House Fukkou
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Couloirs

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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyMer 8 Fév - 6:31

    ( Pas touche a mon Stan, WAZAAAA >________________< )

    J'étais rester longuement dans la salle de détente avec Pip mais j'en tenais plus moi... Les poing serrer, je finissais par le repousser car franchement.. Je ne veux pas rester comme ça, c'est vrais quoi, c'est mon petit ami après tout. Me levant précipitamment, je leur annonça que j'allais le rejoindre mais en même temps qu'ils m'attendaient à leur tour ici. Je veux que personne sois blesser... JE soupirais, sortant alors de la salle de détente pour ensuite les chercher.

    J'avais donc regarder dans le réfectoire mais j'avais juste croiser un jeune homme ténébreux et après les gens discutais etc... pas de Stan et mec zarb en vue ! Soupirant encore une fois, je sortais donc très vite du réfectoire et aller donc chercher dans les couloirs. Après tout c'est souvent ici qu'il y a des bagarres non ? c'est à l’abri des regards presque ! Le cœur battant, je commençais à avoir peur mais fallait pas que je me défile, je suis pas faible, je suis pas faible... Je répétais ça sans cesse , jusqu’à que je vois Stan au loin, contre le mur dans une étrange position avec le mec qui avait lui un regard pas vraiment bien quoi...

    Je beugais, voilà le mot, étant légèrement "bousculer" par ce que je voyais, je pense que l'autre homme n'avais pas des idées clairs, mais je ne voyais rien du tout de là. Mes jambes refusaient de bouger mais je DOIS faire quelque chose merde ! Les mains tremblante, le cœur battant à mille à l'heure, l’envie de vomir remontant, j'avais les larmes qui commençais à me montes aux yeux, bordel, je suis entrain de péter un câble tout seul, je dois l'aider !! Je finissais par faire un pas, puis deux, je marchais vers eux avec hésitation, tremblant de partout. Je devais être vraiment con comme ça mais je m'en fou.


    - L-lache-le !! Dis-je assez fort pour qu'il m'entende.

    Il se retournait donc vers moi et directe je ne bougeais plus, j'avais peur oui, mais je ne voulais pas partir en courant, il ne touchera pas plus Stan que ça c'est moi qui vous le dit malgré tout ! Je vais peut être prendre chère mais, je dois le protéger tout comme il me protège moi.. Je suis quelque chose aussi là dedans ! Stan avait l'air d'avoir mal et un peu peur aussi, ce que je reprochais à l'homme, il est grand hein... Je re faisais un pas en arrière mais, je ne e lâchais pas du regard essayant moi de faire en sorte qu'il le lâche et passe à autre chose.. J'étais brulant, je pense que je vais cramer quelque chose si sa continue... Ma haine grandissait peut être un peu mais.. la peur était toujours là, tien bon Stan.


Dernière édition par Kyle Broflovski le Mer 8 Fév - 17:30, édité 1 fois
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Dante McCry
Dante McCry

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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyMer 8 Fév - 11:20

    (C'est Julian le beau ténébreux ? :B
    & J'interviens pour te dire, Kyle, que Elric a la capacité de démunir les races sup de leurs pouvoirs lorsqu'ils sont à ses côtés. En contrepartie, leurs pouvoirs vont en lui et peuvent à tout moment faire une bombe alors il faudra que tu édites la petite partie où tu dis avoir des flammes dans les mains. x))
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyMer 8 Fév - 12:39

Le jeune homme face à moi n'avait pas un comportement normal, des réactions de psychopathes pour ainsi dire. Il me semblait comme excité par ce combat, léchant même le mince filet de sang qui c'était écoulé au coin de sa bouche, comme si je ne lui avais fait aucun mal, ce qui quelque part était frustrant pour moi. Lui aussi avait bien l'air d'un habitué des bagarres, ce n'est pas tout le monde qui possède une telle agilité, et puis s'il se comporte ainsi avec toutes les personnes qu'il croise, ça m'étonnerait fort qu'il n'y ait pas un moment où des coups partent. Il parla de nouveau, mais cette fois-ci son compliment de début de phrase sonna comme assez singulier venant de sa bouche, vu qu'il n'avait cessé de m'en mettre plein la gueule depuis notre entrevu à la salle de détente. Un peu étonné, je gardai cependant mes émotions pour moi-même, car en se fiant à ses paroles, on peut facilement comprendre qu'il ne compte pas s'en arrêter là. D'ailleurs, il y eut un coup de pied parvenant de ma gauche mais je sus le parer, ma main se déplaçant vivement pour arrêter sa jambe, mais ce ne devait être qu'une feinte puisqu'il en profita pour me donner un nouveau coup, s'en suivit d'un croche pied.

Tombant en arrière, mon premier geste fut de m’agripper à mon adversaire, soit pour me rattraper, ou bien pour l'entraîner dans ma chute, tout dépendait de son équilibre et ce fut finalement la seconde hypothèse qui l'emporta. A présent plaqué au sol sous le poids du corps de mon ainé, un malencontreux acte soit dit en passant, mes doigts en avaient profité pour se mêler à la chaîne métallique de son collier par inadvertance, ce qu'il avait lui aussi remarqué et son regard se fit dur. Un air de rage bien plus pesant que plus tôt, il m'ordonna de lâcher son bijoux, bien que je n'y étais pour rien dans cette affaire et avant même que je ne lui obéisse ou répondre quelque chose, sa main se serra fortement à mon poignet comme s'il était capable de me le briser pour ne plus que je touche à son précieux collier. Intriguant. Me mordant doucement l'intérieur de ma joue, ma curiosité me poussa à tout de même jeter un regard à ce fameux pendentif de couleur grisâtre. En lettre creuses était gravée une inscription, que je pus lire en décalant un peu mes doigts. Ça me semblait être une appellation, "Hellrick Marsh". Attendez, arrêt sur image ... Marsh ? Pourquoi mon nom figure t-il à son cou ? Mes yeux s'écarquillant un peu, des tonnes de questions tombaient en chute libre dans ma tête. Est-ce qu'un hasard ? Ou bien la raison qu'il ne veuille pas que je touche à ce bijoux ? Ou même celle pour laquelle il s'en est pris à moi ?

Perplexe, j'étais un peu partis dans mes pensées, mes doigts ayant lâchés la chaîne du collier, et ce fut une légère pression à mon bas-ventre qui me fit remettre pieds sur terre. Son visage avait changé, de même pour son emprise à mon poignet qui s'était atténuée et en baissant les yeux, je cherchai ce que je sentais. Ne voyant rien de particulier si ce n'est nos bassins l'un contre l'autre, je compris soudain et de faibles rougeurs m'apparurent au coin des joues. Il .. bande ? Cette réaction me faisait deviner bien des choses, comme par exemple son orientation sexuelle qui était certainement similaire à la mienne mais en même temps, ça me mettait mal à l'aise, un petit stress s'installant pour de bon. Et meerde. Me collant d'avantage au sol en fronçant de nouveau les sourcils, une voix que j'aurais reconnus entre mille résonna soudain dans la salle, à mon plus grand malheur c'était la sienne, celle de Kyle. Je devrais être content mais ... Merde et re-merde, il m'a suivit ? Ça se présentait mal, j'étais déjà pas en très bonne situation, alors s'il intervenait ... Non, je ne le considère pas comme un boulet ou un être fragile, simplement que je sais qu'il a peur et puis je ne veux pas qu'il soit blessé, je dois le protéger. Le regardant, il tremblait de toute part, avant de faire un pas en arrière. C'est très brave Kyle, d'être ainsi venu à ma rescousse ... Touché mais évitant de le montrer, je reportai assez vite mes yeux sur mon vis-à-vis, profitant de son court moment d'inadvertance pour brutalement le pousser d'au dessus de moi d'un coup à son buste puis me levai précipitamment.

Courant dans la direction de Kyle, je l'attrapai au passage par son bras, continuant ma course tout au long du couloir pour en partir. C'est lâche, j'en suis conscient, mais c'est la sécurité de Kyle qui est en jeu et je ne plaisante pas avec ça. J'aurais peut-être une autre occasion d'en finir avec lui prochainement mais pas maintenant ... Mais je ne l'oublierai pas, ce type, qu'il compte là-dessus. J'avais un peu mal à plusieurs endroits, certainement que j'allai avoir des bleus, géniaaal. Ne m'en souciant pas, c'est lorsque l'on fut hors du couloir que je ralentis mon allure, ouvrant la porte qui menait au dortoir des élémentalistes, pour ainsi déboucher dans le chemin qui menait aux chambres. Pas pour regagner la notre mais surtout car c'est le seul endroit que j'ai trouvé sur le passage où il ne pourrait nous trouver, au cas où il se serait lancé à notre poursuite. Faisant quelques pas sans rien dire, je me tournai ensuite vers Kyle avant de l'enlacer, le serrant fort contre moi. Il me semblait toujours un peu secoué par les évènements, il avait dut avoir peur ...

"Merci ... C'était très courageux de ta part." Puis je me décalai un peu de lui pour le regarder, lui remettant une mèche en place. "Tout va bien j'espère ?"
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Julian de Rodez
Julian de Rodez

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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyMer 8 Fév - 14:55

En sortant du réfectoire, j'avais tout de suite monté les escaliers, rejoignant ma chambre. Plus capable de supporter plus longtemps la présence du bizu de première et de l'invitée qui invite. Le discret lui, le Daisuke, il passait. Mais c'était limite. J'arrivais juste à me voir Hikaru, peut-être aussi parce-que je m'y obligé mais sur son sujet, vallait mieux pas trop se pencher. Je préfère me voiler la face, ou la sienne, que de voir celle qu'elle est vraiment, prenant inévitablement le risque de passer une année de merde. Non non, c'était certes, une solution facile et peu orthodoxe, mais au lieu de voir la dépressive, alcoolique et toxico, je me contentais de fixer la belle blonde aux yeux bleus : Ma colocataire.

