sorte. L'y allongeant donc, je fis comme pour Toshi et la borda, telle une mère et son enfant. Elle me souriait faiblement, le front chaud d'après le constat que je pus faire en posant mes lèvres contre sa peau.
    Fatigué moi aussi, c'est sans surprise que je me suis dirigé vers mon lit, le câlinant comme si il s'agissait d'un gros doudou. Ma pile de vêtements s'était donc rétamée sur le sol et mon petit PC portable également. Sur le coup, je me suis dis que ce n'était pas grave, mais je peux vous dire qu'au reveil... mon avis ne fut pas le même.

    - NON ! ORDINATEURICHOUUU ! Dépité, déprimé : j'suis dans le tambour de la machine, lessivé. Allume toi, s'il te plaiiiit !
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