House Fukkou
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Chambre n°2

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MessageSujet: Re: Chambre n°2 Chambre n°2 - Page 3 EmptyDim 29 Jan - 18:28

    (Amen pour toi !)
    - C’était… intéressant. De rencontrer de nouveaux élèves même si je connaissais déjà ma colocataire en fait. A vrai dire, nous n’avons pas beaucoup parlé. Il faut dire qu’étant muette, la conversation est plu-

    - La conversation est plus... ?

    - Il neige un peu dehors.

    Posant une main sur le matelas pour tenir la moitié de son poids, Nezumi dévisagea longuement sa petite-amie qui semblait de toute evidence vouloir mettre un terme à la conversation en cours. Donnant une signification à chacun des traits qui marqués son visage pâle, il en finit par déduire qu'elle s'en voulait d'avoir dit ou d'avoir faillit dire quelque chose. Quoi ? Il n'en savait rien pour l'instant. La laissant changer de sujet sans pour autant oublier cette soudaine rupture dans le résumé de la soirée, il avanca lentement les doigts vers les siens.

    Miki, quant à elle, regardait avec emerveillement le paysage faire des siennes à travers sa petite fenêtre. Accoudée à celle-ci, c'est les yeux habités par milles et une étoiles qu'elle assistait au spectacle que dans cette partie du Japon, on a peu la chance de voir : Une tombée de neige. Admirant lui aussi un instant les flocons se perdre contre un goudron dèja froid, il finit par frôler la main de la brune. Lorsqu'elle se tourna vers lui, un peu surprise, il lui fit un signe de tête en direction de la sortie.

    Non pas que Miki la dérangeait, il voulait seulement un peu profiter de sa chérie et l'avoir à lui tout seul. Depuis qu'ils se sont officiellement mis en couple, ils ne se sont pas entrevus bien longtemps en tête à tête. Détail peut-être anodin pour certains mais important pour notre jeune homme qui a tendance à être limiter au niveau de sa capacité à supporter les autres. Il désirait être avec elle et seulement elle, loin de ceux qui l'irrite à longueur de journée.

    - On y va, lui chuchota-t-il au creux de l'oreille.

    Se levant, il s'étira de tout son long, faisant au passage craquer les os de son dos avant de porter son attention sur la verte qui n'avait pas battu d'un cil. Expirant plus fort qu'il n'avait inspiré pour l'obliger à se retourner, il se remit en sa forme initiale avant de lui dire :

    - Désolé ma chère Miki, mais nous allons te laisser. Sayuri et moi avons à faire, si tu vois ce que je veux dire.

    Lui même ne voyait pas ce qu'il voulait dire. Il avait dit ça comme ça, pour faire trotter l'imagination de Miki dans un sens comme dans un autre. Bien sur, le ton qu'il eut prit emmenait à penser qu'il y avait quelque chose de sexuel derrière tout cela. Ce qui n'était pas le cas. Ou presque. Il se préparait à taquiner Sayuri, pour sûr, mais ne pensait pas en cet instant à la déshabiller une fois qu'ils seraient en tête en tête. Même si l'envie ne lui manquait pas.

    - N'est-il pas Sayuri ?
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MessageSujet: Re: Chambre n°2 Chambre n°2 - Page 3 EmptyMer 1 Fév - 16:13

    - Désolé ma chère Miki, mais nous allons te laisser. Sayuri et moi avons à faire, si tu vois ce que je veux dire.

    Sayuri haussa un sourcil et ne saisit que quelques secondes après le sous-entendu sexuel de son petit ami et fut gênée car ce genre de sujet ne pouvait la mettre que mal à l’aise. Bien que la jeune fille ait pris une assurance dans l’Etablissement qu’elle ne possédait pas à son arrivée, il y avait toujours ce décalage entre elle et les autres qu’elle ne pourrait probablement jamais effacer. A son âge, bien des filles avaient vécu des choses qu’elle-même ne connaissait pas et cela aussi l’inquiétait vis-à-vis de Nezumi.

