J'affiche un demi sourire et lui lance un regard plein de sous entendu à ça première remarque. Pas besoin de savoir lire dans les pensés pour savoir vers quoi elle se tournent actuellement.

« Si t'es sage » le taquinais-je, si on peut appeler ça de la taquinerie.

J'aime bien cette remarque quand je parle de sexe, sans savoir pourquoi. Je rapporte un instant mon attention à mon plateau richement garnis, prenant une bouché d'une salade au gout étrange. Ça me change des salades dégueulasses de mes précédents bahu. Je le regarde a nouveau après avoir finis ma bouche, l'écoutant. C'est tout ? Ça m'étonnerais... Je ne réagis pas plus que ça, le fixant.

Je ris doucement, interieurement, affichant un petit demi sourire plein de perversité.

« Ça, je te le dirai le moment venu »

Je sais qu'il a autres choses à me dire. Dis moi tout, j't'en pris. Il faut que je sache, pour pouvoir tout mettre au clair. J'attend ça réponse, cessant de manger. Je le fixe sans bouger. Il lâche la pomme avec laquelle il jouait plus tôt, suivant une jeune fille du regard avant de me demander si elle était dans mon répertoire, changeant donc de sujet Posant mes couvert et mettant ma main sur mon front, je soupire et ferme les yeux en serrant les mâchoires. Je regarde rapidement la fille en question. Je risque pas de la connaitre, sachant que les deux seules personnes que je connais ici, c'est toi et Dante.

Fermant les yeux, je soupire pouce doucement le plateau sur le côté. Si j'avais bien compris, chaque surveillant avait ces élèves, donc chacun doit être capable de tout expliquer. Que ce sois dans un sens, ou dans un autre, il me ment. Mensonge, encore et encore. A quoi bon ? Je ne me souviens pas t'avoir mentis, personnellement. Alors, à quoi bon mentir ? Qu'est ce que ça t'apporte ? C'est pas parce que personne ne peut réellement te mentir que tu doit mentir, toi. J'ai l'impression qu'on joue avec moi, et je n'aime pas ça... Du moins en dehors du lit et des combats. Tiens d'ailleurs... Je relève la tête, plongeant un regard des plus pervers dans le sien. Si c'est ça que t'appel être sage, tu t'es trompée de chemin. Je me penche sur la table, me baissant, si je puis dire, fixant toujours ses yeux de la même manière.

« Je suis moins conne que tu ne peux le croire, Akira Kanzawa » dis-je, d'une voie légèrement coquine.

Ne bougeant quasiment pas, j'affiche un très léger demi sourire, qui veut tout dire.

Je souris interieurement. Je n'ai pas dis que u m'avais traité de conne, seulement que tu le pensais surement. Comme la plupart des personnes qui me parlent. Coupée dans mon hélant, je me redresse en même temps que lui, voyant alors la jeune fille qui intrigue tant Akira. Je les observes. Ils ont l'air d'avoir quelque chose en commun, mais je n'arrive pas a trouver quoi. Puis je m'en fiche en fait. J'ai ensuite envie de rire lorsqu'Akira s'adresse à moi. Je n'ai jamais étais mal a l'aise à cause de quelqu'un. Le plus souvent, c'est eux qui sont mal à l'aise à cause de moi, du moins, une fois que ma réputation est en place. Et c'est pas aujourd'hui que ça va changer. Mais je n'aime pas devoir des choses aux gens.

Je soupire, amusée, l'observant un long moment en réfléchissant, évitant de penser à certaines choses pour qu'il ne puisse pas les connaîtres. Je le vois regarder le plateau. C'est vrai que je n'ai mangé qu'une petite partie d'une assiette de salade, mais ça me suffit. Je demande ensuite, soutenant son regard de la même manière que lui soutient le mien.

« Essayer de deviner tes penser me servirais à quoi ? »

Je ne relève pas, soutenant toujours son regard de la même façon, limite avec envie. Riant intérieurement à mes remarque mentale, je m'adosse à ma chaise, le fixant toujours. Je l'observe, encore. Oui, j'aime observer les gens, et alors ? D'habitude, c'est discret, mais là, il est en face de moi et peut savoir tout ce que je pense. De plus, il me regarde aussi, alors je vois pas pourquoi je me priverais. J'affiche un demi sourire, trouvant qu'il n'était pas mal foutu. Quoi ? C'est vrai. Je finis par détourner le regard, cherchant mon t-shirt mais surtout ma sacoche, du regard. Je fronce les sourcils, respirant doucement. On avait dû les laisser au préau. Je regarde a nouveau Akira du même regard que plus tôt, décidant de prendre tout ça à la rigolade, même si je reste prête à défoncer n'importe qui y ayant touché. Un peu mieux, j'te sortais une connerie.

Je ris, toujours interieurement. Que ça le dérange ou pas, de toute façon, je lui aurais pas demandé son avis. Je le fixe encore et toujours de la même façon, ajoutant à sa seconde remarque.

« Et modeste qui plus est ! »

Je dois avouer qu'il n'est pas mal dans son genre. Il est sexy, bien foutu, pervers comme j'aime bien et, malgré sont côté chiant, il peut être simpatique. Reste que la politesse à revoir. Pensais-je pour le taquiner un peu. J'aurais pu y penser aussi. Je m'imagine différentes façon de "punir" qui aurait osé y toucher, jubilant interieurement avant d'entendre sa proposition.

