Je me redressai en sursaut sur mon lit. Sur mon lit ?! Il n'y a même pas deux minutes, j'étais dans les bras de Chigiku, quand soudain quelque chose était arrivé. J'avais senti la chaleur du feu près de moi, et m'étais relevée en sursaut. tout le monde hurlait, criait, tombait, se marchait dessus. Bordel, Chigiku ! j'avais regardé de tous les côtés, mais ne l'avais pas vue. Et là, j'avais croisé le regard de mister sucette, qui avait un air triomphant. Merde ! C'était quoi, tout ce bordel ? Et là, une voix s'était élevée, féminine, mais inquiétante. Elle disait des choses incompréhensibles, pour moi en tout cas. et puis après, plus rien. le vide total, jusqu'à maintenant.
je n'étais pas dans la même chambre que d'habitude. Je cherchais du regard mes affaires, et vit qu'elle était rengée dans une armoire, qui n'était pas celle que j'avais avec Chigiku. Je vis aussi un autre lit. Seulement un?! Qui était donc partie de la chambre ? Chigiku, ou bien Miki? Je me relevais vite fait, et tirai sur ma robe pour bien la mettre. Apparemment, durant mon absence, je n'avais pas changé de fringues. Oh merde, j'y comprend plus rien. Chigiku ... Où es-tu ? Je sentis des larmes couler le long de mes joues, mais ne les retint pas. Je devais être folle. Si ça se trouve, toute ma vie n'était qu'une illusion ...

Je me réveillai, les yeux rouges à force d'avoir pleuré. En plus, je m'étais endormie. Je me levai, les jambes tremblantes, et me dirigeai vers ma valise, qui, bizarrement, n'était pas défaite. Je jetai tous les habits dont j'étais vêtue sur le sol, et me choisis un short et un T-shirt. Je farfouillais dans la-dite valise à la recherche de mon paquet de clopes et de mon briquet. je trouvai le premier, mais pas le deuxième. Merde. où est-ce que je pourrais l'avoir mis ? Je fouillai dans les poches de tous mes vêtements, mais rien. Je sentis les larmes remonter, mais me retint de pleurer à nouveau. Je renversai mes sacs sur le sol, et mis la chambre en désordre. Toujours rien. Des sanglots s'échappèrent de ma gorge, sans que je m'en rende compte, des sanglots étouffés. Je tombai à genoux par terre, et essayai de respirer calmement, de ralentir les battements de mon cœur qui s'affolait. Je n'arrivai plus à me souvenir quoi que se soit, depuis hier soir. Pourtant j'étais persuadée qu'à un moment je savais tout.
Je devais être folle. C'était sûrement ça. Bon, je ne devrais pas rester plantée là. Je me remise debout, et parcourais la distance qui me séparait de la porte. Sur cette dernière, je trouvai les clés, que je pris et mis dans ma poche. Je sortis, pour aller manger un peu. Et tenter de raviver mes souvenirs, peut-être.

C'était sur Qiang' avait prit du poids ! Mes épaules allaient lâcher sous le poids, bon je ne suis pas une fille super solide je l'avoue.

J'atteins enfin le jardin D'Eden enfin avec des mots plus simples ce fut la chambre de mon amie je trouvais les noms des couloirs vraiment bizarres, humains, sorcier .... Vraiment ça m'avait surpris le directeur devait vraiment être dérangeait.
Je déposais avec précaution le corps endormit de la jeune chinoise, elle était faible, elle devait avoir passé des nuits blanches, peut être de mauvais souvenirs qui venaient tous droit du passé, un passé plutôt flou.
Je la recouvris d'une couette et remit ses cheveux en place, comme je le faisais plus jeune.

"Bonne nuit Qiang' je pense que tu en à besoin."

