Je suis plongée dans mes pensées lorsqu'un jeune homme, adulte, surement un surveillant, vient vers moi et me demande, d'un simple signe, de retirer mon casque, ce que je fais avant de me lever tranquillement, arrêtant ma musique et écoutant ce qu'il a à dire avant de lui demander, sans aucune insolence et sans attendre de réponse.

« S'il est interdit, que faîtes-vous là ? »

Interdit. Il est vrai qu'on pourrait se faire mal très facilement, c'est donc normal. M'enfin, l'interdiction et le danger ne m'ont jamais empêcher de faire les choses, pourquoi cela changerait-il aujourd'hui ? Intérieurement étonnée à sa seconde demande, j'ajoute.

« Pourquoi donc ? »

C'est vrai, pourquoi l'accompagner ? Surtout que je ne sais absolument pas où elle se trouve, cette salle. Quoi que, je pourrais le savoir facilement avec le plan se trouvant dans ma sacoche. Je le fixe, attendant sa réponse.

Je resta silencieux face à ses deux question dont l'une m'ennuit un peu, bien que je ne le laissais pas parraitre par delà le fil de l'indifférence qui m'entourait. Devais-je lui dire que j'étais pommé ? Cela me semblait une bonne option, car ça m'éviterait de me faire passer pour un surveillant menteur par dessus le marcher. Je soupira une nouvelle fois et réajusta mon écharpe écarlate en santant la fraicheur qu'il faisait ces dernier temps même si je pouvais devenir un radiateur. Voyant que la jeune femme me fixait en attendant une réponse, je resta un peu silencieux sur le coup avant de lui répondre.

- Parce qu'en tant que surveillant, je ne veux pas qu'il t'arrive quelque chose, ou en tout cas, rien en ma présence.

Je disais ça alors que je pouvais très bien la sauver si jamais elle tombait, mais je préfèrais ne pas me servir de mes pouvoirs. J'hésitais un peu à répondre à sa seconde question car je ne savais pas si elle allait me rire au nez ou non, et surtout que ça me donnera l'air bien intélligent quand elle saura que c'est parce que je suis perdu alors que je suis sencé être un surveillant qui enseigne aussi. J'ai l'air si jeune que ça ? Peu importe.

- En faite, je suis me perdu. Je viens d'arriver aujourd'hui et j'ai perdu mon chemin après avoir aider un élève en le ramenant à l'infirmierie, expliquais-je tranquillement sans lacher la jeune femem des yeux. Puis-je compter sur ton aide ?

J'avais demandé ça de façon à ce qu'elle n'ai pas à se sentir obliger de me venir en aide. D'ailleurs, je n'aime pas spécialement me sentir aider car c'est l'inverse qui est sencé se produire. Par ailleurs, je ne veux pas qu'il lui arrive quelque chose donc, dans tout les cas, je lui demanderais de se retirer du toit pour son bien.

Face à lui, je reste neutre, comme à mon habitude, l'écoutant. Bingo Tsukiyo ! Un surveillant. Si j'avais bien compris les explication d'Akira, il y a un surveillant par "spécificité", je me demande bien de qui le jeune inconnu devant moi s'occupe. M'enfin, je verrais plus tard. Ne répondant donc pas à sa première remarque, je l'observe et le détaille rapidement. Je lui donne minimum 20, et encore. Mais pas plus de 25. Il m'a l'air bien bâti, et sexy en plus. Bref, laissons ces idées perverse de côté. Je le regarde donc dans les yeux. Perdu ? C'est compréhensible, vu la grandeur du bâtiment. Il est plutôt poli, d'après ce que j'entends, même si je ne connais pas encore son nom.

« Très bien »

Je sors le plan du bâtiment de ma sacoche et le déplie, cherchant l'endroit où pourrait se réunir les surveillants. "Bureau des surveillants" ? Ça doit être ça.

Je resta silencieux devant sa réponse fraiche et directe, au point que j'eus prèsque l'impression qu'elle devait se sentir forcer de m'aider pendant quelques secondes. Je restais perplexe mais indifférent devant la carte qu'elle observait et eut l'impression de regretter de ne pas avoir accepté la carte qu'on m'avait proposé la secrétaire du Hall d'entrée ce matin à mon arrivée. Mais bon, une fois fait, le chemin est facilement mémorisé pour certaine personne et pour certain endroit. Je m'avança et me mit à côté d'elle sans vraiment prendre en compte sa réaction et regarda le plan avec attention, remarquant avec une surprise intérieure et nn extérieure qu'il y avait vraiment beaucoup de lieu dans cet internat. Je m'éloigna très légèrement d'elle du au peu d'extrimiter qu'il y avait entre nous, oubliant complètement de m'être présenter.

