Le monde du rêve est diverse selon les personnes. Ils peuvent aussi bien être des cauchemars, ce qui ne fut pas le cas pour Gareki, lui qui ne se souvenait habituellement pas de ses rêves, il se sentit comme sortir du sien en sentant quelque chose caresser sa joue doucement tout en entendant le nom de quelqu'un l'appeller. Il entrouvrit un oeil en reconnaissant cette voix qui lui semblait extrêmement douce en ce début de matiné, mais malheureusement, il le referma à cause de l'intensité de la lumière dont son oeil n'était pas encore habitué. Ce fut alors avec calme et sans regarder sa bien aimée qu'il lâcha la hanche de celle-ci pour prendre, ce qui semblait être sa main au premier toucher. Mais ce toucher ci était trop lisse pour être la main de quelqu'un et il jugea alors que c'était la manche du kimono de la jeune femme. Esquissant un petit sourire dans le coin de la lèvre devant l'action de sa bien aimée, il fit glisser l'index de son autre main le long de son dos avant de la ramener à son visage pour faire de l'ombre à la lumière aveuglante.

- Ma bien aimée..., murmura-t-il doucement.

Ouvrant alors ses yeux avec difficuleté pour cause, la fatigue encore présente, il pu alors admirer silencieusement le visage de Sakuya qui semblait serein à cette heure-ci, peut-être parce que c'était justement la matiné. Qui sait. Toujours un petit sourire en coin, sa main se fit entourer par de vive flamme avant qu'elle n'aille chercher celle de sa compagne réfugier dans la manche de son yukata ébène. Entremêlant ses doigts à ceux de la chaman, il refit glisser son autre main dans le dos de la jeune femme comme elle était partit la première fois, faisant frisonner légèrement Sakuya semblait-t-il. Il se contraria lui même de ne pas s'être réveiller avant sa compagne cependant car il aurait aimer savourer le moment ou il pourrait constater le visage endormit de la jeune chaman, pour ensuite la réveiller. Mais il était aussi soulagé d'un certaine manière, car la façon dont il aurait aimé la réveiller ne lui était malheureusement, à l'heure qu'il est, totalement impossible. Gareki posa la main de sa compagne sur sa joue qui prit feu quand la main était sur le point de toucher la peau du surveillant. Les flammes étaient plus vive que la dernière fois, prouvant le repos que le jeune homme avait prit.

- Bien dormit, Sakuya ?

Tout comme Sakuya, le jeune homme avait été éblouit par la lumière du soleil, ce qui était normal, le temps de s'habituer. Il avait lâché les hanches de la chaman qui restait silencieuse devant le réveil de son bien aimé. Elle n'osait même plus bouger, seul son regard suivait les mouvements du surveillant. Le réveil le matin n'était jamais facile, mais pour la jeune femme, ça avait été paisible, sachant que l'homme qu'elle aimait était près d'elle. D'habitude, le matin, il ne vaut mieux pas s'approcher de la chaman, sa mauvaise humeur aurait pu en tuer plus d'un. Attrapant la main de Sakuya, le jeune homme put constater qu'il ne s'agissait pas vraiment de sa main, mais de sa manche, ce qui le fit sourire. Postant sa main en travers de la lumière aveuglante, le jeune homme put enfin voir le visage de la chaman, qui attendait patiemment qu'il se réveille.

- Ma bien aimée...

De simples paroles qui eurent pour effet de lui faire détourner le regard, évitant ainsi de faire rougir ses joues. Je n'arrive pas à croire que j'ai pu être aussi ... douce. Prenant la main de la jeune femme, Gareki entremêla ses doigts avec les siens. La chaman fut soudainement parcouru par des frissons lorsqu'elle sentit la seconde main du jeune homme caresser son dos. Essayant de faire comme si de rien n'était en gardant un visage calme, Sakuya reposa son regard sur son bien aimé alors qu'il posait la main de celle-ci sur sa joue recouverte de flammes. Il ... il a reprit aussi vite ? Légèrement étonnée, elle reprit vite un visage indifférent. Elle s'inquiétait, mais refusait de le laisser paraître.

- Bien dormit, Sakuya ?
« Oui ... Vu tes flammes, toi aussi. » répondit-elle en caressant la joue du jeune homme.

