Nous marchions plutôt lentement dans le couloir puisque j’étais quand même un peu fatiguer. Je repensai a la question que Mia m'avais poser . . . Pourquoi Miki aurais été triste de notre relation ? Sa me perturbais comme question ! J'avais les yeux dans le vide puis je revint a la réalité puis me décide a poser la question qui me trottait dans la tête
"Pourquoi. . .Tu pense que Miki serait triste de notre relation ?"
Sa me faisait de poser cette question . . . J'avais l'impression que se n’était pas la chose que je devais me demander. Peut être faudrait il que je lui en parle directement ?

C'est l'esprit égaré qu'Aaron s'aventurait dans les couloirs de la maison de redressement. Ce n'était pas que l'établissement était immense mais, quand même. Il n'arrêtait pas de penser à un tas de choses tout à fait inutiles. Ce qui fait qu'il n'arrivait pas à se concentrer sur la direction à prendre.
Résultat... Il se retrouvait paumé quelque part dans les couloirs. Il ne voulait pas demander son chemin. Premièrement, les japonais se moquaient souvent de son fort accent British. Deuxièmement, il allait apparaître pour un idiot. Même s'il n'était déjà pas très malin par nature.
Quand il ne sait plus où il est, Aaron a une technique. Prendre le premier tournant ou escalier qu'il aperçoit. Le plus souvent, cela marche en sa faveur.
Devant lui, se tenait justement un escalier plutôt étroit. Il l'emprunta. Comme le dit le proverbe, toutes les routes mènent à Rome.

A la fin de son ascension, Aaron tourna tout d'abord la tête vers la gauche. Puis, vers la droite. Il ne savait pas trop où donner de la tête.
En face de lui, une porte sur laquelle il était inscrit le chiffre cinq.
Ce n'était peut-être pas la sienne mais, il s'en rapprochait.


Il avait pensait cette phrase tout haut. Mais non seulement, il l'avait prononcé en français. Aaron ne retenu pas un petit sourire. Finalement, ce n'allait peut-être pas être si difficile que cela. Sans compter son fort accent.
Il se dirigea vers la gauche pour finalement tomber sur sa chambre, la chambre numéroté huit.

Alors que j'avais quitté le bureau des surveillants sans vraiment prendre en compte le faite que Dante ou quelqu'un d'autre avait quelque chose à me dire, je parcourais les couloirs aussi desert était-il. J'avais un sac en main, juste de quoi me changer pour si jamais j'en avais réellement besoin car oui, je vous rappelle que j'ai laissé ma valise dans le bureau. Je laissa échapper un souffle entre mes lèvres, reprenant mon air indifférent quand je sentais comme une sorte de perturbation dans l'air... Du feu ? Le feu consume l'air pour vivre, c'était la base même de sont existence. Je pense que je n'aurais pas remarquer ce détail si je ressentais la sagesse du vent. Peut-être étais-ce quelqu'un qui jouait avec le feu ?

N'oubliant pas mon rôle de surveillant, je traverssa le couloir, distinguant non loin de moi une jeune fille qui tenait de la paume de sa main une magnifique flamme. Tient donc, une Elementaliste... et qui sait tout de même se débrouiller avec sagesse. N'importe quel pyromane aurait déjà fait brûler quelque chose, mais pas elle. Peut-être n'avait-elle pas décidée d'être ce qu'elle est devenue. M'avançant de façon très silencieuse, je me stoppa à une distance bien que raisonnable avant de claquer dans les mains, faisant sursauter la jeune fille qui eut bien vite fait de faire disparaitre sa manifestation. Indifférent, je me rapprocha encore, les mains dans les poches avant de me stopper face à elle.

- A force de jouer, certains finissent par se brûler, dis-je, naturellement mais indifférement.