Je prenais soin de fermer la porte de la chambre avant de repartir vers la mienne

Je rouvris les yeux, allongée sur mon lit. Les souvenirs les plus proches que j'avais, c'est Chigi' et moi au cimetière, et elle me tendais mon briquet que je mettait dans ma poche. Je mis la main dans cette dernière, et sentis le métal sous mes doigts. Bon... Après, plus rien. Et maintenant, je suis allongée dans mon lit. Et je pus la sueur. Beurk. Je me levai, et retirai mon T-shirt que je balançais dans un coin de la pièce. Je me retournai vers mon armoire et...
Merde alors.
Que... Que... Q-Quoiiiii ?!
Qu'est-ce que fout un mec dans ma chambre, merde ?! Et à moitié à poil, en plus ! voyant qu'il dormait, je m'approchai sur la pointe des pieds de l'armoire, que j'ouvris doucement. Vide. Ah, oui. je retraversai la chambre, toujours sur la pointe des pieds, pour ne pas réveiller l'endormi. Putain ! Je fouillai ma valise, à la recherche de quelque chose de mettable pour le temps. Pourquoi est-ce que je range toujours mes pulls au fond ?! Je ressortis un pull à col roulé moulant, mais je ne fis pas la fine bouche, et l'enfilai immédiatement. je priai en silence pour que ce jeune homme ne m'ait pas vue en soutien-gorge traverser la chambre.Je soupirai, attrapais une jupette et un collant et me dirigeais vers la salle de bain pour me doucher. Je n'oubliais évidemment pas de fermer à clé.
Au moment où je me glissai sous l'eau, je me rendis compte qu'elle était glacée. Vie de merde. Je ressortis glacée, mais lavée. Je me rhabillai, et retournai dans la chambre. Je soupirai, et m'accoudai à la fenêtre pour fumer une cigarette. Cela faisait si longtemps...

"Vrrr ! "
Je me crispai en entendant ce petit son. Oh putain de bordel de merde, depuis quand il est réveillé ?! Je me retournai, le toisant. Il se frotta les yeux, et je fus rassurée. Il vient juste de se lever. Le ciel est avec moi.
"Ohayo !"
Je haussai les sourcils en entendant sa voix.Il se fout de ma gueule, là, non ?! je lui adressai un petit sourire.
"Ni hao.A ta place, je me couvrirais un peu plus. Il fait frisquet dehors."
J'écrasai ma cigarette contre le rebord de la fenêtre, et le regardai plus attentivement. Roux, assez bien foutu, des petites tâches de rousseurs... Plutôt pas mal, en fait. Quand on aime le côté mignon.
"Tu pionce ici ? Ou c'est juste... heu... exceptionnel ? Au fait, moi c'est Qiang Wei."
Peut-être que lui pourrait m'expliquer pourquoi je ne me souviens de rien depuis quelques jours. Peut-être.

Il s'habilla devant moi comme si de rien n'était, et cela ne me dérangea pas plus que ça, puisque, apparemment, on allais partager la même chambre. Autant prendre tout de suite quelques gouttes de poison pour mieux être immunisé après... Même si, j'avoue, voir ce Kasu s'habiller n'est pas vraiment un poison. Je dis à ce dernier:
"En parlant de la soirée d'Halloween... Tu ne saurais pas, par hasard, ce qu'il c'est exactement passé ? Je ne me souviens de rien !"
Je le regardai avec espoir, voulant absolument que ce jeune homme assez étrange sache me répondre. Si ce n'était pas le cas, je me taperai la tête contre les murs. Bon, quand même pas... Mais presque.
En attendant sa réponse, je déballai mes affaires, et les rangeai, un peu dans le désordre, dans l'armoire. Je ne suis pas vraiment une as du rangement, mais tant que je m'y retrouve, je ne m'en fait pas.

Quand j'entendis son explication, je me retins d'éclater de rire. Nan mais vraiment, à notre âge, croire encore ce genre de connerie ! Je toussotais à mon tour, cachant le rire que je tentai de retenir.
"Quelle histoire, hein ? Erm. Apparemment, nous, on a pas eu de pouvoir alors... pas de quoi s’inquiéter pour le moment ! Faut juste être prudent... je pense. Mais... je promets d'être là pour toi si tu as un problème ma chère coloc !"
Il me tendit la main en levant son petit doigt. Heuuu... Il veut faire quoi, là ? il avait l'air un peu con, à attendre, là, le petit doigt levé. Bon. Suivre l'instinct. je fis comme lui, avec un sourire gêné, et approchai mon petit doigt du sien. Je ne connais vraiment pas les coutumes occidentales, moi !
"Puis si tu veux, je t'apprends l'art du Kendo !"
Je relevai immédiatement la tête quand j'entendis ses paroles. Mue par un réflexe incompréhensible, et par la joie d'apprendre cette technique, je serrai son petit doigt avec le mien.
"Alors, là, si tu fais ça, je t'adule !"
Je devais avoir des étoiles plein les yeux, façon shojo, et je me dis que j'avais sûrement l'air con. Mais tant pis. J'avais toujours voulu apprendre le kendo !

