Je remarqua que AI s'était arrêté et semblait hésiter. Les autres ne semblaient pas la voir, aïe pour moi. Je toussa avant de prendre mon gsm et faire que j'appelle quelqu'un. Faisant un faux numéros, je fis un peu genre.

<< Hallo, Ai, hésite pas comme ça, vas-y, ou tu veux. >>

Je resta silencieux lorsqu'elle parla. Je me demanda si ce n'était pas à cause de mon coup... Laissant apparaitre un peu détonnement, je rangea mons gsm comme si de rien n'était avant de regarder Ai ne voulait pas bouger pour une raison que j'ignorais...

Je resta de me marbre en faisant comme si je regardais les bus et les voitures passé. C'était quoi ça ? Elle parlait dans le vent ? En plus d'avoir la mauvaise sensation d'être scruté... Il y a un autre fantome ici ou quoi... ?

Merci de me dire ce qui se passe, Ai. De 1. Elle semble parler à un autre fantome, de 2. Ce putain de fantome fouille dans mes poches, je vous dit pas la gueule que j'ai tiré sur le coup. Genre, je vais frapper dans le vent aussi tient, j'aurais l'air malin devant les autres ! Je regarda Ai du coin de l'oeil bouder... Il se passe quoi là ? Humpf. Je soupira avant de prendre mon gsm, faire un autre numéros et de regarder... A DROITE ! Rien mais je sentais sa présence tout de même un peu, un frisson me transperca sur le coup. Je me forca de sourire.

<< On a un invité surprise apparement, et de pas très bonne humeur, dis-je en regardant Ai du coin de l'oeil. >>

<< C'est tout ce que t'as à dire ? >>

Scotchant le couteau de l'autre, sur son propre front, je me retourna vers Ai et attendu une réaction un peu plus digne que ça.

<< J'espère vraiment que tu prends ça plus pour un jeu que pour autre chose. >>

Ma voix étant devenu tout d'un coup plus sérieuse, je jeta un méchant regard l'autre qui se permettait de m’appeler ' l'invité ' alors que soyons O.K, c'est Lui qui est sur mes terres

.

<< Alors tant mieux. >>

Me reculant donc, je lança un petit regard au mec à côté d'elle puis l'analysa de haut en bas. Il m'inspire pas confiance moi avec son économe scotcher sur la cheville. Enfin, sur le front maintenant. Faudrait peut-être qu'il pense à le retirer d'ailleurs.

Il y a des limites à la stupiditée. Je resta silencieux un moment pour ne pas interevenir dans un discution qui semblait importante par respect, là, j'ai atteint ma limite. Prenant mon couteau que le guignolle m'avait collé au front, la rangeant ensuite à ma cheville.

Mon tourna vers Ai ou je fronça les yeux et m'avança d'un pas ferme dans sa direction, igonrant littéralement l'autre enfoiré qui réussit à donner cet expression qui mélangeait l'hésitation et une pointe de tristesse que je refusais voir appaitre sur son visage. Et d'un geste, je la prit dans bras, bien que accroupit, faisant genre que j'avais fait tombé mon gsm " accidentellement ".

<< Tout va bien, Ai ? Murmurais-je doucement au creux de son oreille. Je n'aime pas trop la tête que tu fais... >>

Mais Aieuh! Une pichenette sur mon front. Je n'avais pas envie de bouger moi. Un grognement plus ou moins comprehensible sortit de ma bouche. Wow, ce que c'était glamour. Et tant pis, qui ce permet de me réveiller d'abord? Hum? Je peinai à ouvrir un oeil, mes paupières étend beaucoup trop lourde. De mieux en mieux, voilà qu'on me tirait sur le bras. C'est bon, je me lève! Rrrh, même ici impossible de dormir jusqu'à quatre heure de l'aprés-midi. J'ébourrifai l'arrire de ma crinière de fauve, passant ensuite mes mains sur mon visage. Détournant le regard du sol, je vis à mes côtés ... Comment déjà? Jenny? Oui voilà c'était cela. Elle m'annonçait qu'elle s'en allait ... Et bien, leur rencontre aura été pour le moins brève. Elle lâcha ma main, tandis que je continuai de fixer la mienne.

<< Et Si tu veux que je t'aide à trouver ta chambre, c'est maintenant. >

Je la regardai ébété, le regard dans le vague et la tête dans le laguène complet. Bien sûr que j'avais besoin d'aide pour la trouver cette putain de chambre, mais aurait-elle put avoir l'amabilitée de me laisser boire un café avant cela? Non. Vu son regard froid non. Elle n'avait pas le temps, d'en perdre avec moi. J'étais un boulet indubitablement. Je me levai, me rendant par la même occasion que je faisais au moins une demi-tête de plus qu'elle se qui me fit sourire. J'empoignai ma valise et me postai à sa droite.

- Bien. Quand tu veux.