Oui, c'est vrai, certain se brulait ou faisait brûler des choses parce qu'ils pensent qu'ils sont surpuissant et que même Dieu ne peut rien contre eux. Se sont généralement eux qui meurent le plus vite. Je restais silencieux devant les yeux étonner de la fille. Pourquoi l'était-elle ? Parce que je ne suis pas surpris peut-être. Parce que je suis un quart de ce qu'elle est. Mais peut-être s'imaginait-elle être la seule à possèder un tel don ? Cela ne serait pas étonnant, il est parfois dur d'en parler, et encore, je ne m'y connais que trop bien.

- Mon nom est Gareki Shiro, je suis un nouveau surveillant et j'enseignerais aussi parfois dans la classe A1, dis-je avant de marquer une pose. Et toi ?

Je lui tendis une main neutre mais je restais tout de même sur mon fils de l'indifférence. Je la regardais dans l'espoir puisse un minimum rassurer la méfiance qu'avait du crée mon entrer la tout à l'heure bien que je ne voulais lui faire peur.

Si je n'avais pas eu le job de surveillant ici, et cinq ans en moins, je serais probablement un mec combler. Elle est la seconde fille que je rencontre et qui me répond de façon très aimable, n'allant pas pour me déplaire. Après notre bref salutation, je m'accroupis en maintenant ma tête entre mes mains dont les coudes étaient appuiés sur mes genoux. Curieux. C'est la seconde fille que je rencontrer, et elle est aimable, à croire qu'elle est dans cet internat à tord. Je restais perplexe devant ses pensées bien que je ne laissais rien parraitre. Après un petit instant de silence, je finis par m'assoire en déposant mon sac à mes côté.

- De toute façon, je ne t'aurais pas crut si tu m'avais dit l'inverse. Il est interdit à quiconque d'entrée à moins d'être pensionnné ou faire partie de la famille d'un pensionnaire.

Je voulais sourire d'une certaine façon, mais le chemin de l'indifférence m'en empêchait. Savait-elle que j'étais son professeur en plus ? J'en doutais un peu, sinon elle l'aurait peut-être déjà remarqué... ou pas. Bref, restant encore dans un petit silence, mes yeux plongés dans les siens, je me repris.

- Enchanté, en retard sinon, dis-je, rompant le silence. Cela va-t-il faire longtemps que tu fasses ça ?

J'étais intérieurement curieux de voir si elle allait me demander de quoi je parlais ou si elle allait me prendre pour quelqu'un d'intellingent. Mais vu dont la flamme à disparut après s'être fait une de ces peurs, je doute qu'elle maitrise depuis longtemps son pouvoir.

Je resta silencieux devant ses petites réponses qui, je devais l'avouer, m'interessait un munimum. Quelques semaines hein. Cela ne m'intonnait pas partuculièrement, et même si c'était le cas, je ne le laissais pas parraitre. Nous autres les surveillants avons été informés des types de pouvoirs qu'on pourrait croiser avant même de franchir le seuil de la porte d'entrée. Nous n'avons cependant pas choisit d'être ce que nous sommes, pour la plus part tout du moins. Et puis, je me laissa finalement importer par sa question, penchant la tête vers le côté comme si la réponse était aussi claire que la lune elle même. Me redressant le dos comme si j'allais m'étirer, je laissa mes mains contre le sol frais.

Ne disant rien de particulier, je laissa juste un " humm " désinteresser sortir de ma bouche alors qu'une flamme vermeille de plus grande capacité jaillit entre elle et moi. Le feu était son élément, un matière brute qui consume tout ce qu'il touche sans prévenir gare et seul les fous ne le savent que trop bien. Regardant avec indifférence la réaction de Kaname, je m'adossa face à la flamme qui était bien plus grosse qu'un poignt. Me demandant sur le coup si elle avait peur, je pris cet élément entre le creux de mes mains avant de la diviser en trois autres qui se mirent à tournoyer autour de ma paume comme par magie.

- Comme tu peux le constater, je possède aussi ce genre de capacité, bien que j'en ai bien plus que tu ne peux l'imaginer.

Sur ces paroles, je tendis mon autres mains, laissant glisser une quatrième flamme entre la paume tandis qu'une de ma main droite disparaissait pour réappaitre dans mon autre main. Pourquoi je faisais ça ? Parce que ça m'amusait en partie, mais surtout pour montrer à cette jeune fille certaine possibilité qu'on a avec l'élément du feu. Savoir le controle est une dure tache à avoir car ça consume tout.

