La jeune fille sembla être interloqué des paroles de Gareki, qui ne savait si il devait en être surpris ou pas car d'une certaine façon, cela semblait être évident. La tendresse qu'il offrait à Sakuya depuis un moment déjà n'était pas du au hazard, il avait lui même décidé de son propre chef de le lui offrir. Mais c'était principalement grâce à son sang-froid et son calme qu'il avait pu commencer à cerner la jeune fille qui, maintenant, avait enfuit son visage tout en se collant au surveillant pour enfin lui avouer ces sentiments. Un sentiment que Gareki avait toujours concidéré comme merveilleux car il avait comme capacité de faire changer les personnes qui l'entourait. Le surveillant n'aborait cependant qu'un simple sourire car il avait pour habitude de restait indifférent physiquement tout en regardant la jeune fille silencieusement. C'était amusant de la voir le prendre ainsi dans ses bras car cela donnait une impression de possession à la chaman, comme si elle avait toujours désirer l'avoir.

- Allez... sêche-moi ces vilaine larme.

Gareki savait très bien qu'elle avait cessé de pleurer, mais les joue du visage de la jeune chaman restait cependant encore humide des larmes qu'elle avait versé il y a peu. Le surveillant se sentait bien dans l'emprise de la jeune fille, mais il ne devait pas non plus oublier son boulot de surveillant, ni même le faite qu'il était enseignant. Le faite qu'il soit un élémentaliste au lieux d'un chaman était plutot une chance qu'un malheure à ses yeux car il savait bien que si il avait été chaman, certaines peronnes penseraient qu'il y aurait alors du favoritisme... et peut-être même que tout ça n'aurait jamais eu lieux en fin de compte car justement, si il avait été chaman au lieu d'être élémentaliste, que se serait-il passer ? Surement rien de passifique car il savait que les chamans avaient toujours eu un affreux passé.

Quand à la réaction de Sakuya vis-à-vis de ce que venait de lui dire Gareki, celle-ci l'amusa car c'était la réponse identique à celle d'une enfant capricieuse qui n'assumait pas alors que la jeune fille venait tout juste de pleurer sous le nez du surveillant. La regardant croiser les bras, Gareki se dit alors que la jeune chaman était ainsi et qu'elle ne changerait jamais. Enfin, il pensait aussi qu'il n'y avait que les imbéciles qui ne changeaient pas non plus, mais il se garda de lâcher cette remarquer à un autre moment car pour l'instant, il ne voulait que profiter de ce moment entre la chaman et lui, bien que malheureusement aucun d'eux ne pouvaient se toucher si ce n'était que Gareki, grâce à ses flammes. Le surveillant se contenta de toucher le bout du nez de la chaman pendant même pas une seconde. Il n'avait pas peur que le pouvoir de la jeune fille se déclanche étant donné qu'il s'était déjà lié à elle et qu'il se doutait que le passé de la jeune fille ne devait pas être rose.

- Boudeuse va !

Si ces paroles pouvaient parraitre être une reproche, le ton sur laquelle les avait dit le surveillant était doux. Il aurait aimé être son surveillant de sa section, malheureusement, ce n'était pas le cas et il regardait la jeune fille un moment, ne sachant quoi ou faire. Il était heureux et ne se rendait compte que maintenant du trésor qu'il tenait entre ses bras; C'est-à-dire la fille qu'il désirait et qu'il aimait du plus pronfond de son coeur. Et peu importait que Sakuya soit la fille la moins parfaite du monde aux yeux des autres, à ses yeux à lui, elle n'avait aucun prit. Il ressera son emprise sur la jeune fille pour replonger son visage dans le creux de l'épaule de la jeune fille, prenant le temps de sentir l'odeur la jeune fille.

- Excuse-moi, je n'arrive pas à m'empêcher d'être heureux, murmura-t-il doucement en fermant les yeux.

Juste après avoir fait sa remarque peu aimable au jeune homme, celui-ci se contenta de toucher le bout du nez de la chaman l'espace d'une seconde. Sans le savoir, Sakuya avait ressenti comme un choc électrique intérieur à cet instant, mais elle préférait l'ignorer. Son pouvoir ne la stopperait pas, ou du moins, pas tout de suite. Même pas une seconde et ... Ça aurait pu se déclencher ? Quel ennui ... Se frottant le bout du nez, elle prit un air surpris, par le geste du jeune homme.

- Boudeuse va !

