je regardais toujours les étoiles avec mon étoile perso dans les bras avec le regret de ne pas sentir sa chaleur tout en étant heureux de l'avoir à mes côtés, ce qui, je trouve, était un peu bizzare venant de moi. Je fis descendre l'une de mes mains pour prendre l'une des siennes et entre-mêler nos doigts comme le font des amoureux " mormaux ", vu que nous étions un couple " étrange " et que... je ne le regrette pas le moins du monde.

Je resta silencieux devant ce bisous, ne puvant pas contrôler les vagues rougeurs qui apparaissait sur mes joues, bien que je ne sois pas particulièrement gêné. J'aimais vraiment beaucoup ses petites manies de donner des bisous parci-manies, c'était agréable. Je lâcha sa main pour la prendre déliactement par les épaules et la retourner vers moi, prenant sa joue droite avec l'une de mes mains tout ne m'abaissant pour déposer un doux baiser sur ses lèvres, l'entourant avec mon autre bras.

Alors qu'elle entourait mon cou avec ses bras, je déposa doucement mes mains au niveau de ses hanches, intincifiant un peu ce baiser pour qu'il devienne passionner, entre-mêlant nos langue bien que je ne sentais pas de salive de sa part ce qui n'était pas pour me déplaire. Je pouvais la sentir frémir ce qui m'amusait, je voulais lui faire plaisir et satisfaire tout ces caprices quelqu'il soit.

<< Un peu froid, tu trouves ? Viens donc dans mes bras que je te réchauffe un peu. >> lançais-je d'une voix à priori normal qui cachait cela dit quelques allusions perverses. De toute façon, elle ne m'entends pas alors à quoi bon ? Soupirant un peu sur ce sujet là, je m'apprêtais à la taquiner un peu quand je la vis tomber à la renverse. Ecarquillant les yeux, je me concentra du mieux que je le pouvais et prit sa main dans la mienne, la faisant accroché au vide. Serrant la mâchoire tout en la faisant revenir parmi nous, je ma posa saine et sauf sur le toit, me positionnant devant le vide pour éviter qu'elle tombe une seconde fois. Là, maintenant, elle pouvait voir quelques traces de mon apparence comme ma silhouette ou la couleur de mes yeux.

<< Ca va ca va, je rigolais, t'étais pas la peine de tenter un suicide pour m'échapper. Surtout que je suis mort, alors bon, si tu crève, tu m'auras pour l'eternité ! >> lançais-je en regardant ailleurs, complétement dans mon monologue jusqu'à ce que mes yeux se reposent sur les siens. C'est moi où elle me comprend là ?

Puis, sayuri ne me répondit pas, je m'écarta alors d'elle et je vit un drole de mec, je n'y préta aucune importance jusqu'au moment ou je le vit sauter du toit pour attérir aisément sur l'autre toit. En sautant, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai vue l'image d'un caht. Ces animaux savent si bien sauter, ils ont une aisence naturel qui leurs permet de faire ça. Puis, donc, j'haussa les epaules, et je reparti du toit, les mains dans mon dos, laissant Sayuri.

Je m'étais fait violemment rejeter du réfectoire et je voulais prendre l'air sans sortir du bâtiment. J'ai fréquenté le grenier hier alors pourquoi pas le toit aujourd'hui ? J'étais passée prendre une écharpe dans ma chambre, les nuits sont relativement froides même en été ... J'avançais regardant la splendeur des étoiles ~ Quand mon nez me titilla un instant, mais ! Pas d'éternuements, ah ha ! J'ai bien fait de prendre mes médicaments contre mes allergies ! Je suis trop forte ! J'avança en me doutant de la personne que j'allais trouver. Je vis Tao-chan, regardant paisiblement les étoiles. Mes médicaments me protégeaient donc pas la peine d'avoir peur de m'approcher !

« Oh Tao-chan ! Qu'est-ce que tu fais ici à une heure pareille ?! »

Je la regarda un instant puis m'asseya à côté d'elle, et la regarda en souriant.

« Je vois ! »

Je me disais aussi, je n'avais jamais vu Tao-chan seule. Je suppose qu'elle et Nezumi sont comme deux pièces d'un puzzle qu'on ne peut pas détacher. Mon nez me piquait légèrement mais pas au point d'éternuer, merci mon dieu ! En tout cas, Tao-chan était mignonne comme tout, moi qui avait eu un pressentiment en voyant son sourire la première fois ... Il me paraît tellement naturelle maintenant. Je me tourna vers elle en souriant.

« Alors tu te plais ici ? »

Voyant Tao-chan secouer sa queue vivement, un sourire se dessina sur mon visage. Bon, elle n'avait pas l'air de ne pas m'aimer ! Elle s'approcha et se mit devant moi en tailleur. Hum ? Un pressentiment ? J'eus un regard inquiet.

« Un mauvais pressentiment ? Que se passe t-il ? »

Au fond, j'avais le coeur serré parce que j'avais une idée bien profonde sur un certain "pressentiment". Mais je la laissa d'abord m'expliquer la chose avant d'imaginer n'importe quoi.

En l'entendant dire ça, j'eus un frisson intérieur. J'avais à peine appris hier que les fantômes étaient belle et bien présent dans ces murs et qu’apparemment, ils auraient un problème. Je regarda une lueur arrivée au loin, le soleil ! Eh bien, je ne l'ai pas entendu venir celui-là. Elle se tourna vers moi en attendant une réponse ; je n'allais quand même pas lui dire une chose aussi absurde que celle des fantômes quand même ? Non, je ne pouvais pas. Mais c'est sûr, il va se passer quelque chose ici, bientôt. Je détourna la tête et soupira, je me retourna vers Tao-chan, un sourire un peu inquiet et lui tapota le haut de sa capuche.

« Oui. Effectivement, quelque chose ici va changer. Et on ne pourra rien y faire. »

J'essaya de garder un sourire confiant en le regardant pour ne pas qu'elle se mette à s’inquiéter aussi sur ce pressentiment bien réel.