Je fermai les yeux. Elle essayait de changer de sujet. Bon, tant pis.
"Passe moi des Tics-Tacs, te tout rentrera dans l'ordre !"
Elle soupira. Je souris.
"Tu te souviens ce qu'on faisait à l'hôpital ? Je m'éclatais comme une folle en piquant les masques des médecins et en les imitant quand je rentrai dans ta chambre. Tu riais tellement que tu en vais mal aux côtés. Même qu'une fois, un médecin, un vrai, t'a regardé les yeux grands comme des balls de ping-pong en te voyant par terre, morte de rire. ... Maintenant que j'y pense, il devait être nouveau, parce que je l'avais jamais vu avant. Il était plutôt jeune en plus ! Bon, je suis partie en internat le lendemain, alors j'm'en tape un peu."
Elle qui souriait au début de ma phrase, c'était mis à pâlir à la fin. J'ai cru qu'elle allait pleurer. Je la serrai dans mes bras en me disant que c'était sûrement le fait que je sois partie qui lui minait le moral.
"Chigiku... Je suis désolée."
Désolée pour quoi ? J'en sais rien. Je le suis, c'est tout.

Pourquoi me parlait-elle de lui ? pourquoi ? Je dois me reprendre, je pris une grande inspiration avant de me dégager de ses bras. Devais-je lui dire ce que j'avais sur le coeur ce n'était pas des souvenirs désagréable c'était même les meilleures de ma vie.
Je détournais mon regard du visage de Qiang Wei pour regarder les nuages, ils étaient magnifiques, mes cheveux volaient aux vent, ils me cachaient le visage avec ma main je les mis derriére mon oreille continuant à regarder le ciel.

"Il était interne en plus, il était un étudiant américain en stage pour apprendre la nouvelle technologie japonaise, il avait un accent japonais ridicul ...."

Je souriais repensant au passé, mes yeux avaient un éclat nostalgique.

"Il était interne en plus, il était un étudiant américain en stage pour apprendre la nouvelle technologie japonaise, il avait un accent japonais ridicule ...."
Je restai sans voix devant ma Chigi'. Elle était tellement belle, là, dans le vent, et ses cheveux me rappelèrent son papillon posé éternellement sur son épaule. D'habitude, ses grands yeux innocents lui faisait paraître plus jeune qu'elle ne l'était, mais là ... elle semblait... non, elle était mature. Elle était amoureuse. Un vrai amour, pas un des ces trucs pourris que j'avais vécu avec des gosses des rues. Je l'enviai, j'en était presque jalouse. Et Chigiku voit tellement bien ce que les gens sont à l'intérieur que je ne doutais même pas de cet interne. J'en tombai sur le cxl, et c'était dans les deux sens du terme. Je me retrouvai assise dans l'herbe légèrement mouillée, alors qu'elle me surplombait, les yeux dans le vague, un sourire au lèvre. Je gravai cette scène dans ma mémoire, pour ne jamais l'oublier. Je me couchai dans l'hebe et fermai les yeux. A mon tour de rêver.

J'avais toujours le sourire aux lévres, en détournant mon regard du ciel pour voir Qiang Wei allongeait dans l'herbe encore mouillée, elle ne changera jamais à cette idée je souris encore plus, parler de mon passé..... je n'aimais pas trop, c'est normal non ?
Je fixais toujours mon amie, elle m'avait tant manqué, pourtant même avec elle j'avais du mal à parler de "lui", bizarement Qiang Wei était la seule à rester à mes cotés, oui la seule, malgrés nos différence nous nous complétions.

"Qiang Wei comme ton tatouage, malgrés toi tu m'as créé une vie et pour moi tu es immortelle, malheuresement moi je suis éphémére."

J'ai prononçé cette phrase sur un ton trés bas assez pour le gardé pour moi et que mon amie ne l'entende.

"J'ai faim pas toi ?"

Je restai sans voix quand elle me dit ça. Waouh, ça fait chaud au cœur.
"J'ai faim pas toi ?
-Si, j'ai grave la dalle !"
Je restai tout de même allongée dans l'herbe. J'avais trop la flemme de me lever. Mon ventre gargouilla. Bon, tant pis, je me lève.
"On va à la cantine ?"

"Oui, pourquoi pas en même temps ont à pas le choix"

Je me levais de mon petit banc,je suivis mon amie, de plus il commençait à avoir du vent, je crois que j'ai eu peur qu'un fossé c'était creusé entre nous, peu etre était-ce mon imagination qui faisait des siennes.

Arrivé devant le parc où nous avons déjà été,...Si je me souviens bien...Light demanda au chauffeur de s'arrêter et il paya l'homme pour sa course avant de sortir et de venir m'ouvrir. On marcha alors ensemble cotes à cotes dans le parc.
J'aime bien toute cette verdure, cela m'apaise. Je me mis à en face de lui et me mis à marcher en arrière. Je pris ses deux mains dans chacune des miennes. Je m'étais mise ainsi pour pouvoir le voir, il m'apaise encore plus que la nature.

On marchait comme ça pendant un moment puis à un moment, je me pris le pied dans quelque chose et me senti partir en arrière je m'agrippa alors à Light qui tomba en même temps que moi sur un plan d'herbe. Il se retrouvais sur moi et devint un peu rouge avant de me demander si ça allais.
Un petit rire sorti et je répondis que j'allais bien avant de prendre son visage entre mes mains et de l'embrasser.
-"Je continuerais à te le dire même si tu t'en lasse, Je t'aime."