Aussitôt, Sakuya se mit à grogner, comme si elle était un animal sauvage et aurait pu montrer les crocs si elle en avait eu. Si le surveillant arrivait à supporter les nombreux défauts de la jeune femme, il gagnait son attention, mais qui dit mauvais caractère dit souvent imprévisibilité. Finalement, elle arrêta de grogner lorsque celui-ci la prit dans ses bras. Même après l'avoir prise dans ses bras des millions, Sakuya aura toujours ce sursaut incompréhensible d'étonnement, sûrement parce que les gestes de cette catégorie, elle ne les connaît pas encore vraiment.

- Excuse-moi, je n'arrive pas à m'empêcher d'être heureux.

Heureux ? Ces paroles lui rappelaient les étranges mots de Nanami qui lui était adresser. Elle lui avait souhaité de devenir heureuse, et de redevenir vivante. L'un des deux était impossible, quand à l'autre, elle le ressentait à cet instant même. Son visage était devenu neutre ; elle avait passé ses bras autour du jeune homme, et réfléchit un instant avant d'arquer un sourcil.

« C'est ça ... Être heureux ? » demanda t-elle sur un ton bien sérieux.

Normalement, la chaman se serait tenu de demander ce genre de chose, mais il ne s'agissait pas de n'importe qui. Il s'agissait de le demander à l'homme qu'elle aimait par dessus tout, et la honte ne l'avait pas freiné. C'est vrai ... C'est une question stupide. Mais être avec quelqu'un, je ne comprends pas ... Moi j'ai été heureuse ... En éliminant des gens. C'est en remarquant ce détail qu'elle poussa un soupire embarrassé.

« ... Ne te moque pas de moi ! »

Silencieux, Gareki resta un moment ainsi avant de sentir les bras de la jeune fille le prendre à son tour dans ses bras. Cela ne devait plus l'étoner à présent que Sakuya lui avait avoué ses sentiments, et il s'était déjà habituer à ce que la jeune chaman réagisse - par moment - de la même manière que lui. Cependant, il sentait que Sakuya n'était pas encore habituer à cela, ce qui l'amusait encore, loin de se moquer d'elle. Lorsqu'elle lui demanda si c'était " ça " être heureux, Gareki comprit ou voulait en venir et personnellement, le surveillant avait plusieurs manières en tête pour montre ce qu'était le bonheur, différement au côté sadique. Lorsqu'elle lui dit de ne pas ce moquer d'elle, un petit sourire était apprut sur les lèvres de Gareki qui était amusé à l'idée que la jeune fille n'aime pas qu'il se moque d'elle et il passa sa main enflammé dans les cheveux lisse de la jeune fille. Ils étaient doux, probablement comme la peau de la concerné.

- Je n'ai encore rien dit ! Fit le surveillant calmement. Sinon, pour te répondre; Oui, c'est ça être heureux même si il y a plusieurs façons d'être heureux.

Mais peut-être la jeune chaman l'ignorait-elle, les façons d'être heureux ? Peu importait qu'elle les connaisse ou non, du moment ou elle l'était quand elle était auprès de Gareki, ce dernier s'en moquait éperdument. Restant silencieux, il redressa la tête, attrapa les épaules de la demoiselle et fit basculer la jeune fille pour pouvoir se retrouver au dessus d'elle. Sakuya semblait être surprise du geste de Gareki qui demeurait tout de même quelqu'un d'imprévisible malgré les apparences et ce que pouvaient penser les autres à son sujet. Il était énormément possèssif et aimait être possèder par quelqu'un en même temps car de toute façon, c'était généralement le maître de la situation, sauf quand il s'agissait d'être avec sa soeur.

- Es-tu heureuse, Sakuya, d'être à mes côtés... en tant que ma bien-aimée ? Questionna le surveillant sur un ton plus sérieux.

Le faite que Sakuya qui n'était resté distante avec les autres pendant de nombreuse années faisait d'elle une grande enfant pour Gareki, grande car elle avait 18 ans et était donc déjà majeure, possédant la liberté des adultes. Bien sur, Gareki lui avait déjà passé ce moment de maturité à découvrire les choses étant donné qu'il avait 5 ans de plus que la jeune fille malgré le faite qu'il était encore très bien concervé physiquement pour son âge. D'ailleurs, en y repensant, son colocataire, il se souvenut que son colocataire qui devait avoir un peu près le même âge que lui avait à l'inverse, l'air plus vieux. Peut-être était-ce à cause de ses long chveux blond ? Ou il fallait croire que la famille Shiro avait toujours eu de la chance, aussi bien sur le plan physique qu'intellectuel. Reprenant son attention sur la chaman qui était en dessous de lui, sa réaction qui était celle de quelqu'un de perdu amusa énormément le jeune homme et la jeune fille s'était récutifié juste à temps, lui disant en fin de compte ce que se doutait Gareki qui esquissa un sourire.