    - N'est-il pas Sayuri ?
    - Oui, en effet.

    Un sourire se dessina sur ses lèvres en songeant à ce qu’il se passait dans l’esprit de Nezumi et elle se demanda ce à quoi il pensait réellement tout en se levant également, remettant discrètement son haut en place qu’elle trouva froissé. Elle s’approcha de Miki, la serra rapidement dans ses bras.

    - On se reverra, passe une bonne fin d’après-midi, chuchota-t-elle d’une voix rieuse.

    Nezumi avait déjà ouvert la porte et s’apprêtait à filer silencieusement. Adressant un dernier signe de la main à son amie, Sayuri suivit le jeune homme dans le couloir, referma la porte derrière eux. Elle chercha son regard, plongea dans ses iris gris qui la troublaient tant, saisit la main de Nezumi et s’approchant sans un mot de lui, elle déposa délicatement ses lèvres sur celles du bohème. Le baiser était différent du premier, elle le sentit. Ce n’était plus si effrayant que cela, c’était légèrement moins déstabilisant mais pourtant, ses joues rosirent et elle ne réussit pas à calmer les battements de son cœur. Elle fut étonnée de réaliser à quel point sa présence avait pu lui manquer. A quel point il lui avait manqué. Se reculant légèrement et ne cessant de sourire, elle ajouta :

    - Alors, comme ça, nous avons à faire ?

    ( Je te laisse poster où tu veux. ( : )
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Miki Uchiga
Miki Uchiga



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Date de naissance : 16/01/1996
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MessageSujet: Re: Chambre n°2 Chambre n°2 - Page 3 EmptyDim 5 Fév - 11:25

    << Désolé ma chère Miki, mais nous allons te laisser. Sayuri et moi avons à faire, si tu vois ce que je veux dire. >>

    Je me retourna et les regarda un par un. Des trucs a faire ? Je préfère ne pas savoir... Parlez de ce genre de choses n'est pas vraiment pour moi ! Je leurs fit un sourire, acquiesçant d'un signe de tête.

    << D'accord, on se verra plus tard alors ! >>

    Mon amie se leva pour venir me serrer vite fait dans ses bras, me souhaitant de passez une bonne fin de journée, je lui répondit " De même " et les laissa partir entre amoureux. Je me retourna pour regardez de nouveaux par la fenêtre. Et si j'allais en ville ? Je serai seule, mais tant pis, au moins, se me ferait sortir prendre l'air. J'irais a la plage tient ! Je pris le bonnet de Sayuri, celui qu'elle m'a offert avec la pomme, pris la veste que Nezumi ma offert, et je sortie de la chambre.
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Aerith Braginski
Aerith Braginski



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MessageSujet: Re: Chambre n°2 Chambre n°2 - Page 3 EmptySam 17 Mar - 16:02