« Non, je peux pas accepter »

Je pénétrais dans le réfectoire, histoire de prendre une sorte de petit-déjeuner correct. Je ne fis que tomber sur des choses qui n'avaient pas l'air extrêmement appétissante. On se demandait s'ils n'achetaient pas de la viande de trolls pour faire leurs ... Plats ? Le mot pour désigner la chose me sembla trop poussé. Je rectifiais donc mentalement ce que je venais de dire. Ce n'était pas des "plats" mais des "choses"... Choses qui ne donnaient pas du tout envie.
A force de regarder, j'eus un haut-le-cœur et failli me vomir dessus. Je pris une grande bouffée d'air par la bouche, n'utilisant pas mon odorat, au cas ou - imaginons que je meurs d'asphyxie.
J'eus pitié pour ceux qui devaient rester dans les cuisines un long moment. Je me demandai s'ils n'ajoutaient pas du rat mort aussi, à cause d'une odeur putride qui venait quand même me caresser les narines.. Horreur de la nature.
Je ne savais pas s'il y avait un quelconque aliment... Mangeable ? Je regrettais presque la cuisine brûlée de mon père.
En prenant mon courage en main, je me servis de... des fruits qui... Semblaient ne pas être pourris et sans vers. En espérant ne pas avoir de mauvaises surprises.
Je finis par me mettre sur l'une de toutes les tables vides - il n'y avait personne, c'était déprimant - et commençais à manger ma pomme verte qui était parfaite... J'eus peur des autres fruits, je finis donc par ne manger que ma petite golden. Je trouvais que ça faisait quand même pitié.
Je sorti après avoir débarrassé mon plateau et repris le sens inverse, me redirigeant vers ma chambre.

Je ne réponds pas, me contentant de le fixer. Puis je repense à notre discution lorsqu'on était au préau.

« Peux-tu finir de m'expliquer ? »

Le détaillant, je m'imagine tout un tas de choses. Aie, ce qu'il m'excite. pensais-je en me mordillant la lèvre inférieur, soutenant toujours son regard. Attendant sa réponse, je me baisse sur la table, comme un peu plus tôt, mais posant ma tête sur mes avant bras, ne détournant toujours pas le regard. Je change rapidement de position, me relevant un peu et posant, cette fois, ma tête sur ma main gauche, mes cheveux à présent secs.

J'arrivais comme un taré dans le refectoire sautant sur une table et retombant par terre souplement sans rien faire tmber oui je sais c'est la classe mais a tien de lanimal plus que de l'humain et je me jette sur les delicieuses viandes que japercoit la bah je me met parr terre et dit simplement "manger"avant me bafrer de viande et quand je dis bafrer c'est bafrer donc les morceaux de vande volaient dans tous les ens car j'avais faim tres faim bien sur javais commencer a fouiller le portefeuille de la fille et avait laisser l'argent pur me concentrer sur ce qui brillai dans le portefeuille :les pieces!

Vu le bruit que vient de faire son ventre on va euuh ... Manger, non ? La suivant en jetant de petits regards par-ci par-là, on entra ensuite toute deux dans un grand réfectoire, et bien j'avais vu juste ! Gardant mon sourire, je lâchai l'emprise que j'avais à son bras puis la laissais se jeter sur la nourriture puis en mettre sur son plateau. Et bien, elle a faim et c'est peu de le dire ! La suivant tranquillement, je jetais un regard un peu surpris à un garçon qui venait d'entrer en furie et mangeait à présent ... au sol ? Et avec beaucoup de retenue et de modération en plus de ça. Faisant une petite moue interrogative en le regardant quelques instants, j'hausse ensuite les épaules, assez amusée puis pris de même un plateau avec d'y mettre des friandises telles des gâteaux, des glaces et autres sucreries puis rejoins Pauline en sautillant, toute contente avant de m'asseoir en face d'elle, déposant mon plateau.

"Bon n'app !"

Je ris un peu en la voyant s'empiffrer comme si elle n'avait pas mangé depuis des jours, puis pris en main un gâteau, commençant à manger, de bonne humeur. Han trop bon ! Ou comment prendre des kilos facilement. Mais quoiii, j'avais pas envie de manger autre chose dans l'immédiat.

"miam miam maima"fit le petit sauvage et il ne se contenta pas de mangerdeux bout de viande il se contenta de prendre 2O pieces de viande pour lui tout seul en voyant les filles le regarder il nebroncha pas et se contenta de se jeter sur son repas et jouer apres avec les pieces volées au préalable "encore faim" et dire que c'est moi ce gars la !!Voila c'a y es j'en peut plus de moi meme ,incroyable faut toujours que j'en fasse trop mais bon apres faut me prendre comme je suis et rien dautre

Arrivant dans une des salle ou je devais l'avoué, l'odeur appétissant m'avait attirée. Je me stoppa en regardant dans les alentours si la personne que je cherchais était encore là, les poigts serrés. Et je devais même avouée que ça aurait été plus que facile que je vis avec facilité ce gamin à la tiniasse blanche avec mon porte-feuille ! Lui ! Je m'avança à pas déterminé avant de chopée son poignet qui retenait mon bien et de pousser le gars contre une table. J'étais furieuse ! C'est normale non ? On vous vole alors que vous venzz d'arriver ! Je profita du faite qu'il me semblait étourdit pour lui retourner une grosse giffle enchaîné d'un coup de bien dans les couilles ! Une fois a terre, je prie mon porte feuille que je rangea dans ma poche arrière, caché par mes long cheveux.

- Cela t'apprendra a volé, batard ! m'exclamais-je !

Je tourna des talons en quittant la salle, satisfaite. Je n'avais pas crié garre et je me fichais bien de ce que ce connard pouvait bien penssé ! J'étais à présent furieuse et je ne savais même pas comment me calmer tout en quittant la salle.