Alors que je venais d'arriver dans la maison de redressement suite à mon procès, on m'assignait une chambre...la chambre numéros 2. J'avais horreur du chiffre 2 parce que dans la vie, beaucoup de choses sont par pairs: les mains,les pieds,les yeux,les oreilles,les couples,ma famille dont le nombre qui était autrefois un multiple de 2 mais qui est maintenant passé à 1.
Je pense que la première personne à qui je rendrai visite lors de ma prochaine pulsion meurtrière sera mon (ex)proprio...Il peut dire adieu à sa famille. Je lui en voudrais toujours de m'avoir envoyé ici.
Je range mes affaires qui était dans ma valise: les vêtements nécessaires, quelques effets personnels comme une photo de ma famille et des livres.
Je n'ai pas envie de rester cloîtré dans cette chambre alors je vais essayer de me trouver une pièce pour lire tranquillement.

Quand j'entrai dans ma chambre, mes paquets sous le bras, j'ouvris des grands yeux quand je tombai sur deux filles qui n'avaient rien à faire là.
"Heuuu... Salut Miki, et ... salut toi."
Je leur adressai un sourire crispé, et me dirigeai vers mon armoire pour ranger les différents habits que je m'étais acheter. Je pris mon costume chinois traditionnel,partis me changer dans la salle de bain, et revins dans la chambre. J'adressai la parole aux deux filles présentes, et leur demandai:
"C’est aujourd'hui que commence la fête de Noël, non ? Ça se passe comment, exactement ?"
Je n'avais vraiment pas envie de débarquer quelque part alors que ce n'était pas là que je devais aller. Je partis enfiler mes ballerines rouge . Une jeune femme débarqua alors, rangea ses affaires et partit aussitôt.
Haussant les épaules, je me redressai, pris le dernier paquet qu'il me restait, et sortis de la chambre.

Tamara nous avait remmenés dans nos chambres après avoir distribué les cadeaux. J'avais été étonnée de recevoir autant de paquet, en sachant que je ne connaissait pas beaucoup de gens ici. En tout cas, c'était mon impression, peut-être aussi que j'avais du oublier certaines personnes au moment de l'achat des cadeaux, puisque j'avais été pressée par le temps. Dans ce cas, je m'en excuserais auprès des personnes concernées. S'il y en avait.
J'ouvris avec impatience le premier paquet, et ouvris des yeux ronds comme des balles de ping-pong quand je vis ce que c'était. Qu'est-ce que je pourrais bien foutre avec une boîte de capotes, moi ?! Bon, d'accord, je sais quoi en faire, mais j'en ai pas besoin ! Je regardais le petit mot qui accompagnait cette boîte, et vis qu'elle était de Dante. Crétin. Je soupirai, et envoyais voler la boîte à l'autre bout de la pièce. Je m'attaquai au deuxième, et en sortit seulement une feuille de papier sur laquelle était écrite une recette de punch, provenant elle aussi de Dante. Je me souvins alors de la fête d'Halloween, du moins en partie, et je souris ne me disant que le surveillant avait du remarquer mon amour pour cette boisson. Je posai le papier à côté de moi, et ouvris le cadeau suivant, qui se révéla être du chocolat. Je regardai l'envoyeur, et vis que ce paquet était de Gareki Shiro. Ce prénom ne me disait rien, mais le nom de famille était le même que celui de ma surveillante. Ce ne serait pas son frère, par hasard ? Dans tous les cas, il faudra que j'aille le remercier. Le prochain paquet contenait un parfum à la lavande de Kristoph. Ah oui, Kristoph, celui qui m'avait trouvée alors que je pionçait dans le grenier. Lui aussi aura le droit à des remerciements. Le paquet suivant contenait lui aussi un parfum, mais à la rose. Il provenait d'un envoyeur anonyme, mais je reconnus aussitôt que je la vis l'écriture de Chigiku. Alors elle n'était pas fâchée contre moi ... Tant mieux. En ouvrant le cadeau suivant, je découvris un CD d'un groupe que je ne connaissais pas, mais que je me promis d'écouter en entier, de Miki. Le dernier paquet contenait une arme, de Kasu. Je souris, en le prenant, et espérait qu'il me ferait un autre cours de kendo prochainement.
Épuisée, j'eus à peine le temps de retirer mes habits et d'enfiler ma nuisette que je tombai de sommeil sur mon lit, pour ne me réveiller que tard le lendemain.
Quand j'émergeais enfin du sommeil, le soleil était déjà haut dans le ciel, et mon estomac criait famine. Bon, eh bien, quand la Nature appelle... Je m'habillai plus chaudement que d'habitude, avec un pull à coll roulé et une jupe sous laquelle j'avais mis des collants rouges pétants. J'attrapai ma sacoche avec mon paquet de clopes et mon briquet, et me dirigeai vers le réfectoire, en me disant qu'après mon petit déjeuner je pourrais aller faire un tour dehors pour fumer.