    Il faut se faire une raison, le seul vrai lit qu'il me faut est celui de ma bonne vieille chambre. Non, en fait, je ne me l'avouerais jamais mais là où je dors le mieux, c'est entre les bras de Julian, mais je refuse de croire à ça, c'est trop puéril. Poussant la porte de ma chambre en la claquant d'un coup de pied bien placé derrière moi, je poussa un soupir languissant. Il faudra que j'aille voir Yuzu un jour, pour prendre de ses nouvelles un peu, histoire de bien constater qu'elle a rattrapé ses heures de sommeil. Scrutant la pièce, je pus constater qu'elle était vide, que Pommie n'était donc pas là. Peut-être était-elle passée entre temps ? La chambre me semble aérée, c'est sûrement cette impression de fraîcheur qui me dit qu'elle a du venir il n'y a pas longtemps. Allant dans la salle de bain, je m'arrêta devant le miroir, observant mon reflet un instant, je pus réaliser mon manque cruel de sommeil : des cernes aussi violettes que Gipsy des Télétubbies avaient peins le dessous de mes yeux. M'approchant du miroir en entrouvrant la bouche par étonnement, je passa mon index sous mes yeux, exténuée de voir toujours ces mêmes cernes hideuses et repoussantes. M'écartant du miroir sans pour autant le lâcher des yeux, je plissa les yeux un instant. Un bruit étrange de crissement résonnait dans mes oreilles, comme si quelque chose se passait autour de moi, sans que je le sache. Je le connais. Ce son qui ressemble à un cri et en même temps à un grincement strident qui semble venu des profondeurs abyssales des Enfers, je le connais ! Je ne le connais que trop bien pour l'oublier. Le genre de son qui vous poursuit toute votre vie, sans émettre une quelconque pitié envers celui qui l'entend, il vous plonge dans le silence. Je sais toujours, même après tout ce temps, d'où vient ce bruit oppressant généralement. M'approchant du miroir pour observer le reflet du lavabo dans celui-ci, je trouvais ma réponse : des filets de sang bougeaient tel des asticots dans le lavabo, ou plutôt dans le reflet de celui-ci. Comment expliquer la chose ? Ces filets de sang étranges et bizarroïdes, il me suffit de trouver un miroir avec un débouché comme un lavabo, une douche ou une baignoire pour pouvoir les voir. Dans le reflet, ils finissent tous par partir vers le tuyau du dit 'portail' que sont les lavabos par exemple. D'ailleurs, à peine les avais-je remarqués qu'ils s'enfonçaient dans le tuyau du lavabo, finissant par disparaître pendant quelques secondes. Ils vont réapparaître. Mais cette fois-ci, ils seront dans mon monde, et pas celui du miroir. Portant ma main à ma bouche en serrant les dents, je recula de quelques pas sans lâcher des yeux le trou du lavabo. J'entendis de nouveau ce bruit dégoûtant et grinçant plus nettement avant que les fins filets de sangs qui semblaient vivants ne commencent à sortir en masse du lavabo.

    « Oh. »

    Qu'est-ce que vous croyez qu'il faut dire dans ce genre de situation ? Surtout que je sais parfaitement que tout ceci n'existe pas. Tout ceci n'est qu'illusion. Ces vers de sang n'existent pas, non. Il suffirait que j'essaie de les toucher pour qu'ils disparaissent tous autant qu'ils sont. Mais je ne peux pas, je n'y arrive pas. La peur me coupe tout élan. Et puis ... Pourquoi du sang ? Même en me rappelant chaque détail de l'accident, je ne me rappelle pas avoir vu du sang puisque je n'ai vu ni mes parents ni Nathalia brûler dans les flammes. Ce sang est peut-être le bourreau de ma culpabilité, il grisaille comme un cri de douleur et recouvre tout. Il me pousse à avoir peur de lui, à assumer une réalité que j'ai préféré ignorer. Plus je réfléchissais, plus ils se multipliaient, recouvrant petit à petit chaque parcelle de mur et bientôt, ils recouvraient mon reflet dans le miroir, alors qu'en abaissant mes yeux sur moi ... Je ne voyais rien. L'expression 'Tout ce qui a un reflet ne se voit pas forcément' prend tout son sens. Finissant par sortir de la salle de bain, je partis sur mon lit, ramenant mes pieds vers moi, je les entoura de mes bras en posant mon menton sur eux, fronçant les sourcils. Je n'ai pas peur, je n'ai pas peur, je n'ai pas peur ... Même en essayant de me convaincre de ma bravoure, je ne pouvais pas nier l'extrême angoisse qui m'emplissait à l'entente de ce bruit, à la vue de ces filets de sang presque vivants, qui arpentaient les murs de la chambre. Bientôt, ils recouvraient tout, même le lit où je me trouvais. Enfonçant mon visage dans mes bras, je poussais un soupir exaspéré.