Sans suprise, elle n'était pas dans la chambre. Forcement. Elle était restée en bas, au refectoire, fumant sa clope près d'une fenêtre semi-ouverte, pensant - qui sait ? - à une nouvelle façon de se faire du mal. Une façon plus radicale de laquelle, je me détachais complètement. Si elle voulait mettre fin à ses jours pour un simple mec... c'était elle que ça regardait. J'avais beau me trouver des similitudes avec lui, c'était pas moi qui l'avait rendu ainsi. Je lui avais donné plus ou moins mon avis sur le sujet, implicitement, juste avant que nous nous endormions la veille au soir et c'était déjà bien assez.

En son abscence, je pus procédé à un rituel chiant mais nécessaire. Tout ce qui était dans mes bagages fut dispatché de part et d'autre dans la pièce, dans l'armoire, la commode, table de chevet ou salle de bain. De là, devant une chambre rangée par mes soins où chaque élément était à sa place, ou presque, je m'étais équipé de quoi me faire un petit plaisir. Non pas avec des capotes, ni même avec du fromage caprice des dieux, mais avec mon instrument. J'avais envie de jouer, de chanter plus exactement. J'avais des choses à faire sortir de ma petite bulle, à exprimer. Pas particulièrement intelligentes, ni même réfléchies mais qui, si elles ne sortaient pas dans l'heure en cours, risquaient de me rendre un tantinet plus susceptible que je ne le suis déjà. Je vous laisse imaginer mais interdiction de se moquer. Je suis pas une carte Leclerc moi, au cumul, t'as pas de réductions : T'as le taux d’intérêt.

Prenant mes clics et mes clacs, soit ma guitare, mon casque et une sucette, je fis l'effort de pour une fois fermer la porte derrière moi avant de descendre de nouveau les marches, mettant le pied dans un couloir encore inconnu au bataillon. Vu le bordel qu'on entendait... je ne pensais pas me tromper. La salle de musique, c'était dans le coin. Casque branchée, guitare dans le dos, je faisais ma petite marche, jetant sur le chemin le papier d'emballage de ma susu dans une poubelle suspendue à un mur grâce un vieux clou rouillé. Équilibriste le tas de ferraille. Je sais pas comment il faisait pour tenir mais en tout cas, il tenait. Et je n'eus pas osé effleurer ne serait-ce qu'un de ces contours pour eviter qu'il ne lâche prise. Trop de respect. Pour une poubelle oui, même si j'en vouais d'autant plus à ma gourmandise. Elle était à la fraise si vous voulez savoir, bonne et qui plus est, en jolie forme de coeur. Si ce n'est pas mignon, ça, hein ? Je parais pour un gentil petit bonhomme. Marcelino le retour. Pour mon excuse, car oui j'en ai toujours une, c'était un cadeau de ma petite soeur. En fait, elle m'en avait passé tout un paquet par peur que ' je ne meurs de faim sur la route '. Une intention partit d'une idée bête et un cadeau ma foie pas super précieux mais ça m'avait touché. De un, parce qu'elle est gourmande et de deux, car justement, ça avait dû lui briser le coeur de s'en séparer. Elle était entrée telle une ninja dans ma chambre pour les rajouter à mon casse-croûte, se croyant à l'abri de mon regard alors que je guettais ses moindres faits et gestes depuis la fenêtre du jardin avec un sourire en coin.

- Alala... avais-je soufflé doucement, une mine similaire à celle que je faisais en l'épiant sur le visage.

Mine qui ne s'éternisa pas. Tournant dans un angle, je faillis mourir sur place en m'étranglant faisant un mauvais geste avec ma sucette. Sourd de part la musique qui résonnait dans ma tête, je n'avais pas pu entendre les pas de la course effrénée des deux jeunes garçons qui faillirent m'entrainer avec eux. J'en avais reconnu un. Le même que celui que j'avais croisé en déguerpissant de la cantine, m'étant même fait la remarque que pour un roux, il était pas mal du tout. Et de près, il l'était d'avantage. Malheureusement, je n'eus pas le temps de le dévisager longtemps, ce premier se faisant traîner par le second garçon qui avait l'air de vouloir échapper à la mort. Intrigué, j'avais donc retiré mon casque de sur mes oreilles, le laissant se caler contre ma nuque. On pouvait alors entendre dans des grésillements peu agréables les basses de Faint interprété par le groupe Linkin Park.

Pas si sur de moi mais trop curieux pour résister à l'envie d'aller voir ce qui se passait quelques mètres plus loin, je fis la distance qui me séparait en fait non pas de la mort mais de mon hyper-anxieux. Ou du moins, ce qu'il restait de lui. C'est lui qui les a fait fuir ? ...Et qu'est ce qu'il fout par terre sérieux ?

- Un coup de main peut-être ? lui proposais-je, retirant ma sucette et tendant une main en sa direction.

J'avais plus l'habitude de demander " un coup de rein peut-être ? " mais là... ça ne me semblait pas être un moment propice pour faire une blague salace. Non, ça ne me semblait pas...
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyMer 8 Fév - 19:37

- Mais non! C'est pas grave, c'est juste un accident commun!

Elle est adorable n'est il pas ? Pas contrariante du tout, je regardais discrètement sa coiffure qui était blanche mais on pouvais apercevoir quelques mèches de plusieurs couleur ce qui pouvais annoncer que sa personnalités était très colorée, une fille haute en en couleur c'est le cas de la dire et puis j'eus une idée, allons dans un endroit qui sort de l’ordinaire, tiens la salle de musique et ça me dérouillera : je crois que j'étais pas trop mauvais a la guitare et cette musique on verra il y a sûrement un piano ! Je pourrais essayer de rejouer cette musique !

- Tu veux... aller où ?

- Je me disais on n'a qu'a aller dans la salle de musique ! Enfin si tu veut bien !

Bon le sort en était jeté attention roulement de tambour tatatatatatatataatatata ...(créa:c'est le bruit du tambour enfin je crois^^)
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Yuzu No Sôma
Yuzu No Sôma



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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyMer 8 Fév - 19:43

Toshiro me proposa d'aller a la salle de musique. Je n'avais rien contre, je n'avais pas encore été en plus. Je jetais un regard pour comprendre qu'il avait une fixation sur mes cheveux. Je trouvais cela un peu étrange mais ne dit rien, haussant discrètement un sourcil.

- Oui.

J'aurais pus dire d'accord, ou comme tu voudras mais je dis simplement oui. Je faillais dire un ouais qui me rappelait mon vocabulaire de gang mais j'avais opté pour le soft. De plus, le malaise était toujours là. C'était un peu aggaçant, toujours avoir peur de se transformer a tout moment. Je me demandais ensuite, lui, quest-ce qu'il avait de plus que les gens ordinaires? Puis on continua a marché pour arriver devant la salle de musique.

( le bruit de tambour c'est : taratata, ta oublier le ra )
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyJeu 9 Fév - 21:34

L'arrivé du roux l'avait bien distrait. Le Marsh avait levé son regard noir de colère vers lui. Bon, déjà que ça n'allait pas comme il voulait, d'après la face qu'affichait le petit mignon, il avait réussit à lire l'.inscription sur son collier mais au moins l'avait lâcher. Par contre il ne savait pas trop pourquoi ça semblait tant le perturber. Regardant le rouquin, il fut satisfait de la frayeur qu'il lui causait. Quoi que, sous cette angle, il était pas trop mal pour un roux. Fallait dire aussi que quand il avait des envies, il pouvait bien se taper à peu près n'importe qui. C'était décider, si le petit roux s'approchait, il le prenait comme otage. À voir comment ces deux-là agissaient, ils devaient sortir ensemble. Donc c'était une stratégie applicable. Le temps lui manqua par contre pour faire ce qu'il aurait voulu et Stan le bouscula. À cause de sa forte déconcentration, il ne pu répliquer et fut spectateur de la fuite des deux amoureux. Bien sûr il pensa à les poursuivre mais d'une certaine manière il était satisfait de la fin du combat. Il y aurait pu y avoir deux manières pour que tout ça finisse assez tragiquement. Le premier évènement aurait pu être évidement la perte de contrôle de son don, ce qu'il avait eu peur en voyant qu'il était assez près de deux personnes qui dégageait du pouvoir. La deuxième chose qui aurait pu tout gâché était seulement son emportement dans la bataille. S'il en serait venu à le frapper à coup de poing, que se soit l'un ou l'autre, il aurait pu gravement les blesser. La force qu'il utilisait en boxant était irrationnel pour son âge et contrôler par sa colère.

Elric soupira, toujours par terre et se surpris à avoir un court rire de bien être. D'être impliqué dans ce genre de combat l'amusait. En contre partie, si un adulte se serait présenté, une personne d'autorité, son anxiété aurait repris de plus belle. Des bruits de pas se faisaient entendre. Aucune chance d'être le mignon petit couple. Une musique aussi se faisait entendre. Du Linkin Park. La personne devait être potable. Son envie de sexe n'était pas encore passé et lorsqu'il leva les yeux sur la personne qui lui proposait de l'aide, un large sourire confiant s'afficha. Et si c'était pas son beau mec sombre et ténébreux ! Son jour de chance à ce qu'il pouvait voir !

