Le hall d'entrée.

**Invité** Invité

" Ouais on y va !! "

**Invité** Invité

Dites-moi... Où dois-je vous mettre ?

Je suis un garçon, je veux une chambre de garçon.

Age : 33 Date de naissance : 09/05/1991 Messages : 439

Héhé, oui, c'est moi. Je ne suis pas encore un autre jumeaux ou sosie de Rin, manquerait plus que sa... J'ai déjà toi!

Allez, on en parlera à la cuisine, let's go!

**Invité** Invité

J'avais vu un mec rentrer dans le hall et se rendre vers la secrétaire qui lui avait parlé d'un air désolé ce que m'interpella légèrement. Cette femme était en général sévère et froide. Bon, il faut dire que dans une maison de redressement, on s'attend rarement à croiser des enfants de coeur mais bon tout de même... Je regardais le garçon partir après nous avoir regardé et je lui souris avant d'entendre Rin répondre à son frère puis se tirer vers la ... La cuisine qu'il appelle ça. Bon ! Je saisis le poignet de Yukio qui semblait encore sous le choc et son frère ne l'aidait pas vraiment puis je suivais Rin qui courait comme un grand malade.

**Invité** Invité

Etant d'accord avec moi, elle m'ouvrit gentiment la porte pour me laisser passer. La remerciant, j'entrai dans le bâtiment et découvrais un gigantesque hall. Levant les yeux aux plafond, je tournai sur moi même pour observer le décor, la bouche béante. Eh ben ! C'est pas petit ici ! Et puis, pour une maison de redressement, c'est pas si morbide ! Sen me guida ensuite jusqu'à la réception d'où se tenait une vieille femme aux lunettes atrocement... moches. Ouais, bon... Sur ce coup là, je suis vraiment pas sympa, c'est vrai. Mais avouez tout de même qu'elle a des goûts affreux ! Me regardant comme si je l’emmerdais profondément, je lui souris pourtant et dis poliment :

" Bonjour, Syo Kurusu, je viens tout juste d'arriver. "

Ne prenant pas la peine de répondre à mes salutations, elle me demanda mes fiches d'inscription, et me dit de patienter le temps qu'elle vérifie tout ça sur l'ordinateur. Attendant alors, je regardai Sen qui semblait chantonner. Vraiment, elle n'a pas changer... Mis à part qu'aujourd'hui c'est une jeune femme... Après un moment, la réceptionniste me fis sortir de ma contemplation pour me dire que tout était bon et me tendit également un plan et les clés de ma chambre. Sans un mot de plus, elle retourna à son bouquinage. Mouais, non seulement elle n'a aucun style mais en plus elle est mal polie... Ça commence bien dites moi ! Partant ensuite en direction des escaliers, je suivais Sen qui connaissait les lieux mieux que moi. Me prenant la clé des mains pour avoir le numéro et ainsi savoir notre destination, je la regardai et pris la parole :

" C'est pas la joie pour elle on dirait ! "

Je ris alors et ajoutai :

" Bon... Pour en revenir à ce que je fais ici... La raison est que je me suis également battus avec plusieurs gars. Ils m'insultaient et me tabassaient par pur plaisir depuis le début de l'année, alors quand j'en ai eus marre, mon excès de colère à eut raison de moi. J'avais commencer à prendre des cours de défense donc je n'avais plus peur et j'ai foncer tête baisser. Et puis... Tu connais mon père ? Il n'a pas voulu d'un fils qui se l'affiche devant son lycée en se bagarrant avec des lascars. Résultat, je me retrouve ici ! "

Marquant une petite pause, j'avais envie de dire autre chose mais j'avais la boule au ventre. Regardant toujours Sen, je me lançai finalement, petit sourire timide aux lèvres et joues qui rougissaient légèrement :

" Mais... Maintenant... Je ne me vois plus partir. "