- Me voila rassuré et comblé...

Sur ces paroles, il prit la main de la jeune fille, celle qui s'était dirigé vers son visage pour la collé à son visage ou des petites flammes avait recouvert la marque de la main de Sakuya, laissant quelques unes s'échapper entre les doigts de la jeuen fille. Gareki ignorait totalement si sa bien-aimée pouvait sentir sa peau par delà la protection de flamme mais il ne préférait pas demander car la jeune fille ne pouvait le toucher sans qu'il ai recourt à son propre pouvoir. Quand à lui, oui, il pouvait sentir la peau de la jeune chaman, mais pas parce qu'il la touchait, seulement grâce à la capacité du vent qui occupait l'espace de la pièce. Il pouvait sentir l'air frolé la peau de la jeune fille, lui donnant l'impression d'être à la place de l'élément. Gareki s'accroupit, tendant la main vers sa veste non loin d'eux qui s'ejecta de sa place pour pouvoir se retrouver dans le poigne du jeune homme et ce dernier fit de même avec le reste de la manche qu'il avait arracher, recouvert du sang de Sakuya. Il rangea la manche dans sa poche arrière avant de se revétir de son pull sans lâcher des yeux la chaman.

- Est-ce que je t'ai déjà dit que tu étais magnifique avec le yukata que je t'ai acheté ?

- Me voila rassuré et comblé...

Et moi dont ... Si Sakuya avait donné l'impression d'hésiter, c'était parce qu'elle ignorait comment elle devait le dire, et ça la gênait. Voir l'être qu'on aime sourire est sûrement l'une des plus choses au monde, et il faut croire que la chaman en faisait les frais à chaque que le jeune homme lui souriait. A chaque sourire, son pouls faisait comme un bon en avant, et elle ressentait un apaisement qu'elle dissimulait, trouvant ça complètement stupide. C'est ça ... C'est stupide ... Hum. Encore une fois plongée dans ses pensées, elle sursauta lorsque Gareki prit sa main pour la poser sur son visage, comme elle n'avait pas voulu le faire il y a à peine quelques secondes. Avant même d'entrer en contact, ses yeux s'étaient ouvert par peur que son pouvoir ne se déclenche. Heureusement, le pouvoir du surveillant dépassait cette limite, et c'était grâce à lui que le jeune homme pouvait toucher Sakuya sans craindre d'être affecté par son pouvoir. Le regard de celle-ci s'apaisa lorsqu'elle sentit les flammes qui la séparait sa main de la peau de son bien-aimé. C'est frustrant ... Ne pouvoir se toucher comme s'il n'y avait pas mon pouvoir ... Hésitant un instant, elle caressa doucement la joue du jeune homme avant de retirer sa main, voyant qu'il se redressait pour attraper son pull et un bout de sa manche qui était recouvert du sang de la chaman.

- Est-ce que je t'ai déjà dit que tu étais magnifique avec le yukata que je t'ai acheté ?

Se redressant de même, la jeune femme fit de petits yeux en entendant la question de Gareki. Elle cacha sa gêne derrière un visage légèrement hautain et moqueur ; car si les remarques du jeune homme à son sujet l'avaient troublés, elles la glorifiaient et la rendaient heureuse maintenant. Mais ça, elle ne le montrera pas. Passant une main dans ses cheveux pour les faire voler quelques instants par pur prétention, elle toisa le jeune homme du regard.

« Bien sûr que oui ! » répondit-elle sur un ton prétentieux.

Le mauvais caractère de Sakuya s'accompagnera de sa personnalité imprévisible, comme celle de son bien aimé.

La prétention, un côté de Sakuya que Gareki avait prèsque oublier si celle-ci ne lui avait pas rappeller en répondit possitivement tout en se redressant. Ce côté avait un peu manqué au surveillant car il aimait ce côté là qui la rendait, d'une certain manière, sur d'elle. Enfin, c'est ce qu'il pensait, maintenant, il pouvait très bien se tromper car il n'était pas la personne la plus perspicace ou intéligente du monde. Gareki finit par se lever en jugeant qu'ils avaient tout deux assez passé de temps dans ce grenier sombre dont seul le surveillant était la lumière et ce depuis déjà la rencontre avec Sakuya; A chaque fois, il devait utiliser son don. Il aida la jeune fille à se lever à son tour en lui tendant sa main gauche, celle qui était encore blessé mais aussi celle qui brûlait depuis longtemps maintenant. Gareki tappota sur ses vêtements dans le cadre ou ceux-ci étaient poussièreux. Il ne devait pas oublier son devoir de surveillant malgré que Sakuya lui fait perdre la tête, d'une certaine manière.