Il me répondit qu'il ne se lasserais jamais de l'entendre d'après lui.
-"Et moi je ne me lasserais jamais de te le dire, encore et encore, je t'aime de tout mon coeur." C'est sur ces mots que je l'embrassa fougueusement. C'est plus fort que moi, quand je vois ses lèvres, je suis obligé de les embrasser.

Il passa sa main dans mes cheveux puis déposa la seconde sur ma joue. Je pris déposa alors la mienne sur la sienne pour l’empêcher de bouger et je tourna mon visage pour déposer un baiser au creux de sa main. Je replaça ensuite mon visage comme avant et redéposa sa main où elle se trouvait. Je déposa ensuite mon autre main sur sa tête en passant ses cheveux entre mes doigts.

;je le sentais sourire pendant nos baiser..je trouve ça trop mignon. Je le poussa alors pour qu'il se retrouve coucher sur l'herbe et me mise à califourchon sur lui. Je commença à lui faire quelque baisers dans la nuque puis lui laissa un petit suçon avant de retourner sur ses lèvres. Avec mon entre-jambe, je sentais déjà que son membre était devenu dure...Cela me donne envie d'aller plus loin moi...Dommage que l'on sois en pleine nature.

"Oh, regarde les étoiles Qiang !!! Comme elles sont belles!!!"

Que de souvenirsde nuit étoilées et de festivals d'été, mes premiéres sorties interdites et mes premiers émerveillements vie à vie de la nature, je m'assis sur un des bancs des plus éloignés de la ville ou des chemins.
Le banc était situé sous un saule, je fis signe à Qiang de me rejoindre.

Quand Chi' s'émerveilla sur les étoiles, je levai la tête à mon tour. C'est vrai qu'elles étaient belles. loin des lumières de la ville, leur éclat ressortait sur le ciel noir. Quand je rebaissai mon regard vers mon amie, je vis qu'elle était sous un saule et qu'elle me faisait signe. je m'asseyais à côté d'elle et nous restâmes un bon moment en silence, à contempler les étoiles, les feuilles, tous ce qui nous entourait. c'est elle qui brisa le silence la première:
"Tu te rends compte... deux ans qu'on se connait...
-Dont un où je n'étais pas là. On a l'amitié la plus solide de tous les êtres vivants. Nos tatouages en témoignent."
Elle tourna la tête vers moi et sourit. Elle a le sourire le plus beau de toute la terre...

"Oui, nous étions destinées à nous rencontrer, merci Qiang Wei"

Sur c'est mots je colla mes jambes à ma poitrine et aux reste de mon corps d'apparence fragil, mes mains se rejoignérent autour de mes fines jambes, je jeta un dernier regard à mon amie a sa cheveulure noir comme l'onix, ses lévres vermillon et a son visage ovale digne d'une petite impératrice chinoise des temps ancien.
Quand je commence à m'énumérer chaque détail et chaques souvenirs cela est le signe que j'allais m'endormir et que ma peur de ne pas me réveillais le lendemain resurgissait.

J'ouvris les yeux. Une goutte venait de tomber sur mon nez. Mxrde ! On s'était endormie sous le saule ! Chi' avait sa tête posée sur mon épaule, et semblait apaisée. Prise d'un doute, j'approchais ma main de sa bouche, et soupirai de soulagement en sentant son souffle contre ma peau. je tournai la tête et vit que nous n'étions pas seules. Deux autres personnes étaient dans le parc, en train de ... Nan, j'veux pas savoir. J'essaie de porter Chigiku sans la réveiller. Peine perdue. Elle ouvre u oeil et marmonne quelque chose, encore dans le sommail.
"Je te ramène à la chambre, Chi'. On a passé la nuit dehors."
Elle ne répondit pas et se rendormit aussitôt. je croisai les doigts (en pensées) pour qu'on ne rencontre pas de surveillants.

Il me griffa le dos en passant une main dans mon haut et durant mon baiser, il m'attrapa la langue de façon à se que je ne sache pas la récupérer. Quand je me suis rendu compte que je n'arrivais pas à ravoir ma langue, je me mis à sourire un peu sadiquement. Il veux la jouer ainsi, hum. Y a apparemment personne qui prête attention à nous donc je me lança. Je fis glisse ma main sur son torse et descendis jusqu'au bord de son pantalon. Je lui déboutonna doucement son pantalon puis je le regarda dans les yeux attendant sa réaction.

Il me fis également un sourire pour répondre au miens. Puis, Light commença à me retirer mon haut et me griffa tout en m'embrassant dans le cou.
-"Huuuum...Petit coquin ! Toi aussi tu en a envi, hein."
dis-je d'une voix suave avant de me lécher la lèvre supérieur.
Je continua à ouvrir son pantalon puis fis entrer ma main dans son boxer. Je sentis que son membre était déjà bien dur. Je fis glisser le bout de mes doigts on le long de son sexe. Je mordilla le lob de son oreille puis baisa son cou. Je descendis mes baisers sur ça clavicule. Avec ma main libre, je commença à déboutonner sa chemise tout en continuant à descendre baisers au rythme au quel je défis les boutons. Je pris ensuite sa verge à pleine main et commença à faire des lents va-et-viens tout en remontant mes baisers jusqu'à ses lèvres.