Je rentrais de la fête toute rouge.Parce que je venais de courir d'accord, mais aussi parce que j'étais encore sous l'émotion de ce qu'il s'était à la fête.Je me dis qu'il fallait que j'arrêtes d'y penser et qu'on verra comment ça se passera plus tard.Je vis ma colocataire qui se changea et se mit au lit.J'imitai ces gestes et m'endormis.Le lendemain je me réveillai vers 9h.Il était encore tôt alors que l'on venait de faire la fête mais je me levai.Je voyais Quiang qui était toujours au lit en train de dormir.Je l'enviais un peu de dormir si paisiblement.Moi je m'agite beaucoup pendant la nuit.Je repense à des choses que je ne veux pas me remémorer et en plus les évènements de hier soir m'avait un peu empêché de dormir.Je me changeai dans une longue robe à manche courte violette qui n'étais pas vraiment de saison et je fit ma toilette.Je fus prête vers 10h40 et je me mettais en quête d'un endroit tranquille pour lire que je n'avais pas pu chercher la dernière fois à cause de la fête.

Je rentrais de la fête toute rouge.Parce que je venais de courir d'accord, mais aussi parce que j'étais encore sous l'émotion de ce qu'il s'était à la fête.Je me dis qu'il fallait que j'arrêtes d'y penser et qu'on verra comment ça se passera plus tard.Je vis ma colocataire qui se changea et se mit au lit.J'imitai ces gestes et m'endormis.Le lendemain je me réveillai vers 9h.Il était encore tôt alors que l'on venait de faire la fête mais je me levai.Je voyais Quiang qui était toujours au lit en train de dormir.Je l'enviais un peu de dormir si paisiblement.Moi je m'agite beaucoup pendant la nuit.Je repense à des choses que je ne veux pas me remémorer et en plus les évènements de hier soir m'avait un peu empêché de dormir.Je me changeai dans une longue robe à manche courte violette qui n'étais pas vraiment de saison et je fit ma toilette.Je fus prête vers 10h40 et je me mettais en quête d'un endroit tranquille pour lire que je n'avais pas pu chercher la dernière fois à cause de la fête.

N'arrivant pas à trouver Aokai nulle part durant la journée, Ryo voyant le soleil se coucher décida de retourner à la résidence pour avoir plus de chance de la trouver. Il ne prit aucune chance et décida de se rendre tout de suite dans le couloir des chambres. Trouvant la porte avec le nom d'Aokai et de sa colocataire, le jeune homme se permis de s'assoir près de cette dernière.

Confortablement assis près de la porte, Ryo avec sa longue chevelure noire aux reflets bleutés, s'amusait tranquillement avec une petite boite noire. Et marmonnais une chanson dans sa langue natale .