- Que dirais-tu qu'on aille à l'infirmierie pour soigner tes blessures ?

C'est vrai qu'avec tout ça, il avait fallit oublier que sa compagne était blessé à la tête ainsi qu'à la main, bien que les blessures à la main semblait dater de plus longtemps semblait-il et d'autre chose qu'en rapport avec la " dispute " que Sakuya avait eu avec l'autre jeune fille aux cheveux blond. Gareki priait intérieurement pour qu'elle accepte sa requête sans broncher car il la voulait saine et sauve. Et puis, la jeune homme avait plus d'un tour dans sa manche pour avoir des arguments convainquant face à l'obstination de Sakuya actuellement étant donné leur relation.

- Je t'embrasse si tu refuses, ajouta-t-il avec un sourire masquin.

Apparemment, il était enfin temps pour eux de quitter le grenier, d'ailleurs, combien de temps s'était-il écoulé depuis que Sakuya était venue ici ? Le temps semble passé si vite par moment et si lentement par d'autre ... La chaman attrapa la main du surveillant qui la lui tendait pour l'aider à se relever. Passant une main sur son yukata, car la poussière enveloppe littéralement l'endroit, elle repasse une main dans ses cheveux, assez fièrement.

- Que dirais-tu qu'on aille à l'infirmierie pour soigner tes blessures ?

Sakuya se tourna vers le jeune homme avant de rabaisser son regard sur sa main. C'est vrai ... Cette gamine ne m'a pas laissé indemne. Quelle poisse. Non seulement était couverte de griffure à cause du chat mais elle en oubliait complètement la blessure qu'elle avait à la tête. Ce n'est rien ... Ça ne laissera qu'une minuscule bosse qui partira, pas de quoi en faire un fromage. Pa rapport à Nanami, les blessures de Sakuya étaient bénignes, et ne représentaient aucun danger pour elle. Si encore elles avaient sa vie en danger, la chaman aurait peut-être accepter sans broncher ; seulement voilà, elles ne le sont pas, et ce n'est pas parce que c'est l'homme qu'elle aime qui va lui demander qu'elle pliera à sa demande. D'un regard hautain, elle détourna son regard sur le sol avant de croiser les bras.

« Même pas en rêve ! »
- Je t'embrasse si tu refuses.
« ... Quoi ?! » dit-elle soudainement.

Hein ? Quoi mais .... c'est du chantage ! Apparemment, c'était Gareki le plus imprévisible des deux. Bien sûr, Sakuya avait compris qu'il trouverait le moyen de la forcer à y aller, mais ce serait être soumis que de répondre toujours positivement à tout. Il avait sorti une arme qu'il ne manquerait sûrement pas d'utiliser avec la chaman, vu son caractère retissant. Instinctivement, la jeune femme recula de quelques pas, sûrement par pur réflexe. M'embrasser ? Est-ce qu'il songe à ce que ça implique ?! Le déclenchement de son pouvoir en lui même était un acte violent et douloureux, ce que Sakuya était loin d'ignorer. Embarrassée, mais toujours obstiné à ne pas y aller, elle regarda le jeune homme en face d'elle.

« C'est inutile, je n'ai plus mal. Et ... Est-ce que tu es seulement conscient de ce qui peut se passer ? C'est hors de question que j'y aille de toute manière. » répondit-elle peu rassurée.

La réaction de la jeune chaman amusa énormément Gareki qui affichait un sourire bien mesquin. Si Sakuya c'était imaginé, ne serait-ce qu'une fois qu'elle était la seule personne imprévisible ici, elle avait bien car différement à elle, Gareki n'avait peur de prèsque rien et était conscient de ce qu'il disait ou fait, voir même, il était probablement l'une des rare personnes dans tout l'établissement à réfléchir avant d'agir ou de parler car il était du genre taiseux et observateur. Bien sur, il n'hésitait pas à mettre en pratique se qu'il savait et dans le cas de Sakuya, c'était le contact physique à cause de son pouvoir et il savait pertinament que sa bien-aimée n'oserait même pas le froller sans que le surveillant utilise son pouvoir. C'était aussi pour ça qu'il comptait parler à Ai après, il voulait que la jeune fille essaye, ne serait-ce qu'une fois de s'entraîner pour pouvoir maîtriser sa faculté. S'avançant tranquillement, il prit tout de même la peine de réfléchir au argument de chaman avant de s'adresser à elle.