- Ça ne serait pas de refus...

Julian l'aida à se relever sauf que avec son taux d'hormones remontés et la pensés moins réfléchit, Elric vint à coincé l'humain au mur derrière. Pour empêcher toute fuite, il plaça ses mains de chaque côté de sa tête et infiltra l'une de ses jambes dans l'espace des siennes. Il se tenait presque collé contre lui, le visage à a peine quelques centimètres. Il n'avait aucunement réfléchit avant de le faire et maintenant que c'était fait, il s'immobilisa. Ah mais putain... mais qu'est-ce qu'il était entrain de faire là ? L'adrénaline de son combat venait de retomber d'un coup et il se mit même à sentir une douleur à la mâchoire à cause du coup de poing de Stan. Le goût de sang en bouche qu'il aimait devint soudainement désagréable. Ses mains tremblèrent un peu, son coeur se mit à battre à tout rompre. L'anxiété le rattrapait. Dans sa tête, son discourt intérieur commença, sans qu'il soit capable de l'arrêter. '' Merde, qu'est-ce que j'ai foutu ? Qu'est-ce qui m'a prit ? Pourquoi je les ais nargués ? Pourquoi j'ai confrontés des inconnus sans raisons ? C'était quoi cette idée de merde ? C'était quoi cette bataille là ? Pourquoi j'ai fait ça ? J'aurais pu blesser gravement quelqu'un. On aurait pu se faire prendre. Il y aurait pu avoir des conséquences pour l'autre mec alors que c'était ma faute. Qu'est-ce que j'suis entrain de faire ?Pourquoi je suis entrain de faire ça envers Julian ? Pourquoi tout ça devait arriver ? J'pouvais pas juste fermer ma grande gueule ? '' Et ça continuait comme ça, en boucle, ses pensés devenaient de plus en plus noirs et les ruminer les assombrissaient. Son envie de sexe était autant tombé que son envie de combattre. Il ne savait plus quel comportement adopter et plus il se demandait quoi faire ou quoi dire en rapport à la manière dont il venait juste d'agir envers Julian et plus il s'enfonçait dans sa tête, prit dans ses pensés, ne savant que faire. Il restait figé dans une stupeur vicieuse.
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Julian de Rodez
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyVen 10 Fév - 19:40

- Ça ne serait pas de refus...

A cet instant, le roussi s'infltra dans mes narines. Ça sentait pas bon. Je dirais même que ça puait. Il y avait quelque chose dans sa façon de me parler, de me prendre la main qui n'allait pas. Et ni mon nez, ni mes oreilles, ni mes yeux ne me trompèrent là-dessus. A peine levé, il s'élança vers moi, me plaquant plus ou moins violemment contre le mur derrière. Ma guitare, comme si elle avait elle aussi eu un mauvais pressentiment, glissa le long de mon bras pour venir s’entremêler dans mes doigts. Je la tenais du bout de ceux-ci, serrant mon poing pour éviter qu'elle ne tombe au sol et se brise. Non pas que je tenais à cette guitare-là plus qu'à une autre, mais si elle se cassait tout de suite maintenant, ça risquait de très mal se passer pour Elric car c'est lui qui aurait été l’élément déclencheur. J'aurais peut-être pris cher aussi, comme je suppossais que ça allait se faire lorsqu'il me bloqua le passage, mais il aurait prit cher lui aussi. Huit ans de taekwondo, ça ne s'oublie pas comme ça. J'avais besoin de chanter et de jouer d'un instrument pour évacuer la pression. Pression qui je l'avoue et bien que cela puisse paraître paradoxale, se montrait moins oppressante que dans ma maison à l'autre bout du Japon avec ma propre famille. Du moins, jusqu'ici. Car la situation présente était quelque peu étouffante, surtout avec le genoux d'un autre tout près du sexe. Qu'est ce qui lui prenait ? Fronçant les sourcils, pas super content de me faire agresser de la sorte, surtout si violemment par une personne qui ne me semblait pas être de ce genre-là, je cernai vite son malaise. Il s’immobilisa, comme ça, subitement, comme si on venait de le foutre en arrêt image. Son visage était suffisamment près du mien pour que ses souffles viennent me dégager le front de ma méche mais ce ne fut pas le cas. Sa respiration n'échappa pas au reste de son corps. Il beugait. Cogitant surement sur le pourquoi du comment. J'étais prêt à lui crier dessus, à lui sauter à la gorge mais en le voyant comme ça... l'envie se défila. Certains peuvent juger que cela tient de l' " empathie ", moi je dis que ça tient de la " pitié ". Pas de raison que ce soit autrement.

- Parce que tu m'aimes.

Son expression faciale avait tellement l'air de dire " Pourquoi ? " que je n'avais pas pu louper l'occassion de sortir une connerie telle que celle-là. Une connerie balancée sous le plus sérieux des tons, soit dit en passant. Il y avait des chances pour que je me trompes sur le type de réponse à donner, et je le savais, mais je m'en foutais pas mal. Au pire du pire, si je ne répondais pas à la question qui se posait intérieurement, je lui dévoilais - qui sait ? - une vérité. ...La blague. L'auto-dérision humoristique est de sortie ce soir les gens, sortez les mouchoirs, il y aura de quoi pleurer de joie ou... inverse. A la place de " Qui me stopper ? " de La Fouine, j'ai toujours fredonné " Mais qui peut m'aimer ? " alors n'allez pas croire que je me faisais de fausses idées. Je blaguais. Néamoins, ça ne voulait pas dire que je n'avais pas conscience de son attirance pour moi. J'en avais une pour lui aussi. Déjà le jour de notre rencontre. Cela dit, j'étais pas pour autant chaud pour qu'il continue son affaire. Fallait qu'il se recule. J'aime pas me laisser dominer par les hommes.

Posant mon index doucement sur ses lèvres après avoir remis ma sucette à la bouche, je lui retirai le sang qui menaçait de couler sur son menton. Il s'était prit un pain et de toute évidence, pas un indolore. Serait-ce le couple qui avait fallit me percuter de plein fouet dans l'angle mort qui était coupable ? Probablement. Ils avaient l'air de fuir un monstre alors ça coïncidait assez. ...Sans vouloir vexer quiconque, il a pas l'air bien sympathique lorsqu'il contracte la mâchoire qui, d'ailleurs, allait bientôt finir par faire des castagnettes tant l'anxieté le prenait. Du calme mec, du calme. Ma guitare est toujours en un et unique morceau et mon humeur stable n'a pas décidé de me faire faux bond. Sortant ma sucrerie en même temps que le bras d'Elric pour pouvoir reprendre de l'air et poser mon étui contre la cloison de béton, lui, fit deux trois pas en arrière, me regardant faire juste avant que mes yeux, en voulant remonter vers son visage, n’aperçoive " l'engin ". Ah booon ! Crise de fou rire. Pouffant, j'eus le réflexe de mettre ma main devant moi, comme si elle allait pouvoir retenir le son de résonner dans les couloirs. Le Marsh était en rut.

- Je comprends beaucoup mieux pourquoi ils avaient l'air de fuir un monstre, lançai-je entre deux rires mals retenus.

C'est sur, là, je pouvais pas dire le contraire. L'éclairage pour une fois en notre faveur, enfin surtout en la mienne, me permettait de bien discerner la forme et donc inévitablement, la taille de son sexe. Elric Marsh, grosse kekette... pour sur, il est lui aussi pas 100 % asiat comme on entend dire celui-là. Regrettable dans l'unique sens où il dut subir ma moquerie que je tentais de faire pardonner puisque ça risquait de le faire devenir plus alarmait qu'il ne l'était déjà et que je n'arrivais pas à ménager un rire qui devenait de plus en plus en nerveux.

- J'suis désolé ! ...

Quand il y en a plus, il y en a encore. Nervosité, quand tu nous tiens... ha ha !
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyVen 10 Fév - 22:35

Rien ne s'arrangeait. Après sa petite bagarre provoqué et la réaction prompt et déplacé qu'il avait maintenant envers Julian, celui-ci déclarait sur le ton des plus grave, comme si la catastrophe de la fin du monde, le fameux deux-mille douze, le réchauffement climatique, le virus T, comme si tout ça convergeait sur lui au cause d'une phrase toute simple ou plus particulièrement, à cause d'un mot seul ''aime''. Aime est en relatif avec aimer. Dans ses croyances à lui, aimer n'existait pas. Ou du moins plus. Il l'avait rayer de son dictionnaire quand c'était de l'appliquer à une personne, plus précisément, envers une personne. De toute façon, l'amour était un sentiment créée de toute pièce par l'homme pour se sentir moins seul, tout comme il avait créée un dieu en qui croire pour ne pas tout simplement perdre tout espoir en un quelconque avenir. L'amour était le résultat d'un processus chimique d'hormones sécrétés par le corps, ses différentes glandes et même sa peau, pour pouvoir subvenir à des besoin de base primaire de la pyramide de l'équilibre de l'homme. Pour compléter, le sentiment d'amour n'était qu'une pure hypocrisie servant à manipuler en mettant tous remords de côtés, permettant de jouer à sa guise dans tout les six émotions primaires ; la joie, la peur, la colère, la tristesse, le dégoût et la surprise. L'amour pouvait se voir dans toutes ces facettes, preuves qu'elle était factices.