Sentir les caresses de sa compagne faisait légèrement rougir le surveillant qui n'avait nullement honte de montrer ses rougeur car il n'en était absulement pas gêné de se faire câliner de la sorte par sa compagne qui était très belle par delà ses yeux bleu grisé. Chaque seconde qui passait lui donnait l'étrange impression que les yeux de la jeune femme qui était vide auparavant semblait reprendre de la vie pour chaque moment ou elle passait à ses côtés. Cela le rassurait d'une certaine façon car cela la rendait encore plus belle que se qu'elle n'était déjà et puis, ça le rendait heureux de savoir que sa compagne se sentait épanouie à ses côtés. Remarqua les douce phrases de la jeune chaman à propos de ses flammes, mais surtout d'elle qui disait avoir bien dormir, Gareki lâcha la main de sa bien pour la poser sur la tête de Sakuya ade caresser doucement les longs cheveux ébène de la jeune femme. Ils étaient doux, le toucher était agréable.

- C'est vrai, je récupère généralement vite en une paisible nuit car je suis encore jeune et plein de ressource...

Gareki ne pouvait s'empêcher de scutait chaque partie du visage de sa bien aimée; bouche, nez, yeux, joue très légèrement colorée, elle lui semblait tellement parfaite physiquement qu'il se demandait vraiment si la personne qui était allongé sur lui, lui était réellement destiné. Mais c'était leur premier réveille enssemble, dans un même et seul lit, alors il n'avait absolument pas à se soucier de cela. Sakuya l'aimait et rien que ça le comblait, réchaffant son coeur qui avait pu être meurtrie par la solitude étant adolescent, des blessures qui ne guérisse généralement jamais. Certe, il savait qu'il avait moins souffert que Sakuya, et c'est pourquoi il se jurait de ne pas aller voir le passer de la chaman dans son dossier, pour ne pas se sentir trop ridicule comparer à elle. Reprenant son attention sur sa compagne, il se redressa, rapprochant son visage de celui de la jeune femme tout en faisant glisser ses mains sur les hanches de Sakuya.

- Tu es mignonne quand tu rougies, tu sais ?

Le pouvoir des éléments était donc un révélateur certain de la santé du jeune homme, et Sakuya avait maintenant sur quoi se baser pour savoir si son bien aimé était en pleine forme ou non. Sentant quelque chose dans ses cheveux, elle sursauta, puis réalisa que c'était la main de Gareki qui caressait ses longs cheveux noirs. Je ne devrais pas sursauter comme ça, je vais passer pour une peureuse ... Redevenant indifférente, elle retira sa main de la joue du jeune homme silencieusement.

- C'est vrai, je récupère généralement vite en une paisible nuit car je suis encore jeune et plein de ressource...

Alors il faudrait que tu passes de paisible nuit ... tout le temps. C'est d'ailleurs à l'entente de ses paroles que Sakuya réalisa qu'elle ignorait tant de chose sur Gareki. Son âge, ses goûts ... La jeune femme n'avait jamais été curieuse et pour cette fois, elle le resterait jusqu'à ce qu'elle se sente prête à lui demander. Ce n'était pas grand chose pour le commun des mortels, mais pour la chaman, ça représentait énormément. Vu son physique, il doit peut-être avoir ... 20 ans ? Se repérer au physique n'était peut-être pas une bonne idée, elle laissa donc tomber l'idée de trouver la réponse par des hypothèses. Une chose était sûre, elle devait être plus jeune que lui. Mais peu importe l'âge qu'il pouvait avoir, elle l'aimait. On ne l'entendra pas dire souvent des 'Je t'aime' à tout bout de champs, mais ses sentiments sont bien réels, ses gestes ne le prouvent pas forcément, mais son coeur lui, sait la vérité. Se redressant vers Sakuya, le jeune homme fit glisser ses mains le long des hanches de la chaman, ce qui lui fit ouvrir de grands yeux, tout en essayant de ne pas rougir face à ce genre de geste.

- Tu es mignonne quand tu rougies, tu sais ?
« Qu- ?! ... Je ne rougis pas ! » affirma t-elle en rapprochant dangereusement son visage de celui du jeune homme, en prenant un air légèrement vexé, bien qu'elle ne le soit pas.