- Je suis conscient de ce qui peut arriver ma bien-aimée, ne t'en fais pas pour cela, fit calmement le surveillant. Et puisque tu as l'air d'insister sur le faite de ne plus avoir mal alors... Je te propose seulement de venir avec moi dans ma chambre pour que je puisse au moins recouvrir tes plains... Qu'en penses-tu ? Je serais le seul à te toucher de toute façon.

Sa proposition lui semblait correcte si il ne sagissait que de lui étant donné que d'après ce qu'il avait vu, Sakuya lui permettait plus de chose qu'il n'avait cru. Et il s'était même un peu surpris de ne pas la voir être surprise quand il s'était " jeter " sur elle la toute à l'heure, a moins qu'elle n'eut vite faite de faire semblant de rien. Mais Gareki se doutait que la jeune fille avait du être surpris... Il se doutait même qu'il était en faite son premier amant en y réfléchissant étant donné qu'elle n'était pas du genre à s'approcher des autres. Sauf Gareki bien entendu.

Gareki remarqua qu'il y avait eu une petite hésitation chez la chaman, le laissant tout de même silencieux car, connaissant Sakuya, il pouvait plusieurs choses qui pouvaient provoquer cette hésitation. Bien sur, le surveillant ne prit pas la peine de réfléchir à tout ça étant donné que sa bien-aimée avait accepté sa proposition et il se doutait que son colocataire n'était probablement pas dans sa chambre malgré le faite qu'il parraissait tout de même être un fameux flemmard à vu d'oeil. Reprenant son attention sur Sakuya, Gareki lui tendit la main histoire que celle-ci comprenne qu'il voulait qu'elle la prenne, bien qu'il se doutait que la jeune chaman ne devait pas comprendre étant donné qu'elle n'avait jamais eu de contact avec quelqu'un dans son passé. Cela aurait pu parraitre étrange, mais il avait prèsque oublier qu'il n'y avait plus de porte, c'est pourquoi il donna un petit coup de pied pour que celle-ci réapparaisse.

- Allons-y dans ce cas...

Sur ces paroles, il prit la main de la jeune fille pour entremêler ses doigts enflammés et ceux de Sakuya. Peut-être ne comprenait-elle pas que c'était ainsi que trainait les couples de nos jours, voir même pas du tout. Cela importait peu de toute façon, Gareki savait très bien que Sakuya n'était pas particulièrement bête, voir pas du tout et dans le cadre ou elle ignorait ce genre de chose là, le surveillant prendrait un malin plaisir à le lui faire apprendre rien que pour voir son visage surpris qu'il trouvait particulièrement amusant et mignon avec ça

( tu peux rp direct à la chambre 8D )

Bon après une longue réflexion je préférais largement retournais dans ma chambre pour me faire un brin de toilette, le chemin était plutôt long j'essayais tant bien que mal d'éviter toute personne que je pouvais connaitre, mon état actuelle n'était pas .... Je n'était pas présentable j'étais pleine de terre mon jean, était déchiré et mes cheveux décoiffer. A chaque croisement de couloirs je ralentissais le pas et observer délicatement les environs, s'il y avait quelqu'un je me détournais de mon parcours pour soit, passer par la fenêtre ou rebrousser le chemin, pour moi ça devenait habituelle, même amusant, car chaque personnes étaient trop occupées pour voir quoi que ce soit et ça m'arrangeait grandement, rien ne pouvait me freiner sur ma voie, j'étais en quelque sorte libre. Entre les couloirs sombres la fraicheur du vent et le parquet grinçant, quelle joie de retrouver l'oublie de mes jeunes années, si vous étiez à ma place ....

Stop !!! Quelques lignes plus hauts j'ai dit "grinçant" ? C'est bien ça ? ! Mais attendez ! Je ne me trouvais pas en direction des dortoirs plutôt .... J'étais sur les escaliers qui menaient au grenier. Non mais, j'ai une chance incroyable !
Je me recoiffais avant de passer le seuil, me débarbouillant en même temps je décidais de pousser la porte grinçante de cet endroit qui me rappelais en ce temps, tant de souvenir de bons comme de mauvais, cette pièce n'avait pas changé pour moi elle n'avait rien de désagréable sa lumière tamisé donnait un air imaginaire et la poussière planant dans les rayons doré me faisait penser à la bibliothèque où je me rendais chaque mercredi après-midi.