D'un autre côté, il avait l'image bien claire dans sa tête de son premier et unique amour, seule personne à lui ayant fait éprouver des sentiments qu'il n'avait jamais connu avant, qu'il avait été ignorant même de leurs existences. Et cette personne était morte, par sa faute. Il avait tué son amour et enterré le sentiment de pouvoir aimer à nouveau avec lui. Son premier amour, Phil, avait été comme un ouragan pour lui et une fois passé et entièrement disparu, dans les débris de lui-même il avait renoncé à rebâtir, préférant se cacher au plus profond de ses ténèbres intérieurs. Depuis, sa vie était comme un lac harcelé par un torrent démentiel de pluie, toujours trouble. Depuis, il ne savait plus très bien qui il était. Son impulsivité et son fort changement de caractère qui était souvent assez soudain, en était le résultat.

Toujours paralysé dans ses pensés, sans savoir que répondre car il n'y avait aucune réponse en lui, il fut comme réanimé par le toucher de Julian. Prit dans sa nervosité et dans sa tête, il n'y avait aucun mot à sortir, ce qui agrandissait encore plus son malaise. Par contre, ce n'était pas l'envie et l'état qui lui manquait pour tenter un rapprochement mais une chose invisible le retenait ; la peur. Ses yeux jubilaient de regarder cette bouche qui suçait le bonbon. S'il ne se concentrerait que sur ce fait, si son esprit le laisserait faire, les pensés seraient devenues des gestes. Elric n'eu pas le temps de se convaincre de le faire, que le beau ténébreux s'éloignait un peu pour reposer sa guitare qu'il avait bien faillit briser avec son geste irréfléchi. Alors il se recula un peu, n'arrivant pas à détacher son regard de sa silhouette. C'était ça, en oubliant un détail, détail qui fut vite remarqué par l'autre. Dès que le rire parvint à ses oreilles, il senti un changement en lui. C'était comme si une pierre lui était tombé sur le coeur. Ses poings se serrèrent, son visage se peignit d'une expression plus dure, ses yeux s’empreignirent de sa sourde colère que Julian n'améliorait pas en utilisant le mot ''monstre'' dans sa phrase.

- Si tu veux savoir à quoi ressemble un vrai monstre... je peux te montrer.

Son ton était agressif et une tension hostile s'installait autour de lui. En fait, on pouvait réellement sentir une impression d'orage. Le bleu glacial de ses yeux balançait un froid polaire. C'est à peine qu'il entendit et prit en compte l'excuse de Julian, trop enragé par sa moquerie. D'un mouvement vif et soudain, il s'avança et projeta son poing en direction de l'humain. De justesse celui-ci l'évita. Ses phalanges laissèrent leurs empreintes dans le mur ainsi qu'un peu de sang provenant d'une de ses jointures qui avait éclater. Son regard meurtrier s'accrocha aux prunelles si particulière de Julian. Autour du Marsh, une drôle d'impression de froid se faisait ressentir, comme la dépression de l'air avant une violente pluie. Dans un diamètre d'un mètre autour de lui, il y avait présence d'une tension lourde. Tension qui d'un coup explosa vers l'extérieur de se diamètre.

Une chance qu'il n'y avait personne dans les alentours. Pendant l'explosion, rient avait été visible en dehors du diamètre de protection du chaman, dans lequel s'était trouver Julian et une par chance. La pression du vent avait été très condensé. L'explosion avait duré que quelques secondes, laissant maintenant voir les dégâts. Les murs écopaient de longues et profondes entaillent, mais ici et là il y avait de drôles de traces noirs semblable à de fines cendres alors que dans l'angle du mur et du plancher, il y avait une résine de glace qui disparu vite. Pour sa part, le Marsh était étourdit. Il l'avait pas vu venir celle-là.

- ... Holy fuck...

Il papillonna des yeux, le décors lui étant flou. C'était comme la première fois. Sauf qu'il y avait quelque chose de différent. Julian était toujours en vie, contrairement à son premier amour. Le beau ténébreux avait eu la chance de se tenir dans son safe-space.
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Julian de Rodez
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptySam 11 Fév - 1:23

- Si tu veux savoir à quoi ressemble un vrai monstre... je peux te montrer.

- Sans façons mer-...

...merci, je crois que j'en ai assez vu. Ce qui, en vu, jeu de mots, de ce qui allait se passer, est ironique à souhaits. Son poing, oui, je n'eus pas de mal à l'esquiver bien que je ne m'y attendais pas mais je ne dois ça qu'à l'instinct de survie, aux bons réflexes. Je riais toujours, tentant de me contenir du mieux que possible et d'avantage en voyant qu'il commençait à très, très mal le prendre. Presque une aura noire dessinait ses coutours, n'inspirant aucune confiance, aucune sécurité. Il était là, sérieux, les poings serrés alors que moi je tenais d'une main une sucette, souriant encore. J'avais encore eu ce mauvais pressentiment, que quelque chose allait m'arriver. Quelque chose qui fallait à tout prix que j'évite : Son coup. D'un geste rapide et précis, je m'étais baissé, me décalant par automatisme vers le côté inverse pour éviter qu'il ne récidive avec une autre attaque. Initiative plutôt bonne en temps normal mais qui se montra ici complètement mais alors cooomplètement inutile. Une espece d’énergie, de puissance, se propulsa dans le couloir, écaillant les murs, grillant, cassant quelques ampoules accrochées au plafond. L'une d'entre elles, perchait non loin de nous, pendue par un fil fraîchement décroché, se balançait de droite à gauche, instaurant une ambiance que l'on se ressent qu'à travers les films. Les épouvantes, pour plus d'exactitude. La seule chose qui différait, c'est que c'était le calme après, non pas avant la tempête. Que rien allait nous surprendre maintenant. Hormis peut-être ma réaction mais on y était pas encore. La seule chose qu'on entendait, c'est lorsqu'elle se mettait à clignotait bruyamment, son circuit électrique à l'agonie, cherchant à continuer d'éclairer sa partie dans la douleur et les cris. Notre partie.

Notre partie, tant qu'on en parle, ne fut pas touché par la déferlante. Et heureusement j'ai envie de dire car je ne pense pas que j'aurais pu m'en sortir indemne. Ou même vivant tout compte fait. Ça avait tapé fort et à choisir entre le poing d'Elric et ça, j'aurais choisi son poing sans nulles hésitations. Bien que... dans tous les cas, c'était lui l'expéditeur de la alors qu'il n'avait en soit, aucune raison valable de me destiner ne serait-ce qu'une giflette. J'avais jutse ri. Rien de bien méchant. C'était même pas pour me foutre de lui, je trouvais ça juste... étonnant qu'il est des érections... précoces, dirons-nous. Puis la taille de l'engin m'avait aussi surpris. Dans la situation dans laquelle je me trouvais, en position de faiblesse donc, faut avouer que j'avais de quoi trouver ça drôle...ment ridicule. Ouais bon, vu de cet angle ça, c'est vrai que ça peut paraître pour de la moquerie. Je vais pas mentir : Je dis pas que ça l'était pas, mais je dis pas que ça l'était non plus. Et même si ça l'aurait été, je méritais pas de finir avec la machoire déboitée ou un le bas du corps ici et le torse au fond à droite du corridor.

C'est lui qui avait provoqué ça, j'en étais persuadé. Je m'étais donc retourné vers lui, validant moi-même mon hypothèse selon l'expression de son visage. Il n'était en rien choqué, juste chamboulé, ce qui peut se comprendre facilement. C'est même rassurant de savoir qui ne peut pas faire ça comme ça sans rien ressentir en contrepartie. Ce serait fou dans le cas contraire. Puis d'autant plus si il aurait été en mesure de le contrôler, vu que je suppose qu'il s'agit d'un " pouvoir " et que j'entends dire que certains les maîtrisent. Ce qui n'était pas son cas, visiblement. Sa réponse à ma question de l'autre fois devenu tout de suite moins potable : " Mon... don... Il est un peu compliqué... Mon don n'a pas d'importance tant que je suis avec des gens 'normaux' " Je suis ce qui a de plus humain dans ce monde. A fleur de peau. ...Et pourtant.

- ... Holy fuck...

- Holy fuck... ? Holy fuck ? C'est tout ce que tu trouves à dire ? Non mais t'es sérieux gars ?

Mon humeur commençait à brutalement changer de camp. Du blanc au noir, du rien au tout. Je me foutais qu'il papillonnait des yeux ou qu'il y voyait flou le Elric Marsh, grosse kekette ou pas grosse quequette, c'est la même ! Plus encore que son pouvoir s'était déclenché sans qu'il ne puisse rien y faire et qu'on se devait de le juger innocent par conséquent. Il s'était foutu en rogne, avait manqué de peu me balancer sa main dans le visage pour beaucoup moins que ça.

- Ton don n'est pas compliqué : Il fait des explosions, PUTAIN ! Il n'a pas, " pas d'importance " quand t'es avec un humain car JE SUIS un Humain et que preuve sous les yeux : J'AI FAILLIS CREVER A CAUSE DE LUI ! T'es complétement con, sale puce... ...eau de merde !