- J'ai complètement oublié de me présenter, fis-je remarquer. Je suis Gareki Shiro et je suis l'un des nouveaux surveillants.

Je lui tendis la main par habitude, mais surtout par respect. Certain surveillants pourraient profiter de leur jeunes âge pour séduire les filles de l'établissement, mais ce n'était pas mon cas. Et c'est pourquoi je préfèrais qu'on se serre la main, pour en partit montrer que je peux faire ami-ami avec elle tout en la respectant en tant que surveillants. D'ailleurs, je ne sais même pas si une relation intime entre surveillant et élève peu être entretenu ici. Je resta silencieux en regardant la jeune adolescente et remarqua qu'elle avait de reflet vaguement roux dans les cheveux, mais fit semblant de rien, à mon habitude.

- Et toi ? Quel est ton nom ?

Je ne réagis pas spécialement lorsqu'il s'approche de moi, mais interieurement, lorsqu'il se recule légèrement. Timide, peut être ? Je me retourne lorsqu'il se présente, l'observant. Non, respectueux. Tiens, c'est rare. Ça faisait longtemps, pas comme tous ces goujats qu'on peut trouver n'importe où.

« Tsukiyo Moriko, enchantée »

Lorsqu'il me tend la main, je la prend et la sers avant de le tirer vers moi pour lui faire la bise. J'apprécie ce respect, mais je n'aime pas trop serrais la main dans ce genre de situation quand ça se passe avec ce genre de personne. Sexy, poli, attirant et respectueux, moi je dis, faut en profiter. Je sais que je suis du genre indifférente, mais pas de chi-chi avec des gens pareils, non plus. Je retourne ensuite au plan, mémorisant le chemin avant de le remettre dans ma sacoche. Je regarde un instant le ciel et les étoiles, une petite brise fraiche commençant à se lever. Puis je me tourne vers le dénommé Gareki, attendant son "signal" pour filer au bureau.

Je fus assez surpris quand elle m'avait tirée vers elle pour me onner un baiser sur la joue. Bien que j'étais très étonné intérieurement, voir même gêné, il n'en était rien de ma personne qui n'avait qu'un peu ouvrert le yeux face à cet acte. Reprenant mon pas sur le fil de l'indifférence, je la regarda fixer son plan depuis un moment déjà ce qui me laissait bien silencieux car je ne m'attendais pas à ce qu'elle reprenne la lecture de ce geste aussi rapidement. Restant toujours aussi silencieux pendant qu'elle rangeait sa carte pour pouvoir regarder le ciel jusqu'à se tourner vers moi.

- Enchanté de faire ta connaissance, Tsukiyo, dis-je en retard.

" Tsukiyo Moriko ", hum ? Je me demande si elle n'est qu'une simple adolescente normale, pleine de surprise et indifférente ou si elle faisait partit d'une quelconque spécifité que House Fukkou gardait pour leur bien. En tant que surveillant et Elementaliste Pro, j'avais droit au renseignement des élèves de l'écoles. J'irais inspecté ça une fois arrivé au bureau des surveillants. Je fis un signe à Tsukiyo pour la laisser passer devant.

- Honneure aux dames, dis-je laissant passer Tsukiyo.

Je le laisse réfléchir tranquillement, réfléchissant aussi en l'observant un peu plus en détail sans rien dire. Je finis par me perdre dans mes pensées, fixant le vide. Lorsqu'il me fait signe, je sors donc de mes songes, le regardant à nouveau, secrètement surprise, presque choquée, par la démonstration de galanterie qui suivit, mais, ma foie, agréable. Ça faisait longtemps dites donc. Je le remercie d'un signe de tête et passe donc devant. Surprenant. Mais mieux vaut se méfier, on ne sait jamais, j'en ai vu d'autres. M'enfin, ça ne me détourne pas de mes idées perverses. Je suis comme ça, que voulez-vous ! Une fois à la porte, je me retourne, histoire de m'assurer qu'il suive et pour pouvoir regarder le ciel un instant,avant de filere en direction du bureau. J'aime le ciel de nuit.

"Lieux interdits d'accès", bah ça veut dire qu'il n'y aura personne se dit Edan et il eut raison, il n'y avait personne sur le toit, Edan ce senti enfin à son aise sous le ciel étoilée comme les soirs de concert où il attendait le moment ou il devait monter sur scène ou quand il peignait les fresques en extérieure les nuits d'été tant de souvenirs et une envie inébranlable de fumer une clope, il devait surement être en stress.