J'étais entré dans les dortoirs pour chercher le nécessaire pour camper (vêtements, sac de couchage, marshmallow...).Il faut dire que cette histoire de camping m'avais un peu pris au dépourvus et je n'avais rien préparé.Je marchai jusqu'au couloir de ma chambre et arrivé devant la porte n°2, qui vois-je?Ryo!J'étais un peu étonné de sa présence ici mais ça me faisais très plaisir!Je ne l'avais pas vu depuis le réveillon de noël.
"Salut!Quelle surprise je ne savais pas que j'allais te trouver devant ma chambre.Un vrai stalker!"Dis-je en riant et j’espérai qu'il n'allait pas prendre ça mal."Qu'est ce que tu fais ici?"
J'étais vraiment contente de pouvoir le revoir et si il attendait devant ma chambre c'était sûrement pour me parler à moi ou à ma colocataire.Je vis qu'il tenait une boîte noire dans la main et je me demandai bien ce que ça pouvait être...

Le visage de Ryo s'illumina en voyant la belle Aokai arriver dans le couloir. Le jeune homme ne prit pas le temps d'attendre la jeune femme à sa porte pour se relever. En entendant sa réplique Ryo devint rouge de gêne, mais il se ressaisit rapidement. Il était vraiment heureux de la revoir et il espèrait qu'elle allait apprécier son cadeau fait a l'improviste.

-Et bien voilà si je suis ici en premier lieu c'est parce que j'avais envie de te revoir.... et aussi parce que je t'ai acheter un petit quelque chose.

Ryo tendit la boite noire vers Aokai et rougit un peu

-joyeux noël en retard. J'espère que tu vas apprécier. Je savais que tu étais nouvelle comme moi alors je voulais pas que tu n'ai rien reçu.

Je le savais j'aurai jamais du dire que c'était un stalker!!!!Je suis sûr que quand il l'a entendu il s'est senti un peu mal.Mais en même temps j'ai un peu de mal avec ma nouvelle personnalité.Lui aussi avait envie de me voir.J'étais contente que cette idée soit réciproque puis il me tendit la boîte noire que j'avais remarqué et me dis que c'était mon cadeau de noël.Il est trop mignon quand il rougit!
"Merci beaucoup ça me fait très plaisir!"En disant ces mots je m'étais jeté dans ces bras...ok là j'ai exagéré un peu...
"Excuse moi je sais pas ce qui m'a pris..."Je remis une mèche de cheveux derrière mon oreille (réflexe d'une fille dans un situation embarrassante dira t'on)Puis je reprenais un peu mes esprits.
"En tout cas je suis gêné je n'ai rien à t'offrir mais si tu as un peu de patience toi aussi tu auras un cadeau![" Je lui souriais avec toujours le même sourire qui était là depuis la fête de noël et qui se plaisait trop bien sur mon visage.
Après toute cette parlote j'ouvris la boîte et découvrais un magnifique pendentif en forme de papillon de couleur argenté incrusté d'une pierre bleu.Il s'était souvenu de mon animal fétiche!C'était trop mignon!
"Merci beaucoup!Il est magnifique!"
Je l'attachai autour de mon coup et fis une petite bise sur la joue de Ryo.A mon grand étonnement je n'avais pas rougis cette fois...enfin je pense...

Je ne m'attendais vraiment pas à un accueil aussi chaleureux. Me retrouver si près d'elle quand elle me sauta dans les bras littéralement. Aokai était si chaude et douce j'aurais bien aimé rester un peu plus longtemps collé près d'elle. C'est alors qu'elle me dit que si j'avais un peu de patience j'aurai aussi mon cadeau. Je me sentit rougir lorsque la jeune femme me donna un baiser sur la joue.

- ah non non tu es pas obligée de me faire un cadeau. J'ai voulu t'en faire un parce que j'aurais trouvé ça dommage que tu ne reçoit rien du tout pendant le temps des fêtes. Je suis juste très heureux de voir un jolie sourire sur ton visage. Pour moi ça c'est le plus beau des cadeaux que tu puisse me donné en sachant que se que je t'ai trouvé te plait bien.

Je lui fit alors le plus beau de mes sourires.

- dit moi qu'est-ce que tu partais pour faire au fait ? Si c'est pas trop indiscret. Ça te dirais qu'on aille se promener ou prendre un café ?