J'avais hésité sur le terme " puceau" , le volume de ma voix descendant au fur et à mesure que ma phrase se terminait. C'était venu comme ça vu qu'il était du genre à bander rapidement mais la définition n'était pas à prendre au pied de la lettre. Comme tout le reste en fait parce que quand je suis en colère... j'ai tendance à dire des trucs c'est... assez stupéfiants des fois tellement ça manque de logique. Mais là, pour une fois, ça passait. ...A un ou deux détails près.
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptySam 11 Fév - 14:42

Il pouvait comprendre sa colère mais sa moquerie allait trop loin. Le Marsh était déjà à bout de nerfs et une immense fatigue pesait soudainement sur lui. Depuis son arriver, il n'avait dormit que deux heure tout au plus et il n'avait encore rien manger. L'explosion de son don avait puissé dans ses réserve d'énergie et avait grugé presque tout ce qui lui restait. Son équilibre en souffrait et il se recula jusqu'à ce que son dos heurte l'autre mur contre lequel il se laissa glisser. Il croisa ses bras contre lui. Finalement c'était loin d'être son jour de chance et la situation empirait. Tout ça le déprimait. Il ne pouvait pas approcher les gens avec un pouvoir de peur que son don devienne incontrôlable mais aussi, il ne pouvait pas se permettre d'approcher les normaux. Tout aurait pu être encore plus catastrophique si Julian n'avait pas été près de lui. Il avait faillit le tuer. Il ne pouvait plus se permettre d'approcher quiconque. Ce serait mieux pour tout le monde. De toute façon, il n'avait besoin de personne. Il avait cru que le beau ténébreux et lui-même aurait pu être sex-friend mais rien de plus. Une chance qu'il avait toujours ses deux mains...

- Pour commencer... Ouais, c'est tout ce que j'ai trouver à dire, tu t'attendais à quoi ? ''Ah désoler, c'est con, quelque fois je maîtrise pas vraiment ma force'' ou un autre truc du genre qui semble tout droit sortit d'une mauvaise passe d'une série B américaine ? Sinon, désoler que ça s'est déclencher maintenant mais les deux poules mouillés que t'as surement croisé, eux ils étaient pas normaux, En plus j'suis pas puceau. C'est juste que l'expression toujours prêt comme un scout s'applique à moi...

C'était rare qu'il parlait autant, c'était rare aussi qu'il ressente le besoin de se justifier mais quand ça avait rapport avec les désastres provoqués par son don... Sa voix était faible et monotone. Il ne lui semblait même pas que c'était lui qui avait parler. Il avait une forte impression d'être détaché de son corps. Ses yeux restait fixé au plancher. Il ressentait d'être ailleurs mais nul part à la fois. Une sensation de vide s'installait à la place de son coeur. Elric culpabilisait fortement. Ses pensés révisaient les dégâts qu'il avait causé au couloir. Les profonde entaille, les drôles de traces de brûlures et les lignes d'eaux au plancher. Son imagination s'emballait sur un détaille par contre, il restait bloquer sur l'image de Julian mort s'il avait été toucher par son don.

Il avait évidement perdu son érection et son orgueil avait toujours une plaie béante dû à la référence comme quoi il était puceau. Et puis il ne semblait pas s'être bien défendu sur ce point. Il aurait dû dire autre chose. Il ne savait quoi mais n'importe quoi sauf ce qu'il avait dit. Ça ne l'avait surement pas aider mais juste calé encore plus.

- Va t'en.

Il ne savait pas quoi dire d'autre. Une forte envie de se tirer une balle le menaçait. Du sang continuait de couler de sa jointure éclaté comme s'il ne sentait pas de douleur ou qu'il n'en avait rien à foutre. Ce qui était vrai dans les deux cas. Il avait une irrésistible envie de se faire encore plus mal. Peut-être c'est ce qu'il ferait lorsqu'il aurait rejoint sa chambre. Il n'avait pas de contrôle sur son expression facial, qui reflétait assez bien le fond de ses sombres pensés.
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Julian de Rodez
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyDim 12 Fév - 12:34

Bah oui, bien sur que oui ! J'aurais milles fois mieux préféré un '' Ah désolé, c'est con, quelques fois je maîtrise pas ma force '' ou une réplique à la con de série B américaine que ce à quoi j'ai eu le droit comme réponse. Soit, du vent. Encore il aurait caché la vérité, je dis pas, mais là, il m'avait carrément mentit en décrétant que son pouvoir n'avait aucune importance tant qu'il était avec quelqu'un d'humain. Et à moins qu'il ne considère pas ma vie ou celle d'atrui comme quelque chose de notable, ou encore que je sois un être inhumain à ses yeux, il est clair que ce n'est pas le cas. Mais alors pas du tout. Suffisait de faire l'état des lieux pour s'en apercevoir et je vous le dis : même un aveugle aurait confirmé mes dires. Ça sentait le crâmé, la pierre... des odeurs qui ne doivent pas se faire sentir en temps normal. Cela dit, ça aurait pu être pire. Si je me serais tenu un mètre à peine plus loin que lui, l'odeur de ma peau, de mon sang, de la mort se serait mêlée à tout ça. Mais ça encore, c'était pas très grave. Ça aurait pas servi à grand chose que je l'engueule sur des choses qui ne se sont pas passées. Puis ce n'est pas comme si je tenais particulièrement à ma vie. Ce qui me foutait la rage dans cette histoire, en fait, c'est que tout ce qu'il avait trouvé à dire sur le coup, c'était un " holy fuck ". Il n'avouait même pas son tort, du moins... dans mes oreilles, ses excuses sonnaient pas comme tels. On aurait dit qu'il se moquait de moi, ironisant sur un conditionnel sur lequel moi j'étais sérieux. Il m'avait trompé et c'est pour ça que je lui en voulais.

Se laissant glisser le long du mur, ses fesses atterrirent au sol. Son regard se plongea sur quelque chose que je n'aurais pas voulu voir. Ça avait l'air de le faire peur, de le terrifier, et en même temps, de le vider de toutes émotions. Contraste marquant et confondu. On avait l'impression qu'il voyait tout et rien, qu'il ressentait, tout et rien à la fois. M'ordonnant dans un souffle de m'en aller, il ferma ses yeux une seconde, crispant les paupières. J'étais peut-être pas dans le meilleur état moral qui soit, mais lui n'était pas dans le meilleur état physique. Sa jointure saignait encore et j'ai envie de dire... tant mieux. Ça lui apprendra à être si agressif. C'est Ôh seigneur Dieu qui le puni pour l'acte qu'il comptait faire : Me déformer mon 'si mignon' petit visage.

Prenant l'étui de ma guitare, prêt à partir comme si rien ne s'était passé, je savais néanmoins que si je posais une énième fois non attention sur lui, je n'allais pas pouvoir détaler à ma guise. Pas à cause du besoin d'avoir la conscience bonne mais par défaut de caractère. Je m'étais entre temps attaché un minimum à lui et mon indifférence à son égard s'était transformé en son antonyme. Je suis comme ça, bien que j'essai de le cacher, autant aux autres qu'à moi-même : Philanthrope. J'essayais donc de l'ignorer, vainement, mettant comme il le fallait ma bandouillère sur mon épaule, collant mon casque à mes oreilles, refourrant à la bouche ma sucette à la fraise. Je voulais l'abandonner, le laisser comme tel pour le punir en quelque sorte mais je n'y arrivais pas. Pourtant, c'était pas peine d'avoir essayé, avouez. Mes pas avaient même commencé à se déplacer vers la salle de musique, mais rien y fait. Comme si l'attraction était contre moi, je dus m'arrêter et lui tendre encore la main. Je me haissais d'être incapable de faire autrement. Retirant écouteurs et sucrerie, je lui dis :

- Suis-moi et on reparlera.

Qu'il souhaitait ou non saisir mon aide fut de peu d'interet. Lui forçant la main, je le soulevais du sol, l'obligeant à se se dresser sur ses pieds. Je m'étais décidé, ou plutôt limité à juste lui soulager sa blessure. Après, pour sur, je me casserais dans la pièce décernée aux musiciens, qu'il aille ou non bien. Le tirant dans le couloir, c'est quand je perçus une indication menant aux toilettes communes que je nous fîmes tourner, ouvrant cette porte en le secondant de nouveau. Vous l'aurez comprit, c'est pas que je sois un gentleman, c'est juste qu'on m'a élevé comme ça. Les autres avant moi.
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptySam 18 Fév - 1:09

Quel joie de le voir accepter ce combat. Il retira alors sa main de sur lui, main qui se referme, jointures craquants d'impatiences. Son imagination s'emballait, pouvant déjà apercevoir différentes issus au combat à venir. Dans ses scénario, il était certain de gagner à moins... le scénario le plus catastrophe qui pouvait se produire, était un coup direct dans les côtes. Il ne voyait que ça pour faire pencher la balance. Il retira sa main de sur Stanley et s'apprêtait à parti quand quelque chose le percuta. Il l'avait vraiment pas vue arriver celle-là et en regardant il devait se rendre à l'évidence que c'était plutôt quelqu'un... Deux yeux rouge le fixaient, du sang s'écoula sur son visage, venant de la bouche aux dents de requins de cet étrange inconnu. Elric trouvait toujours satisfaisant de voir qu'il y avait pire dans le monde. Quoi que ce... monstre, du moins d'apparence, le dégoûtait assez. Malheureusement pour son estime qui venait de remonté un peu, son pouvoir qui était toujours actif, évidemment, sembla hautement dérangé le ''sympathique'' inconnu. Celui-ci hurla de douleur, ce qui fit soupirer le Marsh. C'était vraiment désespérant de voir que son don était pire que cette... ''chose'', ''chose'' qui décida de partir.

Elric passa une main sur son visage, essuyant le sang qu'il regarda ensuite. Son air blasé était revenu mais soudainement il eu un rire, lugubre, fou qui dura quelques secondes avant de s'arrêter d'un coup sec, rendant sa réaction un peu effrayante. Il planta ses yeux dans ceux du petit mignon et sur ses lèvres s'étira un sourire confiant et plein de défi. L'autre Marsh croyait vraiment qu'une chose comme ça allait lui faire peur ?