Age : 27 Date de naissance : 18/12/1996 Messages : 338

Boudant parce que Dante avait ris lorsque je m'étais évaporée dans mes pensées, il nous emmenait là, ses bras autour de notre cou, moi haussant mes yeux en l'air. Il fait son play boy, je te jure, c'est agaçant. Passant alors le hall, je dis en levant mes yeux vers Dante, malgré ma petitesse : << J'espère que tes arguments seront crédibles, je suis peut-être du genre loufoque, j'en reste lucide. >> Bien que je n'ai vraiment aucun doute, je dis juste cela pour le charrier un peu. J'étais tout de même tendu. Si il récupère toutes les infos de tout le monde va-t-il me demander ce qu'il m'est arrivé à moi ? J'espère pas... Je n'ai vraiment pas que ça à faire... Hmm... Non, non. Y repenser ça me fait tout drôle alors en parlant et revivre ce cauchemar, très peu pour moi. BREF. Secouant ma tête pour chasser ses mauvaises pensées qui ne devraient pas être, je m'exclamais, en plein sujet de bouffe :

<< Je vais prendre une Reine moi ! >>

Non, plus sérieusement, même si Dante a une drôle de façon de porter un intérêt chez les autres, je sais qu'il me fera pas de mal comme ça, enfin... Je crois ? Non, je ne sais pas pourquoi ni comment mais je sais que je peux avoir confiance en Dante. Je me demande ce qu'il lui a plut chez-moi... Du moins, intrigué. Ma folie ? Hm, peut-être. Enfin bon, je ne vois pas quel intérêt on pourrait avoir avec une tarée m'enfin bon, les gens sont comme ils sont, il en va de même pour moi. Nous nous rendîmes donc vers l'entrée pour chopper un bus. Un buuus !

Age : 41 Date de naissance : 18/01/1983 Messages : 1085

Hop hop hop, où tu vas toi ?

C'est partit mon Kiki, direction : destination finale.

Age : 31 Date de naissance : 04/11/1992 Messages : 679

Croyant toutes les deux prendre le bus pour se rendre au restaurant, il nous traîna en réalité jusqu'au parking sous-terrain - mal éclairer d'ailleurs - et se dirigea vers une magnifique voiture noire en sortant une barrette de sa poche. Non... Ne me dis pas que ! Ah bah si, c'est bien ce que je pensais, il va 'empreinter' ce véhicule... Dévérouillant les portes, il nous incita ensuite à monter. Restant planter sur place, on hésitait à s'exécuter. Attends Mc gyver ! T'es au courant que c'est un délit ? Nous fusillant du regard et ne voulant pas m'attirer ses foudres, je cédai la première et montai à l'arrière. Ok, ok ! Pas la peine de nous regarder comme ça ! Attachant notre ceinture, je priais dieu pour que le propriétaire de cette voiture ne s'aperçoive de rien tandis qu'il bricolait les câbles du démarreur. Fin prêt, il sortit de l'enceinte de l'établissement et prit la direction de je ne sais où, un sentiment bizarre s'emparant de moi. Je n'aimais pas vraiment ce qu'il venait de faire mais en même temps, j'étais excitée à l'idée de dépasser l'interdit. C'est si palpitant !

Age : 38 Date de naissance : 05/01/1986 Messages : 337

Arrivant calmement dans le hall, je regarda autour de moi l'état des lieux. Hum. Le bâtiment n'a pas l'air extrêmement vieux et pourri, je pense que je pourrais m'y plaire. Une vieille femme apparemment malpolie se tenait derrière l'accueil, elle me fit un signe pour me dire d'approcher. Sans changer d'expression, je resta neutre et me dirigea vers elle dans un grand silence. Elle me fusilla brusquement d'un « T'es qui toi ? » Je ne pus m'empêcher de sourire, eh bien, les gens ne sont pas poli ici. Je remis correctement mes lunettes sur le bout de mon nez, et la regarda de haut en souriant légèrement.

« Kristoph Gavin, je viens d'arriver. »

Elle fouilla dans des dossiers juste derrière elle et me présenta mon dossier, je lui fis un signe de la tête pour lui faire comprendre qu'il s'agissait bien de moi et de personne d'autre. Elle me fixa un instant et me lança une clé que j'eus vite rattraper et examiner. Je suppose que c'est ma clé de chambre ; je ne fis pas attention au numéro, peu importe pour l'instant, je ne compte pas y aller tout de suite. Je pris ma valise et me dirigea vers ce qui semblait être le Réfectoire. Bon j'ai un peu faim, juste un peu. Alors autant manger tout de suite.