- En bref, toi et moi sommes des Elementaliste. Je suis celui qui surpervisera ta maitrise de l'élément, et qui t'aidera dans cette tache, fis-je sur un ton neutre. Je suis un peu comme un professeur particulier en somme.

Je regarda Kaname qui s'était redressér en me demandant pourquoi certain élèves étaient devenus ce qu'ils sont maintenant. En voila une question qui vaut la peine d'être retourtner dans bien des sens, mais moi même qui me suit demander cela il y a déjà bien fort longtemps, je n'ai pas encore réussit à trouver la réponse. Une coÏncidence ? Un accident peut-être ? Ou alors est-ce parce qu'on l'a mérité ? Si c'est le cas, en quoi ? Je me releva en me frottant les fesses de mon jeans avant de regarder à nouveau Kaname avec une indifférence habituel. Elle ne me semblait ne pas en être dérangé à ce propos d'ailleurs. Peut-être avait-elle un ami ou amie qui me ressemblait sur ce plan là. Reprenant mon sac, je repris la même pose, mes yeux plongé dans les yeux de Kaname, cherchant les mots qui pourrait répondre à sa question et avec une grande réflexion, je finis par lui dire le fond de mes pensées.

- Même après bien des années, je n'ai moi même jamais trouver la réponse à la question que tu me poses et je doute que même les plus ancien Elementaliste puisse y répondre aussi. Cela reste un mystère pour beaucoup d'entre nous.

Je me tus par la suite, ne sachant pas si je devais en rajouter ou non, car, c'est vrai, je suis tellement habitué à ma condition d'Elementaliste de l'Ether depuis bien des années que j'en avais même oublié la raison de ce dont, même si, pour ma part, je pense en avoir trouver la réponse. Laissant un soupire désagrable sortir de ma bouche parce que je n'avais pas pu répondre à sa question, j'en avais oublié les flammes qui voltigeaient encore et les fit rassembler en une grosses avant de la prendre dans ma main gauche. Sortant mon autre main, je la plaça au dessus de la flamme et absorba une grande quatité d'air, créant un petit boule de spirale dans ma main droite. J'arrêta de maintenir l'air dans ma main et tandis la petite flamme à Kaname. Elle n'était pas plus petit qu'une bille, mais restait toujours aussi dangereux.

- Je ne peux peut-être pas t'aider à répondre à ta question, mais je peux toujours t'aider à manipuler ce dont, dis-je. Et puis sache que les Elementalistes ne sont pas les seuls à possèder des capacités. Il y a des génétiques, les sorciers et sorcières, ainsi que les chamans et des Nin-justsukas. Mais n'oublie pas aussi que il y a des humains, sans capacité et faible qui peuvent se faire tuer si quelqu'un comme toi ou autre s'en prends à lui.

Sur ces dires, je pensa de suite à Tamara qui n'avait pas de capacité justement, et demeurait une proie face à des pervers qui possèdent de capacités. Voir pire, elle pourrait se faire tuer par quelqu'un qui lui en veut. Lachant la flamme vermeille dans la main de Kaname, celle-ci ne la brûlerait pas tant que je l'avais décidé ou que j'en perde le contrôle. Peut-elle ne l'a-t-elle pas encore remarqué, mais nous sommes les seul à décidés ce que nous brûlons par delà nos pouvoirs. J'esperais juste qu'elel prendrais une voie juste ou je n'aurais pas à la trouver à faire des bétises, sinon, je devrais moi même la corriger.

- Choisit bien tes alliés, tout comme tes ennemis, Kaname, finis-je par dire dans un soupire prèsque de déséspoire.

