...J'ai mal. Au ventre et aux jambes. Puis à la hanche aussi. L'arme me serre. Je me demande où est Lady d'ailleurs. Non, je m'en fiche. Je sais pas en fait. Peut-être bien que oui, peut-être bien que non mais j'ai pas l'envie de savoir. Descendant les escaliers avec mes béquilles donc pas facilement du tout, je cherchais la chambre de Genichi. A tout les coups, il est partit dehors où je ne sais où lui donc il doit pas y être. Retrouvant enfin son numéro, je rentra dans la pièce sans me gêner.

je dévalais les escaliers pour rejoindre le réfectoire au fur et a mesure que je descendait je senti que quelque chose m'y attirait comme une lampe avec un insecte et moi même si c'est un piège je m'y jette impatiente de voir qui était ou n'était pas la au réfectoire tout n'est peut être pas perdu après tout je sorti un carnet de dessin pour patienter las bas on ne sait jamais

J'arriva dans les escaliers avec Keichi, au moins j'allais enfin pouvoir me reposer.
Je montais les escaliers supportant le poids de Keichi, il n'était pas lourd quand même, au moins c'était facile pour l'aider à marcher ou autre déjà.
J'arrivais enfin à l'étage où les chambres étaient, je m'avança encore pour parcourir les couloirs.

- Harcèlement corporel? Non je ne connais pas. Mais je suis sûr que j'aimerais ça.

Je souriais et continuai arrivant dans le virage qui menait à ma piole et celle de Ethan. Bizarement, j'entendis mon CD tourner dans la chaîne HI-FI. Je trouvais étonnant qu'Ethan soit réveillé de si bonne humeur, mais encore plus étonnant le fait qu'il écoutais Right Said Fred. Alala! Ethan je t'aime de plus en plus tu sais mon cochon?! Je riais, gardant fermement le corps de Jenny dans mes bras. Pffiou elle me parlais d'hirondelle verte et bleu? C'était-elle droguée?! J'arrivai devant ma chambre, mimant les paroles du bout des lèvres. I'm too sexy my shirt, too sexy for my shirt .... Je toquai à la porte de ma chambre, savoir si je dérangeai où pas.

- Ethan?! Tu es visible mon cochon?!

Puis, je poussais la porte d'un coup de hanche épargnant Jenny, et la fit entrer la posant au sol avec ses béquilles et refermant derrière moi. Avant de voir ce carnage ...

Je faisais "rouler" (si je pouvais appeler ça comme ça) la valise dans l'escalier. Qu'est-ce qui m'avait pris de prendre une valise qui m'arrivait aux épaules et pesait plus lourd que moi ?!
Je m'arrêtais un instant, histoire de reprendre un peu mon souffle. Je repris ma montée sans beaucoup d'ardeurs pour finir par arriver tout en haut de cet interminable escalier. Je ressorti le plan. Je regardai le numéro de ma chambre sur la clé : Le numéro était effacé. SU-PER. Y a pas mieux. Je soupirai, où allais-je bien dormir ?

Je fini par aller dans un couloir, le premier que j'eus vu d'ailleurs.
Le bruit de ma valise qui roulait, le sentiment d'être épié... Un frisson parcouru mon dos : je me faisais peur moi-même. Qu'est-ce que j'en avais marre de tirer cette valise ! Je la lâchai, quand elle rencontra le sol, il y eut un grand "BAM". OK... Je la reprenais, quelle valise CHIANTE.

Malgrés mon sommeil plutot..... profond, j'étais trés fatiguée, je n'avais pas pris mes médoc', quelle négligence....
Je m'assis sur une marche de l'escalier, il n'y à pasbeaucoup de monde qui passe par ici est c'est tant mieux, je plaça ma tête en arriére, ma main ce glissa dans mes cheveux pour les détachaient, je les sentaient se séparer.
Quelle drole de journée j'ai eu et aucune trace de Qiang' je crois que j'ai la poise, mais au moin je n'ai eu aucune mauvaises rencontres.