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J'étais donc entrée dans l'enceinte du bâtiment pour après aller dans le hall. C'était à première vue grand, bien espacer, l'odeur par contre c'est pas ce qu'il y a de meilleur mais bon. Je trainais donc ma valise derrière moi en me frottant le nez puis je m'approchait de la dame de l'accueil. Je lui disait que j'étais no_veaux, puis mon nom etc pour que ensuite elle me prenne ma valise en disant que ma chambre n'était pas prête. Elle allait la mettre après bon bah d'accord... Je lui souriais très légèrement puis je partais donc dans les couloirs d'un pas hésitant, faut que je voit comment c'est ..

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Je rentrais donc dans cet immense bâtisse qui me servais a partir de maintenant de maison. Je passais la hanse de mon sac sur mon épaule et m'approchais d'une dame qui ne m'avais pas vraiment l'air commode.
La dame : "Vos clefs."
N'ayant pas envie d'être aimable avec une personne comme elle, je lui demanda le numéro de ma chambre, puis y fila rapidement.

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Je rentrai rapidement dans ce bâtiment de merde, regardai autour de moi en soupirant et repérai enfin ce qui était censé servir d'accueil ici. J'ai bien dis censé hein ... C'est quoi cet endroit, sérieux ? En plus on dirait une prison ... Si si, je vous jure. Je m'avançai jusqu'à l'accueil et me penchai vers la dame en lui demandant le plus poliment du monde -Ici ironie- la clef de ma chambre et, bien entendu, elle me demanda mon nom. Une idée germant dans ma tête, je lui donnai un faux nom et m'amusai allègrement de la voir fouiller comme la dernière des connes dans les dossiers de son ordinateur sans trouver ce qu'elle cherchait bien évidemment. Me retenant tant bien que mal pour ne pas rire, je lui dis innocemment qu'elle avait dû mal entendre et lui donnai cette fois-ci mon vrai nom, la femme le trouva sans mal et me donna ma clef ainsi que le numéro de ma chambre. Je la pris et m'éloignai donc dans les couloirs menant aux chambres en me mettant à ricaner discrètement.

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Aaron arrivait devant la grande bâtisse.Pour une maison de redressement, il n'y existait rien d'anormal dans ce lieu banal et ennuyeux. Dire qu'Aaron pensait pouvoir s'amuser... Ce n'était pas gagné...
Sa mèche devant les yeux, il poussa tant bien que mal la porte. D'un pas lent, il s'avança vers l'intérieur. Ici aussi, ce fut comme à l'extérieur... Tout ce qu'il y avait de plus banal. Un grand hall, un bureau situait un peu plus loin. Surement celui de la secrétaire...
S'ils avaient dit vrai, les parents d'Aaron lui avaient réservé une chambre. Jetant un coup d'oeil furtif vers le bureau, il se décida à aborder la secrétaire pour lui demander sa chambre. Quand elle l'aperçue, celle-ci le dévisagea d'un regard nonchalant.
Cela commençait bien...

« Ma chambre ! »

Après un commentaire incompréhensible à Aaron de la secrétaire, elle lui répondit « chambre numéro huit ». Ce n'était tout de même pas sa faute si Aaron ne savait pas encore très bien parler le japonais. Cependant, il n'y prêta pas trop attention et sortit son portable de sa poche. Il y entra en tant que mémo le numéro de sa chambre pour être sûr de se le rappeler. Et surtout pour ne pas avoir de nouveau à faire à cette vieille dame.
Ceci fait, il le remit dans sa poche et partit. Direction, les couloirs...

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C'est par ici !