Sur le coup de mes dires, je n'aurais jamais crut une telle réaction de sa part. Elle me semblait être devenue nerveuse et un peu tourmenté sur le coup. Mais, ce n'était qu'une impression, ce n'est pas pour cela qu'elle l'était réellement. Rester seule ? Pour quelqu'un qui vient d'apprendre tant de chose, cela ne reviendrait-il pas à l'autodestruction ? Moi même je suis rester seul pour appréhender mes pouvoirs et le résultat fut que je ne puis que marcher sur le chemin de l'indifférence, cachant mes émotions à quiconque tenterait de les voir. Laissant un silence se combler après ce qu'elle venait de dire, je claqua du doigt, faisant disparaitre déffinitivement la flamme que j'avais crée. Je me remis à sa hauteur, indifférent.

- Restez seule n'est pas une solution tu sais. Je te dis ça par expérience; Reste avec tes proches, ils seront là pour te soutenir quand tu en auras besoin.

C'est vrai ça, c'est pas parce qu'elle a un pouvoir qu'elle ne peut encore manipuler qu'elle doit s'isoler des autres et de ses proches quelqu'il soit. Me redressant, je réalisa un peu que ce job de surveillant était bien plus compliqué que ce que je ne m'imaginais. Ils font aussi que je garde le morale de ces jeunes si je ne veux pas qu'il arrive quelque chose de stupidement ridicule. Mah, j'aurais tout le temps pour ça, il faut juste qu'elle se fasse à l'idée qu'elle peut manipuler son pouvoir et qu'elle peut brûler seulement si elle le veut. Une flamme sans désire ne fait rien, elle n'est que décoration ou lumière dans les ténébres.

- Même si je peux t'apprendre à maitriser ton pouvoir, tu me sembles bien savoir l'utiliser... c'est plutôt rassurant.

Je resta silencieux un moment, l'air réfléchit bien qu'indifférent. Elle ne sembla pas avoir confiance en ses capacité à progresser d'après ce que j'entendais et voyais. Est-ce au point de penser qu'elle est une menace pour les autres... ? Ou alors elle se rend compte seulement maintenant du danger que le feu pouvait avoir quand il n'est pas maitriser ? Cela me laissait assez perplexe interieurement à vrai dire, même si d'une certaine façon, j'avais l'impression de me revoir il y a quelques années de cela. Je laissa un doux soupire sortir de ma bouche et regarda ma main sans rien dire avant de la ranger dans ma poche. Franchement, ou va le monde, je vous le demande.

- Tu progresseras ! Dis-je de façon convaincu. Je serrais l'aide que tes ami(e)s ne pourront pas t'offrir pour ça alors n'hésite pas à m'appeller.

Je me tus un peu, gêné intérieurement de se que j'avais dit, mais ne le laissais pas parraitre. J'avais un peu l'impression de me retrouver dans un de ces vieux films, ou un manga ou t'as toujours le personnage secondaire qui encourage le principale pour que ce dernier puisse continuer à progresser quelque soit les étapes. Je me gratta la joue en regardant le couloir à ma gauche en me demandant de quoi j'avais l'air depuis que j'étais arrivé ici... Mais bon, c'est pas très important.

- ... Je ne te laisserais pas tomber en court de chemin en tout cas, sache-le.

" Je ne t'abandonnerais pas ". J'avais eu l'envie de le dire pendant un court instant, mais le dire à une fille que je ne connais pas, se serait à la fois bizarre et très suspect dans le sens ou je suis un surveillant et elle, une pensionnaire. Enfin, bref, j'ai déjà une petite idée sur ce qui pourrait l'aider à maitriser son don.

" Monsieur-Gareki-le-surveillant ", on ne me l'avait encore jamais faite celle là ! En plus... " Monsieur " pour quelqu'un qui n'a même pas encore vingt-cinq ans... merci quoi. J'ai l'air si vieux que ça ?! Nan, je déconne, je supose que se sera mon petit surnom quand je serais avec elle. Cependant, des bruits eurent vite fait de s'interposer entre nous. Tournant la tête, je vis deux adolescents, un couple probablement au vue de leur comportement. Je regarda à nouveau Kaname qui me jeta un étrange regard du style; " tu les connais ? ", si ma jeunesse ne me trompe pas et me contenta d'un bref signe négatif de la tête pour lui répondre. Continuant à regarder Kaname dans les yeux tout en écoutant les deux autres d'une oreilles distraite, j'en oubliais peu à peu le faite que j'étais ici que depuis quelques heures et je devais avouer que je me sentais bien moins tendu avec les pensionnaires que je ne l'aurais crut.