Quand j'arrivai aux escaliers, je tombai nez à nez avec ma Chigi' qui rêvassait, le nez en l'air et les cheveux détachés. Tenant toujours le papier dans ma main, le papier où le nom du psychologue professionnel était marqué, je m'assis à côté de mon amie.
"Salut." dis-je simplement.
Nous restâmes de longues minutes comme ça, pensant à des choses que je ne pouvais pas soupçonner, et à ma discussion avec le surveillant légèrement strange. Cris un bon coup, chiale, revis le une dernière fois et ça ira mieux. Plus facile à dire qu'à faire, mister...

Je gambadais et courrais dans «l'école» jusqu'à ce que je me pète presque la gueule dans les marche d'escalier.
-Merde j'me rappelais pas qu'il y avait des escalier! Bizarre. . .
Je descendais donc les escalier pour allée. . . hum . . . . quelque part???????? En tout cas c'est bien supposer m’amener quelque part. . .

D'autres personnes auraient penser que la salutation que j'eus reçu été tout à fait normal mais j'avais décelé une fausse note dans se voix et même sa respiration n'était pas normal.

"Qu'est ce qui à Qiang'?"

Je posa mon regard sur elle, j'enleva une de mes méches blondes qui c'était plaçée sur ma tignace et nos respiration vinrent gacher le silence que la soirée nous offrez.

Quand elle pris la parole, ce fut pour me demander ce qui n'allait pas. je soupirai, puis lui dis:
"Bah, rien, c'est juste un de ces bxrdel de surveillants qui m'a retenue ... Il a aussi joué le psychologue. Rien de bien grave."
Je savais que ma figure disais le contraire, mais tant pis. voyant que je tenais toujours le papier dans ma main, je le glissai dans ma poche. je me tournai vers elle, lui souris, et lui demandai:
"Et toi, qu'est-ce que t'as fait pendant que j'étais le cobaye d'une séance psychiatrique face à un surveillant flippant ?"

" Ah ben ça, c'est e 6 éme sens féminin...... Comment il s'appelait ton psycho-surveillant?"

Les secondes semblaient tellement longue, que je me consentrais sur lecontraste de couleur que le soleil donnait à la piéce.

Après sa question, nous restâmes longtemps dans le silence. Devais-je lui dire, ce nom ou pas ? je ne sais pas si elle avait entendu parler de lui ou pas, et je ne voulais pas l'inquiéter inutilement. je regardais par la fenêtre au dessus de nous, une toute petite fenêtre qui faisait tout de même passer la lumière orangée du coucher de soleil. J'eus un moment de nostalgie en repensant à mon enfance, quand je galopais dans les rues, pieds nus, pendant que mon père courais après moi, soufflant comme un bœuf, rouge comme une tomate, ou comme une arbouse, comme je le pensais à l'époque. j'entendais encore mon rire, quand, abandonnant la partie, il s'arrêtait en me traitant de sale gamine, que je verrais en rentrant à la maison ce que ça fait de s'enfuir.
Revenant à la réalité, je regardais Chigiku avant de lâcher:
"Heu, je sais pas son nom, tu sais, il avait autre chose à faire que de me le dire..."
Devant son regard insistant, j'abdiquais, et dis dans un souffle:
"Dante Mc Cry"
Elle sourit, l'air de dire "Ah ben voilà ! Quand tu veux !". Je haussai les épaules devant son air fière d'elle, et repris ma contemplation des rayons du soleil. Quand on a rien à faire, hein ...

Tiens ce nom..... Mais oui !!! Miki m'en avait parler, a c'est bien ma Qiang' elle doit toujours avoir des ennuis en passant par les racailles jusqu'aux médecin, sérieusement, je m'inquiéte mais ne jugeons pas tout de suite ....

"Dante..... Ca me dit quelque chose...... C'était pas un poéte? "

A ce moment j'ai eu un sourire idiot pour la calmer encore un peu, mais bon cette maniére n'était pas la meilleure, je me demande ce qui a pu ce passer, ces quand même un surveillant, normalement.... ou peut etre est-il un démon?
Je me releva pour me mettre assise, mais ce couchais sur des marches c'est pas trés bon pour le dos.... Ma colonne vertébrale avait bien souffert, enfin bref le probléme c'était qu'avait il fait à mon amie.
Il pouvait etre un vieux qui ne savait rien de la vie qui plus est un pervers ou même tous l'inverse, enfin je n'étais pas voyante ni une shamane voyant le passé comme le futur.

"Bon qu'est ce qu'il t'a fait ?"