Age : 27 Date de naissance : 18/12/1996 Messages : 338

Pouah, elle a voulu me tuer à faire la course comme ça... M'enfin bon, je suis trop forte, j'ai pas vomi ! Nous sommes accueillis par les chaleureuses lumières de la réception -enfin, chaleureux, c'est trop gros.- dont Dante ouvrit les portes, mains dans la main... Prendre un enfant par la maiin ! Heu.. Hum.. Après avoir passer l'entrée, je vis Tamara tomber sur les fesses en plein milieu du hall... Frottant mes paupières dû à une certaine fatigue, je dis après avoir mis mes mains devant ma mâchoire, ayant baillé : << Qu'est-ce que t'as faiiiit ? >> I'll be there !! You and I, you... you... Youuuu !... Je sais plus les paroles de Michael Jacksoooooneuh... Je sens que ce qu'il me reste d'éveillé va s'éteindre pour économiser l'énergie qui lui reste... Danteee, tu me ramènes dans ma chambreuh ?... Je sais plus c'est laquelle tiens.. Je crois que j'en ais pas... J'AI PAS DE CHAMBRE ! Je suis à la ruuue... Bouhhhh ... Pas de bol Erio... Faudra que je demande à la réceptionniste ma chambre parce que... Je veux pas dormir sur des bancs... Je demande asile pour aujourd'hui... Pas asile pour psychiatrie, asile pour... Vous avez jamais vu Chaperon rouge ? A un moment elle demande asile parce que le loup veut l'emmener.. Non ? Y a que moi qui looke de bons films ou quoi ? Ah merde, je me parle à moi-même, oup's ! Bref, regardant Dante et Tamara l'air de dire ' Qui que quoi ? ' J'attendis que l'on me dise quoi faire... 2+2 = 22 ! Ah sii...!

Age : 41 Date de naissance : 18/01/1983 Messages : 1085

J'aurais du filmer.

Age : 31 Date de naissance : 04/11/1992 Messages : 679

Me relevant tant bien que mal, je répondis à Erio tandis que Dante allait à l’accueil :

" Ben je tombe ! "

Puis, quelques minutes après, le beau surveillant nous siffla. Ah ! On nous appel ! Trottinant donc gaiement jusqu’à lui, il nous caressa le haut du crâne et se dirigea vers les couloirs. Le suivant, nous arrivions à une chambre, qu’il ouvrit pour laisser entrer Erio. Moi, j’étais rester à l’entrée de la porte, observant Dante border la jeune fille en souriant bêtement. Oui bon, sans commentaires, hein ! Mais on dirait vraiment un papounet attentionné alors ça me fais sourire, c’est tout ! Lâchant ensuite un " Bonne nuit " enthousiaste lorsque Dante revint vers moi en fermant la porte, nous nous dirigions vers… vers… bah vers ma chambre je présume !

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Fermant ma porte à clé, elle me passa son autre oreillette et me demanda de deviner avec un grand sourire aux lèvres. M’exécutant, je pus facilement savoir quel était la chanson rien que les premières secondes. Fière, je répondis du tac au tac :

" The Only Exception de Paramore ! "

Me tirant vers l'entrée de la maison, j’allais lui demander où elle m’emmenait comme ça lorsqu’elle me devança en me demandant si j’aimais danser. Hum ? Oui, bien sur, quelle question ! Haussant un sourcil, nous arrivions déjà dans le hall alors que je répondais :

" Bien sur mais où m’emmènes tu ? "

Arf ! Elle va m’arracher le bras à cette allure ! Sourire aux lèvres, j’étais amusé par autant d’enthousiasme. Mais qu’est-ce qu’elle a derrière la tête pour me traîner ainsi ?

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J'arrivai donc à l'entrée de l'établissement où mon ancien hôpital psychiatrique avait décidé de me placer après toutes mes histoires. Une maison de redressement. Je soupirai et entrai à l'intérieur d'un pas lent, en mettant mes mains dans les poches de mon gilet à capuche de couleur pourpre. Le hall était assez grand. Tandis que je le parcourais de mes yeux améthystes à peine entrouvert, je remarquai un comptoir. Je m'en approchai toujours aussi lentement, peu enthousiaste. La personne qui se tenait derrière commença à me dévisager. Je pris une petite inspiration et soufflai :

"Bonjour... Je suis nouvelle et je souhaiterai connaitre le numéro de ma chambre si cela est possible..."

La dame continua de me dévisager un instant avant de jeter un regard vers une feuille. Sans doute la liste des numéro des chambres. Elle me demanda mon nom. Je lui répondis, désintéressée et ennuyée. Remarquant cela, elle me lança :

"Chambre 8."

Elle me tendit alors une clef que je pris avec peu de délicatesse et la glissa dans la poche de mon gilet en murmurant de faibles remerciements. Puis je tournai légèrement sur moi-même. Je n'avais pas envie de découvrir ma chambre tout de suite, je partis donc du hall afin de voir les autres lieux de cette maison de redressement.