    - Aerith ?
    « Non. Tu n'existes pas. »

    Relevant mon visage, je regardais la personne qui venait de me parler, entre autre, ma soeur, ou du moins, la soeur sortie tout droit de mon imagination fleurie. Elle était là, devant moi, dans la même robe de nuit qu'elle portait ce fameux soir, un sourire éclaircissant sur son si beau visage. Cette situation, je la connais par coeur. Peu après l'accident, il m'arrivait de me terrer dans ma chambre pour pleurer sans que les gens aient besoin de me consoler, je restais alors dans une pièce semblable à celle-ci, silencieusement. Souvent, la salle finissait recouverte de ces filets de sang immondes et ma soeur - le fruit de mon imagination la plus abstraite - venait à moi. A l'époque, je n'arrivais pas à décrire ce phénomène pour le moins glauque, alors j'avais pris l'option dessins pour l'expliquer. Je lui avais même donné un nom. The Bloody Room. Un nom qui ne veut pas dire grand chose tant qu'on ne le vit pas. Ces étranges apparitions avaient cessé lorsque ... Lorsque quoi ? Pourquoi cette information m'échappe t-elle lorsque je la cherche ? J'ai l'impression d'avoir oublié quelque chose - quoi que, ça ne ressemble plus à une impression maintenant - et tout ça me dérange intérieurement. Mon regard ne lâchait plus celui de la Nathalia fictive qui se dressait en face de moi ; ses yeux doux si semblables à ceux que je connaissais cherchaient une compassion et un rapprochement lorsqu'ils se plantaient dans les miens. Les gens appellent ça une hallucination, moi j'appelle ça la réalité compliquée. La question primordiale : que dois-je faire pour que cela s'arrête ?

    - J'ai toujours été là pour toi !

    C'est faux. Voilà bien la preuve que tout ceci n'est que le fruit de mon imagination. Nathalia n'avait pas d'attache à ce que j'étais, et elle n'en avait jamais eu. N'avait-elle jamais été là pour moi ? Jamais. Je l'avais bercée dans un monde enfantin pour qu'un fil fraternel se tisse entre nous, fil que je n'ai jamais vu ni senti même de son vivant. Nathalia était indépendante, j'étais le boulet d'acier qu'elle traînait à ses pieds. J'étais une prison fraternelle qui la gardait prisonnière de tout, même de Maman et Papa. Elle ne m'avait jamais appelé 'grande soeur', peut-être parce que je ne l'avais jamais été pour elle. Après tout ce temps, tu reviens me hanter, mais qu'est-ce tu cherches ? Non. Qu'est-ce que je cherche ? Voir une soeur qui n'existe plus revient à de la torture, ça n'a aucun sens, à moins je possède une parcelle d'égoïsme qui m'y pousse. Je suis pourtant lucide, ça me dépasse. Desserrant mon étreinte, mon regard glissa sur mon sac qui traînait non loin de mon lit. Quelque chose en dépassait, quelque chose qui n'était étrangement pas recouvert de sang. Tendant le bras, j'attrapa la chose, qui n'était rien d'autre qu'une photo. L'une des rares photos de Nathalia qu'il me restait. La seule chose dans cette pièce - avec moi -, qui restait 'propre'. Jetant un coup d'oeil à l'espèce d'apparition qui était restée silencieuse, je pris la photo entre mes dix doigts pour la déchirer d'un coup sec, d'abord en deux, puis en quatre avant de laisser tomber les morceaux au sol.

    - Pourquoi ?

    Et si un jour, les hallucinations devenaient les victimes de leur auteur ? Ça n'a pas de sens. Pas plus de sens qu'en déchirant la photo, on pouvait penser que cette bizarrerie se terminerait. Me levant du lit, je m'approcha de la Nathalia toujours stoïque à mes gestes, et la toisa de ma hauteur en posant une main sur mon buste.