- Appelle moi juste Gareki, fis-je d'un air distrait. Je n'ai pas encore la trentaine tu sais.

J'étais rester silencieux quand elle me lacha quelque chose dont j'avais pu voir l'arriver à plus de cent à l'heure. Et c'est d'ailleurs ce genre de feinte pourrie que je m'amusais à faire à mes parents autrefois. Laissant les évènements se produire, je laissa le couple rentrer tranquillement quelque part. Peut-être dans leur dortoir, qui sait. Je regardais la porte sans rien dire avant que mon attention ne se repose sur Kaname qui avait articuler mon nom comme si elle s'adressa à un enfant, ce qui fit apparaitre un microscopique sourire sur mes lèvres et je posa ma main sur ses cheveux avant de les caresser comme si c'était tout ce qu'il y avait de plus normale. Ce n'est pas que je voulais donner l'impression de me sentir proche d'elle, ni même de vouloir l'embêter, mais que j'amais beaucoup donner ce genre de geste que je concidérais comme étant affectif.

- Heureux de voir qu'on puisse s'entendre dans de bon therme, Kaname.

Sur ces paroles, je récupéra ma main avec lenteur, constatant que je ne l'avais pas décoiffer par la même occasion. Cela me soulageait d'une certaine façon, je sais que les filles n'aiment pas qu'on touche à leurs cheveux pour la plupart. Je remis ma main dans une de mes poches restante avant de faire disparaitre le très mini sourire que j'avais laissé paraitre sur mon visage, revenant ainsi sur le chemin de l'indifférence. Je me tourna vers le couloir que j'avais regardé la dernière fois et fit un pas par là avant de retourner à nouveau ma tête vers Kaname en silence.

- Ce fut un réel plaisir de te connaitre en dehors de nos futur " cours ", dis-je indifférement. Sur ce, je te laisse...

Je continua mon chemin en ne faisant qu'un signe de la main sans me retourner. Je déteste ça, ça me faisait trop penser à des adieux inutile et complètement nul. Et puis, je suis convaincu de la revoir à mes cours élémentaires ou je lui apparendrais à contrôler le feu à son désire. Bizarrement, je m'en faisais une vraie joie.

Ryo s'avança dans le couloir visiblement frustré et confus. Ayant aucun moyen d'orientation il ne savait pas du tout par où se diriger. Il continua quelques pas encore et puis au bout d'un moment il s'arrêta net. Un éclair de génie venait de lui sauter au visage. S'il voulait trouver un surveillant, au lieu de courir partout pour essayer de les trouver pourquoi ne pas enfreindre une règle comme ça il n'aurait pas à remuer ciel et terre pour en trouver un. Le jeune homme décida alors de s'asseoir contre le mur et d'attendre. Il y avait bien une règle qui interdisait de flâner dans les couloirs..... du moins il l’espérait.

*bon maintenant voyons voir combien de temps ça va prendre avant de me faire crier dessus pour m'être perdu.*

Après environ une demi heure d'attente sans voir personne Ryo se releva doucement s'essuya un peu pour enlever la saleté de ses vêtements et continua à errer pour arriver on ne sait trop où.

*finalement c'était pas une si bonne idée que ça.... je croyais que les couloirs auraient été plus fréquenter que ça*

J'arriva dans un couloir....vide. Je me demande si il y d'autre gens dans cette école. Je soupira et m'arrêta en plein millieu du couloir. Je fouilla pendant quelque minutes dans mes poches puis trouva finalement ce que je cherchais. Je sortis un papier et le regarda. Il indiqué mon numéro de chambre ainsi que le nom de mon dortoir et un plan pour y aller. Je le tourna dans tous les sens pour trouver ou aller. Je soupira une nouvelle fois espèrant ne mettre pas perdu dès le premiers jours.