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Il tenait ses valises quand il passa la porte du hall. Il observa la pièce dénudée, et aperçu une réceptionniste assez âgée derrière un comptoir en bois mité. Garabed s'approcha d'elle, et posa ses coudes sur le bois, tout en se penchant en avant. Il eut un sourire en coin, et posa une question à la femme:
<< Excusez-moi... je m'appelle Garabed et je suis nouveau ici. Quel est le numéro de ma chambre ? Et si je pouvais savoir le nom de mes colocataires par la même occasion ... >>
Il lui adressa un clin d'oeil, mais la femme ne réagit pas et se retourna pour chercher une clé. Garabed eut un mouvement de surprise, puis haussa les épaules. Bah, après tout, c'est qu'une vieille...Rien a battre si elle peut pas me voir. Il récupéra prestement ses clés, et décida de faire un saut dans sa chambre pour poser ses affaires avant de visiter un peu cette maison de redressement.

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J'entre en trainant ma valise, machonant vulgairement un chewing-gum. Je balai la salle du regard. Eh beh ! Je m'approche du guichet, attendant sagement que la guichetière daigne lever les yeux de sa revu.

« Bonsoir, Tsukiyo Moriko, pourrais-je avoir les clés de ma chambre et un plan du bâtiment s'il vous plait. » demandais-je poliment, attendant tout autant de politesse de l'employée.

Elle regarda ses fiches puis me donna mon du sans rien dire, avec un regard de travers. Je pris se qu'elle me tendait, soutenant son regard en tachant de ne pas trop m'enervée. Seulement, je répondis lorsqu'elle me demanda, pas très gentillement, ce que j'attendais.

« Un minimum de politesse, il me semble pas vous avoir traitée comme un chien. Si vous traitez tout les jeunes comme ça ici, je vous promet que vous ferrez pas long feu. »

Je lui lance un regard de défis avant de parti, lorsqu'elle tourna la tête, visiblement choquée. Tss...

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Une lumière m'aveuglait directement alors que j'étais dans un profond sommeille. Ou suis-je ? dans une voiture de la police évidemment et dès que la voiture s'arrêta, ils me jetèrent dehors, m'envoyant par la même occasion la valise juste à coté de moi pour pas me faire mal. Restant au sol quelque minute , le temps que je me remettes les idées en places, je me relevais donc, regardant le bâtiment qui était devant moi. C'était très grand... hum. Je prenais donc ma valise, entrant dans le bâtiment, j'allais demander poliment mes clef. Après les avoirs eus, j'empruntais les couloirs pour me rendre à la chambre.

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Je reviens,ne faisant que passé. Je détourne un moment le regard de mon portable pour lancer insolemment à la guichetière.

« Alors, ça avance ? »

Sans attendre la réponse, je sors, répondant en même temps au texto de ma mère.

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J'arrive, sans savoir trop quoi faire. Je m'approche de l'accueil pour voir si ma "grande amie" avait progressé dans son apprentissage de la politesse. Je m'arrête quelque pas avant pour regarder les différentes affiches. Mon regard s'arrête sur l'une d'elle, parlant d'une fête pour Halloween, fête que j'adore, ayant lieux dans l'établissement. Je vis ensuite qu'elle se déroulait plus précisément dans la salle de bal. Une salle de bal ? Eh beh, sacré bahu ! Je regarde les horaires et jubile interieurement en voyant qu'elle avait déjà commencée. Je fais donc demi tour, retournant à ma chambre pour me changer.

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J'arrive doucement, envoyant un texto simple à ma mère, du genre "Je t'aime, tu me manques" etc... Je me dirige ensuite vers le bureau, ou guichet, frappant plusieurs fois contre la vitre pour que la guichetière vienne. Quand elle fut arrivée avec son air méfiant, je lui lance directement.

« Je voudrais savoir où est ce que j'aurai le plus de chance de trouver des surveillants. »

Pas le temps pour les formalités, et puis, ça me fait une "vengeance", si je puis dire. Elle me répondit aussi simplement que je devrais allée dans la cours. Bien sur ! Qu'elle idiote ! Je la remercie et vais directement là où elle me l'avait indiquée d'un regard.

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