Edan ce mit assis au milieu du toit, sorti son vieux briquet qui devait daté des vielles années et alluma sa clope il la tenait de sa main droite et laissa sa main gauche se posait derrière lui pour soutenir son corps qui était en arrière, le jeune homme prenait tous son temps comme pour retenir les heures qui filaient sous ses doigts.

"Twinkle, twinkle, little star.

How I wonder what you are

Up above the world so high,

Like a diamond in the sky,

Twinkle, twinkle, little star.

How I wonder what you are ..."

Edan chantait toujours à son habitude avec une voie claire et calme sans aucune fausse note, encore et toujours les vielles comptines anglaises qu'il aimait tant.

Marchant -Ou plutôt sautillant-, mains dans les poches dans un couloir sombre, je me stoppai devant une porte dont ce qui était écrit attira mon attention. Lieux interdit d'accès ? Tiens tiens ... Qu'est-ce que ça peut-être si c'est interdit ? Un léger sourire sadique étira mes lèvres et je posai ma main sur la poignée pour ouvrir la porte qui avait l'air difficile à bouger mais vu ma force, elle céda sans aucun soucis. Je vérifiai que personne ne m'avait vu pour aller vers les escaliers semblant assez anciens et les montai pour arriver à une porte qui semblait en acier et tout aussi difficile à ouvrir. Bien évidemment je n'eus aucun soucis et me retrouvai à présent sur ce qui était vraisemblablement le toit. Tiens tiens ! C'est intéressant ça ... Une bourrasque de vent me vit frissonner alors que je fermai la porte derrière moi et je partis vers le bord pour me pencher sur les grilles et regarder. Waw, c'est haut ... Je ricanai doucement et continuai tranquillement de regarder.

Après cinq minutes de chant et de comptines Edan s'arrêta il savait très bien qu'il avait l'air d'un idiot avec ses vielles mélodies mais, elles portaient tant de souvenirs, il n'avait pas touché à sa clope depuis un bon bout de temps, il devrait peut-être en profiter un peu plus au lieu de la regarder ce consumer ? Il se répétait pour l'énième fois que ça sera la dernière mais, le jeune homme savait très bien qu'il ne resterait pas fidèle à cette promesse très longtemps la fumée noire des clopes lui embrumé l'esprit et avec elle le stresse de Edan partait au loin.

Toujours assis au sol en train de respirer l'odeur amer de sa cigarette il venait tous juste de repérer l'existence d'un nouveau venu, Edan ne pouvait le reconnaitre, car de un il ne connaissait personne et de deux il faisait trop sombre pour apercevoir quoi que ce soit.

"Que fait un gamin dans un lieu dit interdit ?"

Et dire qu'il pensait être tranquille ce fut le contraire avec ce calme ambiant, voulant bailler Edan se décrocha presque la mâchoire pour être sur de ne pas être transporté dans le pays des rêves et des bisounours il positionna sa clopes dans sa bouche se grattant encore et toujours le crâne cherchant une raison pour la venu de l'individu.

Un frémissement au niveau des oreilles et je fronçai les sourcils pour tourner ma tête vers celui qui avait prononcé le mot gamin. Pas de chance pour toi mon gars j'ai une bonne ouïe ... J'eus un sourire sadique et sortis ma lame pour aller la planter dans le mur derrière lui à quelques millimètres de son visage. Voilà ce qu'il te dit le gamin ... Il est pas bien plus vieux que moi je paris. Mains dans les poches, je m'approchai calmement de lui pour récupérer mon couteau en lui faisant un petit sourire façon psychopathe puis le rangeai en sautillant jusqu'à ma place initiale. Je reposai mes mains sur la grille et reprit mon observation. Il a de la chance que je n'ai pas usé de ma force pour le balancer dans les escaliers. Je prends vite la moue et alors ?

Bon résumons les rencontre de boy,Edan, une catwoman, un badboy avec un joli petit sourire sadique, un/une hermaphrodite, un psychopathe collectionneur de machin tranchant et un pervers sadomaso une seule chose à dire, Edan avait-il pris de l'herbe ? Non non ce n'est pas son genre ! Bon okey on va qualifier ça de rencontre surnaturelle.
Edan restait assis sans rien dire la clope au bec, il écoutait attentivement le petit discours de mister Dante alias "mon chéri" dans tous les cas le psycho avait l'air de s'en foutre un peu beaucoup enfin jusqu'à ce que le surveillant lui prend son arme, ce genre de scène sont des merveilleux moment ils ressemblent à de vieux feuilletons et Edan en était le téléspectateur, il aurait donné sa vie pour un sceaux de pop-corn à l'américain et une vielle scène de cinéma à la place le jeune homme avait sa clope et le sol froid qui lui glaçait le corps.
Il entendait chacune des paroles et des réactions de plus le jeune punk ne préférait pas s'en mêlé il ne voulait pas s'attirer des emmerde la première semaine enfin si ça se passe mal interviendra bien sûr mais, ne ressemblent-ils pas à un jeune couple qui se dispute ? En changeant les paroles ... Ah quelle imagination décalé ...