- J'ai déjà connu bien pire.

Et ce dans tout les sens du terme. Le fait d'avoir été renversé, il s'en foutait, c'était pas comme s'il s'était fait mal. Puis cette... chose... personne... malgré son apparence, ne pourrait jamais être pire que cette personne... que son père. Elric souleva ses pieds, prit une bonne respiration, arqua le dos et d'un mouvement brusque se retrouva sur pieds. Il se releva bien droit et fini d'essuyer le sang qui avait coulé de la bouche de Hunter sur lui. Puis il se remit en marche, tout naturellement, Stan le suivait. Lui, il savait où aller pour ce combat, il n'y avait pas d'autre lieu possible d'après lui-même. Ça devait se passer dans le couloir où ils avaient commencé la dernière fois. C'était un peu SON couloir. Il l'avait marqué. En tout cas, difficile de passer à côté, aucune réparation des dommages n'avait encore été faites. Les marques bien nette dans le mur y était encore, ainsi que les traces de suies. L'eau avait été épongé par contre ou s'était peut-être même évaporé toute seule... Il avait un sentiment de fierté face à ce spectacle, ce qui était tout le contraire de l'émotion qu'il avait eu sur le moment des faits. Peut-être qu'il en était heureux parce que ça donnait un effet de puissance. Il laissa glisser ses doigts sur l'une des entailles au mur. Il ne se culpabilisait plus de son explosion incontrôlé, de toute façon, il n'y avait pas eu de blesser.

- Il y a une chose que je me demande. Pourquoi est-ce que tu protège le rouquin ? Parce que tu l'aime ? Pfff, ridicule... Je n'ai qu'une chose à te dire. L'amour n'existe pas. Tu fais seulement ça pour justifier le fait que tu l'utilise comme poubelle à sperme.

Oui, c'était dit sur un ton méchant et hautain et il se tourna à demi vers Stan pour voir sa réaction. Son seul désir profond et le sens de ses paroles se rejoignaient, il voulait seulement que l'autre Marsh frappe en premier. Il attendait la première frappe, pour pouvoir la réceptionner parfaitement.
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptySam 18 Fév - 22:43

Hellrick ne me sembla pas si tant impressionné par l'arrivée de ce garçon à l'allure étrange, au contraire, il en paraissait presque blasé. Une fois qu'il fut partit, il s'essuya le visage qui avait été tâché de sang puis eut soudain un fou rire incontrôlé et lugubre, qui me fit écarquiller les yeux par surprise. Ce jeune homme était l'incarnation parfaite de l'un de ces psychopathes que l'on peut apercevoir dans les films ; étrange, lunatique et surtout imprévisible. Du peu que je l'avais vu, j'avais pu déjà assister à plusieurs de ses changements mentaux, mais il faut dire que ce garçon était singulier, et certainement pas qu'à mes yeux. Il avait un côté presque inquiétant mais qui avait le don de m'intriguer, il faut dire qu'il changeait de tous ces gens aux comportements stables et banalement ennuyeux, lui avait quelque chose que les autres n'avaient pas, bien que son caractère m'agaçait fortement. Une fois son hystérie passée, il me sourit, cette fois-ci sans arrogance, c'était du défi mélangé à une petite touche d'assurance. Il devait songer que c'était perdu d'avance pour moi, et je ne pouvais assurer le contraire mais peu importe qui l'emportera, je voulais que la tournure de ce nouvel affrontement soit divertissante. Je haussai les épaules lorsqu'il parla. J'aurais bien du m'en douter qu'il ne se serait pas laissé perturber.

Déclinant mon aide, il se leva donc de ses propres moyens avant de se mettre en marche et je le suivis sans broncher. Il semblait avoir une destination bien précise en tête, alors je le laissai mener, pour l'instant, et car le lieu m'était égal, à moins d'être à mon désavantage il n'aurait aucun changement sur notre affrontement. Par habitude, mes mains s'étaient naturellement mises dans les poches de mon pantalon noir et mi-baissé, laissant entrevoir le haut de mon boxer comme un bon nombre de jeunes, tandis que je regardai autour de moi, reconnaissant peu à peu ce couloir. Le couloir où notre combat avait débuté. C'était une bonne idée je l'avoue, ainsi nous pourrions continuer comme si rien n'avait eut lieu. Le laissant toucher le mur qu'une longue entaille creusait, je m'étais arrêté et avait sortit mes mains afin d'étirer mes bras de tout leur long. J'étais calme pour le moment, voir serein, contrairement à la fois d'avant où il avait eut le don de m'énerver. Enfin, ça ne dura pas, visiblement il ne voulait pas que je reste aussi zen puisqu'il lança une phrase qui me fit lentement serrer les dents tandis que mon regard s'était fait plus dur.

Ce pic qu'il m'avait lancé, j'avais songé à l'éviter mais plutôt que ça, je me l'étais pris de plein fouet. Coup de débutant ? Non, simplement que Kyle est un sujet fragile pour moi, il l'aura bien compris, et en plus de l'homophobie, il est la seule chose capable d'à ce point là me mettre les nerfs en pelotes. Ce qui avait eut du mal à passer était qu'il le traite de poubelle à sperme, qui plus est, qu'il insinue de MOI, je le considère ainsi. Que pouvait-il savoir de notre histoire ? Que savait-il de nous deux ? Il ne nous connaissait pas, il ignorait tout de ce puissant lien entre nous deux qui avait eut vite fait de changer cette profonde amitié en beaucoup plus. Oui, peut-être que notre relation avait eu quelque mal à se développer, peut-être qu'on a également eu des différents, je l'avoue, mais jamais je n'aurais songé à me servir de Kyle comme objet sexuel, jamais. Avant, j'avais peut-être eu ce genre de passes temps avec d'autres qui eux, oui je l'avoue, n'étaient chargés que de ce but mais pas Kyle. Rien de tel depuis que j'eus connu l'amour. Mais ça, ce ne sont pas ses affaires, non, et il n'a pas à le savoir. Je ne vais pas gaspiller ma salive pour le lui expliquer, j'imagine surtout qu'il peut comprendre et que s'il a ouvert sa bouche, c'est pour m'énerver, ce qu'il a réussi en beauté. Je vois qu'il fait partit de ses gens qui n'ont aucun espoir, qui ne croient pas à l'amour - Vrai que j'étais pareil avant, mais passons. - ... Peut-être une relation qui ne s'est pas très bien terminée ou bien il n'a tout simplement jamais trouvé la bonne personne ? J'imagine qu'il est bi, voir même gay, donc c'est vrai que ce n'est pas simple tous les jours ... Enfin après, je ne suis pas là pour lui donner des conseils ou encore moins de l'aider, déjà que ce n'est pas dans mes habitudes, et puis après ce qu'il vient de dire ...

"Je ne te permet pas. Tu penses ce que tu veux de ta misérable vie, mais tu n'as pas à juger la mienne, ton cas n'est pas une généralité mon vieux. Qu'est-ce que tu sais de nous ? Oh mais suis-je bête ... Rien. Tu ne sais rien du tout."

Il s'était tourné en ma direction comme pour assister à ma réaction et j'imagine qu'il savait pertinemment que celle-ci ne serait pas tellement positive. Sa provocation devait sûrement un but et je pensai connaitre celui-ci. Sans attendre, j'avais lancé mon poing en sa direction pour le frapper au visage mais il avait paré mon coup, de sa main. Évidement. Faisant vivement glisser ma jambe au sol pour tenter un croche pied, il se rattrapa pour ne pas chuter et je profitai que son corps bascule ainsi sur le côté pour lui assener un coup de poing dans la figure, sa tête claquant contre le mur situé derrière. Bon, deuxième fois qu'il se mange mon poing, en plus la dernière fois c'était l'autre joue .. Il va finir par ressembler à un hamster t'sais. Bref, au moins de cette façon, même s'il m'a fait chier, le combat a démarré, à présent, plus rien ne pourra nous arrêter. Hum-hum, il va morfler.
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyDim 19 Fév - 2:03

L'impatience le rongeait. À quoi le petit Stan pouvait bien penser ? Revoyait-il mentalement les bon moments passés avec son petit copain, se demandant s'il se pouvait qu'une touche de vérité avait éclater de ses paroles ? Ou bien avait-il ce stupide entêtement aveugle, cette foi ridicule envers cet abomination que les Hommes appelaient amour ? Oui, ça avait plutôt l'air d'être le cas, quelque chose dans son visage le laissait bien croire. Il était du genre à croire à ces idioties. Pourquoi ? Surement pour ne pas être engloutie par cette accablante vie de merde, ce monde capitaliste et complètement pourris dans lequel on passait notre vie emprisonné dans des institues avant d'être l'objet de travail d'un gouvernement totalitaire, une vie que l'on avait aucun droit sur elle et où les actes de suicide étaient condamnable. Ses pensés avaient dérivés mais la voix de son adversaire lui fit reprendre concentration. C'était dommage, car tant qu'à entendre de tel conneries, il n'aurait pas perdu son temps à écouter. Sa vie, il ne la jugeait pas misérable, c'était le fait de vivre en général qu'il trouvait sans sens. SE forcer tout ce temps pour courir après le bonheur, se démener pour avoir une vie exemplaire, avoir un bon job, une famille, devenir riche, voyager, n'importe lequel de ces buts eux ils étaient misérable ! Qu'importe ce que nous faisons, à la fin, il y a la mort. Et elle peut arriver n'importe quand. Chaque secondes qui passent nous rapproche de la mort... quel stress inutile...

