J'avais passé une soirée merdique, je n'avais rien fait à pars regarder les autres ou presque dormir, ils étaient presque tous heureux, et moi j'étais laissée de côté ce qui m'énervait, mais au fond je voulais pas cacher leurs fêtes, oui je suis prise par les sentiments pour une fois! Sa peut arriver, hein! Et là, les coups de minuit avaient sonner, et Tamara, je crois, nous avons reconduit jusque dans notre couloir, j'avais été avant chercher ma valise que j'avais laissé à l'entrée, et elle m'avait laissé l'autorisation, elle l'aurait pas fait, elle aura vu!

Maintenant, on était tous dans le couloir, et moi je cherchais le numéro de la mienne, chambre 6. Ah tient, elle est là! Je regardais la pancarte, et vit un nom de garçon. Je peux rire? Je vais devoir me ramasser un mec moi? Bah, il va voir de toutes les couleurs avec moi, surtout si c'est un pervers, je n'aurais pas honte de le taper. J'ouvrais la porte, car Tamara était en train de s'impatienter à ce qu'on rentre tous. J'avais rouspetté devant elle, qu'elle devait se la fermer, et fermait la porte en la claquant. Qu'elle ose venir me dire quelque chose celle-là, elle va voir. Toute façon, elle n'oserait pas, elle est d'humeur calme on dirait. Je posais mes deux seuls cadeaux sur mon lit, et ma valise à côté du lit du côté de la fenêtre, on dirait qu'il n'est pas encore arrivé lui, il a du se perdre dans les couloirs j'imagine.

J'allais m'asseoir sur mon lit, me demandant de qui j'aurais pu avoir des cadeaux. Il pouvait y avoir que Saitou, Pauline, Dante. Shiro non, car on était ensemble, ou a moins qu'elle a été chercher derrière mon dos des cadeaux. Je prenais le plus petit, et regardait de qui sa venait. Pauline? Oh, ma meilleure amie à penser à moi, sa fait plaisir sa! Je le déballais, et découvrit un roman. Merci Pauline. Tu as pas oublié que c'était un passement de temps pour moi de lire, quand je n'ai rien a faire. Je le déposais sur ma valise que j'avais mis à côté, et prenait l'autre cadeau. Je ne pourrais même pas dire c'est quoi, c'était plutôt gros, mais pas trop pesant, enfin si en regardant sa avait du poids. Je regardais le nom, et sans étonnement, vit que c'était de la part de mon frère. Qu'est-ce qu'il a bien pu m'offrir lui? Je fixais la boite pendant un instant, hésitant à ouvrir, mais fini par tout déchirer et derrière l'emballage, c'était une boite. Arnaque ou quoi? J'ouvrais la boite, et avec ma chance, tout tombait par terre. Et merde... C'était toutes des enveloppes, ou devrais-je dire des lettres. C'est quoi ce tas de lettres sa? Je m'agenouillais pour tout ramasser, et les empilait du mieux possible pour les remettre là où elles étaient il y a quelques secondes. Sa va faire beaucoup de lecture sa je crois. Je la prenais, et la mettait par terre, et prenait une lettre au hasard dedans.

Avant de la lire, je me relevais du lit et ouvrait ma valise pour me prendre un pyjama, que j'allais enfiler après dans la salle de bain ayant pas oublier de refermer la porte. Ne sait-on jamais si un pervers rentre sans faire exprès et ... bon imaginons même pas la suite. Je lançais à la je m'en fou dans le bac à linge sales mes vêtements, et sortait ensuite de la salle de bain pour retourner dans mon lit, et reprendre la lettre que j'avais prise parmi des trentaines et plus d'enveloppes. Bizarrement mon coeur battait un peu plus vite, car je ne savais pas c'était vraiment quoi. Peut-être ceux de nos parents qui s'envoyaient et que tu as piqué? Arrête de te poser des questions Jenny, et ouvre la. C'est ce que je fis, et déplia la feuille, où je voyais déjà au dessus 'Jenny McCry'. Euh... ? Mes yeux s'ouvraient gros, et je regardais direct en dessous, c'était signé Dante. Alors, il avait essayer de m'envoyer des lettres? Un petit sourire s'affichait au coin de mes lèvres, et je me mis à la lire, tout en me couchant dans mon lit. Elle datait depuis assez longtemps, peut-être sept ans si je compte bien. Il parlait dedans de papa, et de ce qu'il avait fait. C'était chou je trouve ce qu'il écrivait. Je la lissais entière, et étant prise par la fatigue, car mes paupières devenaient lourdes, je ne pouvais plus me battre contre et m'endormais, la lettre toujours posée sur ma poitrine, et ma main au dessus comme pour la protéger.