Entendant du bruit venant des escaliers, je tournai mon regard vers l'endroit et vis arriver un mec qui ressemblait assez bien à un surveillant. Et meeeerde ... Je grimaçai légèrement et me retournai avant de remarquer son fouet. Ben quoi ? Il compte nous frapper ? On a pas le droit de tape les élèves que je sache ... NANI ?! Comment il sait que j'ai fais joujou avec un couteau celui là ?! J'écoutai ses paroles avec une gueule de dix pieds de long tout en serrant légèrement les poings. S'il croit que je vais lui donner ! On a pas non plus le droit de se trimbaler un fouet ou de fumer dans un établissement scolaire que je sache ... Enfin bon mieux vaut pas chercher à comprendre je suis très certainement tombé dans un asile de fou. Mais à bien y réfléchir, ça me correspond bien ... N'est-ce pas ? Et l'autre qui veut se faire appeler mon chéri ... Euuuh ? Il a fumé quoi celui là ? Mon chéri, c'est celui qu'on aime qu'on appelle comme-ça. Je suis pas amoureux de lui alors il peut crever la bouche ouverte pour que je l'appelle comme-ça ! Et de même pour mon arme d'ailleurs. Ben voyons ... Il n'aura pas mon couteau fétiche. Oh ça non ! Je grognai légèrement et jetai un coup d'oeil à l'autre qui n'avait pas moufté, occupé à fumer en aillant l'air de bien s'éclater à regarder la scène. C'est drôle ? Ben faut croire.

Edan fut surpris par la précision du fouet du surveillant l'autre mec n'avait pas l'air de rire non plus il n'avait pas l'air heureux de perdre son joujou quand au jeune punk il fut déçu de voir son amour, son âme soeur et sa compagne de ses nuits de solitude vole dingué dans les airs elle avait l'air d'un oiseau digne se jetant dans les airs .... Oui Edan est un gros autiste.... Enfin il a juste une imagination décalé c'est tous il se relevait du sol son arrière train avait gelé à cause du froid et sans sa clopes il allait se sentir seul s'il ne pouvait pas fumer ici il irait ailleurs.

"Et bien messieurs j'aime vraiment votre compagnie mais, je dois rejoindre ma chére et tendre qui doit m'attendre en bas."

Sourire aux lèvres, mains dans les poches Edan se dépêchait de rejoindre la porte en ferraille.

"Bon mon chéri, monsieur le psycho je vous laisse."

Faisant un dernier signe de la main il ouvrit la porte pour enfin sortir de cet endroit froid et pas très acceuillant.

J'observai le surveillant utiliser son fouet avec une précision exemplaire et attraper la cigarette juste après pour la balancer à la façon d'un manga dont le nom m'échappait sur le moment. Manque plus qu'elle dise la phrase tiens ... C'était quoi, encore ? Et l'autre qui affichait une tête de dix pieds de longs ... Moi c'est pas le genre de choses qui m’impressionne. Au moins l'injustice est rétablie ... Je suis pas le seul à me faire engueuler et à être privé de quelque chose. N'empêche que mon couteau, je lui filerai pas. Je reposai mon regard sur l'autre qui semblait attendre que je lui donne et fronçai le nez.

"Et si j'ai pas envie ?"

J'aime pas sa tête ... Il a la tête de quelqu'un en manque de sexe ou un truc du genre. Je grimaçai légèrement et vis l'autre se casser en nous faisant un signe de main et ce fut ce que j'avais bien envie de faire : Me casser vite fait pour ne pas avoir à lui filer mon couteau et aussi échapper à sa tête qui me plait pas du tout. Je mis mes mains dans mes poches et commençai à m'éloigner vers la porte comme si de rien était bien que je ne pense pas qu'il me laissera me casser sans rien dire. Qui n'essaie rien n'a rien ! Au pire je trouverai un moyen de récupérer mon couteau ...