Mais bref, il avait eu quand même l'effet escompté, c'est l'autre Marsh qui ouvrit le combat. Ça se passa rapidement, il rattrapa la première frappe, prit soin de ne pas tomber au croche pied et se mangea un coup de poing direct en pleine figure, sa tête cognant contre le mur derrière. La vive douleur emporta les battements de son coeur à un rythme fou. Immédiatement il vint se saisir les bras de Stan, dans le creux de ses coudes et d'une poigne féroce. Un souvenir, de la voix de son père, se percuta dans ses pensés '' Sers toi d'ta tête ! ''. Elric prit une petite inspiration et frappa de son front celui du petit mignon, ce qui le fit reculer, le cham toujours accrocher à lui le suivant. Il enchaîna d'un coup de pied dans le genou de son adversaire qui passa près de renverser dans un angle bizarre. L'autre Marsh essaya de se déprendre en forçant aussi sur ses avant-bras avant de donner un coup du genou non toucher dans sa cuisse. Un peu plus et c'était autre chose qui y passait...

- Tu sais quoi ? De toute façon, j'veux rien savoir de toi, ni de personne. Tout ce que j'ai besoin, c 'est de me battre et de fourrer de temps en temps !

Elric surpris alors son adversaire, en le soulevant de terre de par les avants-bras qu'il tenait. Bon, pas de beaucoup et pas longtemps car il voulait éviter de se prendre un coup dans un endroit sensibles. Soudainement il le fit redescendre en le penchant pour le mettre au sol et dans sa manœuvre, il se laissa tomber aussi, genou écrasant violemment l'estomac de Stan. Il roula ensuite sur le côté pour rapidement se relever. Il prit alors une grande respiration. Il était étourdit mais ne le laissa pas paraître. Comme à chaque fois qu'il combattait, il se sentait plus vivant et comme à chaque fois qu'il mangeait des coups, il aimait ça. Sauf que ça, ce n'était pas que le résultat de la monté d'adrénaline et des autres hormones comme l'endorphine et la sérotonine, ça venait de quelque chose de beaucoup plus profond et de refoulé, d'une chose dont il lui était impossible de prendre conscience, enfin, pas tant qu'il n'y serait pas confronté. Cette chose était une cicatrice au fond de lui, qui probablement jamais ne pourrait guérir. Qu'importe soit cette ''chose'' elle faisait grandir sur ses lèvres un sourire étrange. Il était difficile de savoir si ça venait de l'euphorie et l'excitation du combat ou bien même de la féroce combativité qui l'habitait. Quel qu'il en soit, ce sourire n'était pas rassurant. Ses yeux brillant d'une lueur angoissante fixant Stan qui peinait à se relever en se tenant le ventre, comme s'il était une proie et lui le vautour qui n'en laisserait rien.

- Alors petit, tu y arrive où j'ai déjà gagné ?

Les hostilité relancé, il vit Stan près à lui décrocher une droite de nouveau et, à la grande surprise de celui-ci, se laissa faire. Le poing s'écrasa sur sa mâchoire et sa lèvre se remit à saigner. Elric eu un petit rire hautain avant de lécher sa lèvre, le sang dégoulinant sur son menton. Il ne semblait pas avoir mal, seulement satisfait. D'un coup de pied dans le ventre, il fit reculer son adversaire. Puis son air blasé reprit possession de ses traits.

- Aller, frappe plus fort.
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyDim 19 Fév - 20:46

Il s'était saisit de mes bras avec fermeté et tandis que je cherchai à me défaire de son emprise, il me mit un coup de boule, sa tête percutant mon front avec violence, ce qui eut pour effet de me sonner quelques instants, et il ne se priva pas d'en profiter pour m'assener un coup au revers de mon genoux qui me fit esquisser une petite grimace. Ne me laissant pas perturber pour autant, j'enchaînai pour lui porter un coup à sa cuisse, de mon genoux non blessé, et c'était de peu que son anatomie y échappait. Erreur cependant volontaire ; j'avais suffisamment de ressources pour ne pas me permettre de m'en prendre à son entre-jambe. Non seulement, c'était bien une défense de gonzesse, et puis franchement ... Je sais à quel point ça nique, et c't'endroit-là, ça se respecte quoi.

"Mais je m'en tape de ta vie, vieux."

Pourquoi il me raconte sa life, franchement ? Lui qui vient de me dire qu'il ne souhaitait rien savoir de la mienne, il ne peut pas se dire que c'est réciproque ? Et puis, je peux m'en passer de savoir ce genre de choses, il parle bien trop, et ça, ça gâche le côté instructif et intéressant de cet affrontement. Si l'on était potes ou quoi que ce soit d'autres, ça ne m'aurait fait ni chaud ni froid qu'il me fasse part de son point de vue mais là, si je le fréquente c'est pour ce combat, c'est pour me mesurer à lui, rien de plus. Malheureusement, vu que je m'étais un peu dispersé pour prendre le temps de me répondre, il sauta sur l'occasion pour de nouveau me saisir et dés que je sentis mes pieds quitter le sol, je redoutai son futur coup. Ça allait faire mal, probablement. Lorsqu'il me lâcha, je fléchis un peu mes jambes comme pour me préparer à intercepter une chute, mais il ne me laissa pas tomber ainsi, son genoux percutant violemment mon estomac et ça, putain ce que ça fait mal. Restant quelques instants immobile tandis que mon adversaire s'était retiré en vitesse - Comme si j'allai tenter quelque chose après un coup pareil. -, ma main vint ensuite vivement se placer devant ma bouche pour tousser, quelques gouttelettes de sang venant tâcher ma paume. Non mais sérieusement .. Me redressant en fronçant légèrement les sourcils, ma main à mon ventre, j'évitai de rester trop longtemps sous le poids de cette douleur qui n'allait pas avoir si facilement raison de moi, je revins ensuite à la charge, lançant une nouvelle fois mon poing en direction de son beau visage - Que je ne cesse d'abimer, je l'avoue. -, suite à sa nouvelle provocation. Son expression avait changé, il souriait de nouveau étrangement, d'une façon qui en aurait effrayé plus d'un. Mon poing heurtant pour la troisième fois sa mâchoire, il trouva visiblement ce moment amusant, puisqu'un rire mesquin se fit entendre tandis qu'il récupérait le sang écoulé, de la pointe de sa langue.

La douleur, les coups, tout cela semblait le réjouir, à croire que la blessure de l'atteignait pas. Je me sentais faible contre un tel être, à vrai dire. Moi j'encaissai avec peine, mais lui, il semblait apprécier la douleur. Masochiste ? C'est injuste. Ce combat n'est pas égal. Sa carrure est bien plus développée que la mienne, il est plus fort, je suis pas assez borné pour ne point m'en rendre compte. Au corps-à-corps, il a le dessus, et tout ce qui aurait put me différencier de lui aurait été mon don, don qui ne me servait finalement pas à grand chose. En sa présence, je ne pouvais l'utiliser, et autant ne pas fondre mes forces à tenter vainement de matérialiser de l'eau. Je devais utiliser mes propres moyens contre lui, je le savais, mais après tout, rien n'est jamais perdu. Je compte bien continuer de me battre jusqu'à en tomber ! Tirant un court instant la gueule en l'entendant, car je n'appréciai guère être nargué de la sorte, je fis ensuite un pas en avant, envoyant mon pied fortement dans sa côte, tout ça très vite, ce qui cette fois-ci semblait ne pas le laisser sans réactions. Profitant de cette inadvertance, ma jambe entoura vivement la sienne par l'intérieur tandis que je le fis basculer de côté, du poids de mon corps et cette fois-ci ça ne rata pas, il tomba lourdement au sol. Sans tarder, mon pied se posait à son cou, maintenant qu'une légère pression dessus, mais suffisante pour l'immobiliser, du moins, pour le moment. Je m'imaginai déjà toutes sortes de scénarios possibles, soit il attraperait ma jambe pour à mon tour me faire chuter, ou bien il se servira de ses propres jambes pour me repousser .. Quoi qu'il en soit, cette fois-ci c'est moi qui ai pris le dessus, le vent tourne visiblement, mais pour combien de temps ?