"Chut, tais-toi donc !" Murmurais-je à une planche grinçante.

Je me rapprocha d'un pile de livres, ils me rappelèrent le jour de ma dispute avec mon amie mais bon le passé c'est le passé. Ma blessure me brulait encore un peu désormais elle était cicatrisée.
Assise au sol je ne pouvais pas plus me salir que je ne l'était déjà, je commençais à lire un bouquin qui allait surement m'apprendre un peu plus sur ce que j'étais.

(Voui voui le tous premier *o*)


A cet âge là je ne savais pas que les livres de magie étaient aussi intéressant, je me rappelle encore que les lignes défilaient sans que je me force, c'est plutôt dur à imaginer en fait je comprenais beaucoup de choses sans savoir comment je faisais, comment déplacer des objets, formule d'Alphonse .D mais, aussi potion de destruction.
Ici se trouver un savoir infini je prenais un plaisir fout à traduire les mots et mon coeur battait aux fils des pages et dire que ce livre était destiné aux amateurs ! Quelquefois des images venaient illustrer les textes ainsi on pouvait voir les dégâts engendrés ou les bienfaits. Envie d'asseyait ? Bien sûr mais, je n'avais pas envie de faire des bêtises j'en avais déjà assez fait.

Mes pensées étaient souvent contradictoires je me mentais à moi-même et m'énerver de même sur mon âme, arf quel ennuie de réagir ainsi !
Sans m'en rendre vraiment compte un jeune homme était en train de lire au-dessus de mon épaule j'en restais ébahi ! C... Comment il pouvait .... Mais comment ose-t-il ?! J'essayais de garder mon calme lire au-dessus de mon épaule je n'aimais pas vraiment surtout quand il s'agissait d'un inconnu en plus depuis hier j'étais un peu sur les nerf. Me retournant complètement vers lui avec un visage interrogateur je décidais pour ne laisser rien paraître de répondre à sa question.

"Oui...."

Je ne voulais pas paraître méchante ou sans coeur mais, cette réponse était plutôt intriguée, je soulevais mon regard pour regarder mon interlocuteur d'un regard assez inquiet ....

"Surveillant ou élève ?"

Simple question rapide et pas très explicatif niveau des informations qui pouvaient me concerner je prenais cette décision au cas où on ne sait jamais et s'il ne comprenait pas cette phrase ça voulait dire qu'il était un idiot né. Je ne pensais pas qu'il allait répondre bêtement il n'en avait pas l'apparence ... Mais vous m'aviez dit un jour qu'il ne fallait jamais s'y fier non ?

J'avais la soudaine impression qu'il me prenait pour une idiote, ce n'est pas à cause de ma couleur de cheveux, si ?
Je détestais dans mon jeune âge quand dans une conversation aucune paroles ne parvenaient, je plongeais mes yeux dans le bouquin pour mieux réfléchir à mes paroles et pour moins passer pour une idiote, car je ne suis pas si bête loin de là je vous l'assure juste que dans ce genre de moment je ne réfléchissais pas assez voilà un gros problème, ah si je pouvais avoir plus confiance en moi.
Il s'assit à mes côtés sans aucune gêne lui au moins n'avait pas les mêmes problèmes que moi, je devais être une espèce en voie de disparition, oh Chigiku quelle ironie ! Tu t'améliores. Je devais vraiment avoir un problème pour penser ainsi !

"Moui je suis une sorcière, répétais-je doucement, toi je devine que tu es .... Un chaman ?"

Je pensais ça, car il en avait l'image, un regard plutôt calme, une apparence désinvolte, oui oui c'était ça, sorcier ça ne lui irait pas nin-jutsuka non plus et génétique je ne pense pas .... Ou élémentaliste mais, eux ils n'ont pas une apparence si détendu enfin je pense.
Je me détendais un peu ne voulant pas paraitre trop excentrique ce que j'étais déjà à mon plus grand malheur, au moins aucun surveillants n'avaient remarqué notre présence, mais si jamais .... Il y en avait un je ... Je me fais tuer, ça fera la .... Deuxième fois que je me ferais prendre c'est pour ça que je suis méfiante d'après moi.