... Je rêve ou il a dit cul ? Non je rêve pas. En fait j'appelle même pas ça rêver mais plutôt cauchemarder ... Rêve pour que je revienne tiens. Je m'apprêtai à passer la porte mais quand sans que je ne puisse rien y faire, je me retrouvai bloqué je ne sais trop comment. Je voulus froncer les sourcils mais en fait même ça je le pouvais pas ... J'ai affaire à quoi ? Un sorcier peut-être ? Tsss ... J'entendis les pas se rapprocher de moi et essayai de me débattre de l'emprise même si franchement ça se voyait pas quand je sentis quoi ? Un torse se coller à mon dos. Oh le ... C'est qu'il en profite ! Je suis tombé sur un surveillant pervers ?!!! Et en plus il balade ses mains hein ... Il veut récupérer mon couteau ou me faire passer dans son lit ? Un frisson me parcouru intérieurement et je me mis de plus belle à essayer de me défaire de l'emprise du sort. Hé mais demande-moi mon consentement au moins du con ! Là c'est de l'attouchement et c'est puni par la loi ! Grrr ... Et tout ça pour un couteau ! Bon pas un couteau, mon couteau chéri ... Et dire qu'il me l'a prit. Salaud va !

"Mon choux" ? Non mais il a fumé quoi ce type là ?! Et vas-y que ça balade ses mains en plus de me fouiller de font en comble ! Toi je te louperai pas dès que je serai relâché ... Ce mec a signé son arrêt de mort !! Je réussis à serrer les dents, apparemment ma bouche n'était pas prise dans cet espèce de jeu de la statue et fort heureusement. J'émis un long grognement pour toute réponse et eus de sérieuse envies de meurtre quand il se permit de balader ses mains un peu partout sur mon torse sans aucune gêne et encore plus quand il posa ses mains sur mes hanches pour me faire onduler du bassin alors que je sentais un regard sur ... mon cul. Ben voyons ...

"T'as signé ton arrêt de mort"

Au diable les vouvoiements ! Tsss ... Retenez moi ou je fais un malheur ! Enfin ... On me retient déjà. Heureusement, il me relâcha et alors que je voulus lui rendre la monnaie de sa pièce et le buter sur place, je ne le trouvai pas. Volatilisé le pervers surveillant ... Et merde ! Il perd rien pour attendre. Et puis, j'ai un couteau à récupérer ... Le hic c'est que je sais pas du tout où ce mec peut être et où il a pu mettre mon couteau. Au pire, j'en ai d'autres dans ma chambre ... Je soupirai et m'en allai du toit en marmonnant divers noms d'oiseaux dirigés vers Dante.

Ryo continua dans le couloir sombre jusqu'à se qu'il se retrouve en face d'un grand escalier qui finissait avec une grande porte. Il monta les escaliers commençant à se douter de la véracité de se que Miki lui avait dit. En poussant la porte il se retrouva sur le toit encore estomaquer par le fait que Miki lui avait menti il lâcha la porte. Ce que le jeune homme ne savait pas c'est que cette porte n était ouvrable que de l'intérieur. En se retournant Ryo remarqua que la dite porte n'avait aucune fenêtre et aucune poignée de l'extérieur. Il jura intérieurement, maintenant il était coincé sur le toit de l'établissement et ne pouvais pas emprunter les escaliers de secours. Il ne voulait pas se faire avertir, il chercha et charma sans rien trouver malheureusement. Soit les portes étaient comme celle qu'il avait vue soit elles étaient barrée à clef.

*Moi qui lui faisait confiance je n'aurais peut être pas dut *

-quoi que tout compte fait je l'ai bien mérité je lui ai foutu la frousse et maintenant je suis moi même dans de beaux draps.

Continuant à tourner en rond sur le toit de l'édifice, Je ne savais vraiment pas comment me sortir de se grand pétrin. Quand soudainement je vis une silhouette féminine ouvrir une porte. J'étais visiblement très heureux de la voir. M'approchant de la liberté je pu découvrir le joli minois de la jeune femme. Ses cheveux brun étaient magnifique. N'oubliant pas de la remercier convenablement je me dirige tout sourire à l'intérieur attendant ma bienfaitrice près de l'encadrement de la porte.

-Merci , vraiment merci beaucoup. Vous ne savez pas se que vous m'évitez de faire.

sous l’excitation du moment le jeune homme se pencha et glissa un petit baiser sur la joue de la damoiselle sans que ça ne la choque. Il s'excusa tout de suite après avoir posé se geste vraiment déplacé.

- Au fait comment avez vous fait pour savoir que j'étais bien ici ? Je m'attendais pas à ça.