    « Tu crois peut-être que tu vas m'aider ? ... » lui demandais-je d'un air désespéré, comme si cette chose qui n'existe même pas pouvait m'inspirer de la pitié. Aussitôt, elle reculait avant de disparaître lentement, tout comme le décor écarlate et presque organique qui recouvrait tout. « C'est ce que je pensais. »

    Ce sentiment qu'est la pitié, je le déteste plus que tout. Il est donc logique qu'une simple hallucination venue de mon esprit en soit autant dégoûtée que moi non ? M'asseyant sur le lit en posant mes mains sur mon visage, je poussa un long soupir en attendant que tout autour de moi redevienne normal. Quelle hallucination, mes aïeux ... Me laissant tomber en arrière, je laissa mes paupière se fermer en étendant mes bras le long du matelas. Moi qui me croyait sorti de cette vie fictive ... Allez Aerith, réveille toi.

    ***

    C'est en me réveillant encore engourdie que je songea à me dépenser un peu plus. Je revenais du monde des cauchemars, et quoi que je fasse, ils sont sans pitié envers moi. La chose positive est qu'ils n'existent pas, ou presque. Ouvrant mes paupières, je fus d'abord ébloui par la forte lumière provenant de la lampe à quelques mètres au dessus de moi ; une lumière qui ne m'avait pourtant pas empêché de dormir aux dernières nouvelles. M'étirant avant de me redresser dans un grand silence, je pus constater que rien n'avait grandement changé durant mon sommeil : personne ne semblait être passé dans les environs. Me frottant les yeux, j'eus vite fait de prendre une petite veste noire pas bien grande, mais qui suffirait amplement à m'éviter un rhume, avant de sortir de la chambre, claquant la porte de celle-ci ... En oubliant littéralement de la fermer.
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Miki Uchiga
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MessageSujet: Re: Chambre n°2 Chambre n°2 - Page 3 EmptyDim 15 Avr - 17:39

    Nous avions continué à marché en silence, ne rajoutant rien. Je n'en sentais pas le besoin, et lui n'était pas bavard, du moins, a ce que j'en savais ! Après avoir quitté les chemins, on arriva à la house fukkou, et il reparti dans son coin avant que j'eu le temps de lui redonner sa veste. Je soupira donc et partie alors du côté de ma chambre. Je sortie mes clé afin d'ouvrir la porte, mais je remarquai que celle-ci n'était pas fermé. Peut être que Blondie s'y trouvait. J'esquissai alors un large sourire en ouvrant la porte, mais je remarquai qu'elle était vide. Mon sourire disparu presque aussitôt alors que je poussa un second soupire. Tant pis. Je referma la porte derrière moi, mais pas à clé, étant dans ma chambre, je ne voyais pas à quoi cela servirai, et ensuite, je déposa la veste à Koro, trempée sur un radiateur en espérant pouvoir la faire sécher. Ensuite, je me posa quelques instants sur ma chaise de bureau et regarda mon carnet de dessin ouvert devant moi. Dans le hall, la dame nous avais interpellé nous annonçant la sortie de demain. Je n'en avais pas vraiment envie. Mais peut être que cela me ferait du bien... Peu importe. Je retira mes chaussures pleine de boues, prit des affaires et parties sous la douche. Une douche bien chaude ! Après sa, je m'y des vieux vêtements qui me servirait pour ce soir, de pyjama et je m'installai sur mon lit, passant par la case bureau pour prendre mon carnet ainsi qu'un crayon et griffonner sur mon carnet. Après quelques instants, j'alluma ma lampe de chevet, me leva pour éteindre la lumière principal, et me re-coucha pour tenter de m'endormir. Mine de rien, j'étais crevée, mais la tête tellement pleine, qu'il m'étais difficile de trouver le sommeil. Je finit par le trouver, au bout d'une demi-heure a tourner dans mon lit, pour un sommeil plus ou moins agité.
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