"... Pourquoi tu te bas contre moi ?" C'était d'un coup sortit d'entre mes lèvres. Question existentielle mais qui me démange depuis tantôt. Est-ce car il n'a que moi sous la main ? Ou bien au sujet de nos noms de famille similaires, comme il me l'expliquait tout-à-l'heure ?
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyLun 20 Fév - 2:58

Le combat ne l'amusait plus tellement. Il ne lui semblait pas que finalement son adversaire ne soit à la hauteur de ses espérances. Décevant. En plus, les répliques de Stan semblaient sortir d'un mauvais western non interprété par Clint Eastwood. Vraiment... tout ça devenait ennuyant. Jusqu'à ce que la tendance se renverse. Ce qu'il avait pensé comme pire scénario arriva. Un coup direct dans les côtes le ramena à une douleur qui elle, il en avait du mal à la supporter. Il pouvait sentir les battements de son coeur dans les bleus qu'il avait là où l'autre Marsh l'avait frappé. Évidement, dans un combat, il ne pouvait pas éviter de se faire toucher dans un endroit aussi exposé, c'était son erreur d'avoir trop prit confiance et de ne s'être pas assez protégé dans sa faiblesse. Sauf que s'il aurait tout fait pour mettre l'accent à ne pas être touché au côtes, son adversaire aurait vraiment su comment le battre. Alors que là, il devait seulement faire comme si ça ne l'avait pas atteint... comme les autres coups... Difficile lorsque le souffle est coupé et qu'on a peine et misère à se redresser complètement. À cause de cette première frappe bien placé, il ne su pas comment contre-attaqué pour un, ne pas tomber et deux, reprendre le dessus. Il fini donc par terre, avec encore plus de difficulté à respirer, un pied sur la gorge. Ah ah... alors il était fier le petit mignon d'avoir réussit ça... ah ah... Elric fronça les sourcils et le nez avec dégoût. Il cacha très mal sa colère d'être ainsi en position d'infériorité au sol, un grognement sourd restant au niveau de sa gorge. D'une main il tenait les côtes de gauche qui l'élançait de douleur, son poing gauche était fermé si fort que ses jointures avaient blanchis. La question posé ensuite par Stanley lui laissa un goût amer en bouche. Pourquoi s'attarder sur une telle chose si lui même avait dit ne rien vouloir savoir de sa personne ? C'était pour l'humilier alors qu'il était à terre ? Alors sous ses airs de gentil protecteur c'était lui aussi un hypocrite... Son regard couleur bleu glace brûlait de rage.

- Je savais que tu réagirais à la provocation... Et j'avais seulement besoin de me battre.

Le Marsh trouvait insupportable la vue de son adversaire, comme ça, le lorgnant de haut. Sa vision de celui-ci était corrompu par d'autres souvenirs atroces, des souvenirs de son père, la scène reproduit et dans ceux-ci, son géniteur démontrait de la haine et de méprit, ce qui renforçait sa fureur qu'il renvoyait sur son adversaire présent. Il avait une violente envie de le démolir, de le faire saigner et d'extirper tout espoir de bonheur futur. Il desserra le poing et attrapa le pied qui encombrait sa gorge. D'une force inouï, il le souleva et tira vers la gauche pour le déstabiliser. Cependant, au milieu de son mouvement, il arrêta et le lâcha. Elric ravala bruyamment sa salive.Il roula vers la droite pour se relever maladroitement, tenant toujours ses côtes blessés. Il les lâcha bien vite pour se mettre en position de base de boxe. Il allait devoir finir ça très rapidement.

Il élança un direct de la droite, son appui centrale étant sur sa jambe droite. Des qu'il fut sur sa jambe gauche, il fit immédiatement un autre pas pour n'avoir que du poids sur la droite. Malheureusement, ça avait rendu son coup très prévisible et il manqua. Il évita de justesse une contre-attaque vive de Stan . Son poids de nouveau sur sa gauche, un éclair de douleur le traversa et son genou faillit le lâcher. Son adversaire s'essaya ensuite pour un coup de pied direct dans son point faible qui était devenu très évident. Il pu cependant attraper sa jambe et tira dessus pour lui faire reposer au pied au sol, s'avançant en même temps pour lui donner un revers de poing dans l'estomac qu'il avait déjà frapper plus tôt. Sauf qu'il avait oublier de calculer une chose. S'il était assez près de l'ennemi pour le toucher à cent pour cent sûr... celui-ci aussi pouvait le faire et il n'avait pas perdu de temps pour ne pas dire que les deux coups se portèrent au même moment. Son poing martela l'estomac de Stan... mais le poing de Stan s'écrasa contre ses côtes de gauches qui émirent un craquement qui était aussi douloureux que le bruit faisait penser.

La vision d'Elric devint soudainement noir, avec des points blanc qui le narguait dans leurs danses imprécises. Son menton s'appuya sur l'épaule de l'autre Marsh auquel il s'accrocha pour ne pas tomber. Son souffle s'interrompit et il se senti suffoquer. Un bourdonnement sourd dans ses oreilles l’inquiéta. En fait, la soudaine privation de sens l'angoissa. Son impuissance dans la situation actuel commençait à lui faire trop bien ravivé comment il avait eu ces premiers blessures aux côtes... quand son père l'y avait frapper à coup de bâton de golf après avoir apprit qu'il était homo... Ses mains devenaient moites, une sensation dérangeante l'étouffait, son coeur était parti en panique. Il s'éloigna brusquement de Stan en le poussant. Ses sens commençaient à revenir mais il avait du mal à tenir debout autant pas la douleur qui lui broyait les côtes que le crâne. Il tremblait nerveusement et la sensation désagréable qu'il ressentait, il commençait à comprendre que c'était de la peur primitive. Mais peur de quoi ?

- Ne m'touche pas !
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Ryu Yashiro
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptyLun 20 Fév - 19:15

    Après l'avoir embrasser, j'avais bien vue qu'elle commençais à être bourré donc j'avais envie de rentré pour pas qu'elle fasse de bêtise. Portant Erio comme une princesse, j'allais ensuite dehors, sifflant mon balais pour ensuite m'asseoir, toujours avec Erio que je maintenait devant moi. Même si c'était difficile, nous réussîmes à rentrer au bâtiment de House Fukkou. J'avais atterris sur le toit car j'avais la flemme de descendre plus bas. Après être sur le sol, je fit disparaître le balais et portais une nouvelle fois bien Erio pour ensuite partir du toit. J'allais dans notre chambre pour ma déposé, elle s'était donc endormis du coup haha..

    Souriant, je lui embrassait le front puis je sortis de la chambre car j'entendais de drôle de bruit dans les couloirs. Je marchais alors doucement puis sentis une drôle de sensation, bon.. chaman et.. Elementaliste. Soupirant, je ml'approchais de ce boucan et vue donc deux enfant entrain de se battre. Un brun et un châtain plutôt balèze par rapport au brun bien sur. Par rapport à moi, je dirais plutôt qu'il m'arrive au buste et encore... Marchant en leur direction avec un visage neutre, Le châtain lui semblait ne plus être bien et j'en profitais donc pour les séparer, Le brun se retrouvais donc contre le mur et l'autre, je l'avais pris par le col.


    - Vous aller arrêter oui les gamins ? Dis-je d'un ton dur tout en soupirant.

    Je lâchais le châtain qui se mis contre le mur, pas bien du tout et plus sa allait, plus je ressentais cette sensation ce multiplier. Tu aspire le pouvoir hein... dommage pour toi je suis résistant, tu réussira pas à m’endommager si je puis-dire ça comme ça. Soupirant, je regardais le brun et lui demandait ce qu'il se passe, il vue très bien que je rigolais pas et que évidemment j'étais un surveillant ou au moins un professeur. Je le regardais de haut tout comme le châtain car j'avais vraiment pas envie de rigoler. Bon.. Je les envoie chez le directeur ? Non, ça servirais à rien de toute manière.. Je passais une main dans mes cheveux, regardant les deux chacun leur tour.


    - Que je vous y reprenne plus à vous battre comme ça.. Est-ce claire ? Leur dis-je simplement, poussant le brun. Pars de là et ton camarade si il va pas bien, il a cas aller à l’infirmerie ou sa chambre, l'es bien assez grand non ? J'espère que je me suis fais bien comprendre.

    Sur ses mots , je soupirais encore longuement, laissant le châtains dans sa petite crise d'adolescent qui repense à son passé jusqu’à se rendre malade. Le brun lui était donc partis, vue que j'allais dans la même direction que lui, j'espère qu'il ne recommencera plus, ça m'énerve ce genre de personnes pfiouuu !
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MessageSujet: Re: Couloirs Couloirs - Page 17 EmptySam 7 Avr - 13:32

J'étais sorti en trombe de ma chambre mais je m'étais arrêté quelques mètres plus loin. Je voulais absolument apprendre à utiliser ces nouveaux pouvoirs et donc m'entraîner. Mais comment? Je ne sais même pas les invoquer et Mokona m'a dit que ce n'était pas à lui de m'apprendre. Le lapin comprit mes pensées et passa de mon épaule au sol devant moi.
"Si tu veux apprendre tu dois t'adresser à un autre sorcier. Normalement, dans cette maison de redressement il y a des professeurs pour chaque classes. Tu n'as qu'à trouver celui des sorciers et lui demander de t'entraîner!"
"Mais comment savoir lequel est mon professeur? Je ne l'ai jamais vu!"
"Même si tu n'as pas encore mis en pratique tes dons, tu les possèdes quand même. Les sorciers, ainsi que d'autres classes, sont capable de ressentir les personnes qui les entourent grâce à leur aura. Ça ne demande pas trop d'effort et normalement ça se fait automatiquement. Essayes alors de chercher une aura ressemblant à la tienne mais plus puissante."
J'étais étonnée par tout ce que pouvait faire un sorcier. Je trouve ça génial! Je fis alors comme mon familier m'avait expliquer et ferma les yeux pour mieux me concentrer.

Je sentais comme une petite once de pouvoir à travers tout l'établissement.Chaque personnes que je ressentais avait une aura unique. Mais certaines se ressemblait. La mienne était comparable à d'autres qui m'entouraient. Je chercha alors la plus puissante parmi elles comme me l'avait conseiller Mokona. Je trouva ce que je cherchais, dans une salle un peu plus loin. Son emplacement ne me disais rien ce qui voulait dire que je n'y étais encore jamais aller. Je pus constaté que la personne que je pensais être mon professeur était seul. Tant mieux! Au moins comme ça je ne le gênerais pas! Je mémorisa alors l'emplacement de la salle et arrêta ma concentration pour m'y diriger.
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