En voyant le visage de la fille qui l'amait se rapprocher de la sorte vers le sien, Gareki eut une envie soudaine de reculer, mais l'ennuie c'était que justement, le jeune homme n'était absolument pas du genre à reculer pour quoi que se soit, ni même d'avoir peur, il se contentait juste d'être calme et silencieux. Cependant, cette proximité lui faisait battre son coeur plus qu'il ne devait généralement et il ne pouvait s'empêcher de rougir devant la mine faussement vexé de Sakuya qu'il trouvait comme mignonne. A l'inverse de ce que voulait faire le surveillant, il rapprocha à son tour son visage de celui de sa bien aimée, sentant la respiration de celle-ci ainsi que son odeur. Si elle pensait gagné au jeux de celui qui avait tord et celui qui a raison, elle subirait cher alors car Gareki ne se trompait que rarement. De plus, il pouvait le sentir étant donné qu'il tenait toujours les hanches de sa compagne. Esquissant alors un sourire mesquin, il regarda plus intensément la jeune femme.

- Vraiment... ? Alors, je devrais peut-être te faire rougir... ?

Sur ces paroles, il fit descendre l'une de ses mains lentement pour que Sakuya ressente bien celle-ci, la faissant glisser le long du fessier de la chaman qui ne devait pas s'attendre à ce que Gareki exécute réellement se qu'il disait. L'ennuit était que le jeune homme était ainsi; Tout ce qu'il disait, il le faisait et cela revenait aussi au chantage qu'il avait fait dans le grenier, il aurait réellement embrassé Sakuya contre la volontée de celle-ci si elle ne lui avait pas donné de bonne excuse pour ne pas aller à l'infirmierie. Ces gestes pouvaient sembler odacieux, mais cela était normale étant donné qu'il était possessif. Il exécutait lentement ses gestes pour que le corps de sa compagne eut bien mémorise ce qui se passait, faisant descendre d'avantage sa main qui s'arrêta à la cuisse de la chaman ou Gareki s'amusait silencieusement à dessiner des cercles sensuellement. Son but n'était nullement que cela se finisse par des rapports sexuelle car il aimait prendre son temps dans les relations, il voulait juste avoir raison, sans plus, et étant donné la situation dans laquelle se trouvait Sakuya, qu'elle le veuille ou non, son corps va réagir au caresse du jeune homme et finir par faire rougir la jeune femme.

L'aurais-je fait rougir ? Pas le temps d'y réfléchir que le jeune homme rapprocha son visage de celui de la jeune femme, ce qui l'étonna. Le sourire mesquin qui était apparu sur son visage fit ouvrir de grands yeux à la chaman. Je n'aime pas ça ... Le visage de la jeune femme s'était crispé comme si elle sentait le mauvais coup venir. Je ne le sens pas du tout bien ... A cette pensée, elle recula légèrement son visage, craignant que le sourire qu'il lui offrait cache quelque chose.

- Vraiment... ? Alors, je devrais peut-être te faire rougir... ?
« ... Quoi ? » demanda t-elle d'une voix naïve comme si elle avait mal entendu.

Je ne le sens vraiment plus, vraiment vraiment plus. Mais Sakuya ne croyait pas un seul instant que le jeune homme puisse être bien sérieux pourtant. Sentant soudainement une de ses mains descendre jusqu'à son fessier, elle ouvrit de grands yeux. Je rêve, je rêve ... Pourtant cette main baladeuse était bien présente et il lui devenait difficile de retenir les rougeurs de ses joues. Détournant le regard avec une mine victorieuse pensant que c'était fini, elle fut bien plus surprise de sentir cette main continuer sa descente vers sa cuisse. Non non non non ... ! Avant même que la jeune femme puisse réagir, cette main faisait de petits ronds doucement qui eurent raison d'elle. Ses joues pâles prirent soudainement une couleur rosée et une de ses mains vînt les cacher. Ça y est ... Je suis ridicule. Sakuya n'avait rien pu faire contre, et elle avait rougi sans pouvoir l'éviter, ce qui la mettait mal à l'aise. La chaman n'aimait pas rougir, et si ça devait arriver, elle le cacherait. Enlevant sa main de son visage, elle attrapa la main du surveillant qui s'était aventuré sur sa cuisse.

« C'est bon ... Tu as gagné. » dit-elle vexée. « Pour cette fois. »

Voir les joues de la jeune chalan rougir au bout d'un moment eut pour effet de satisfaire le surveillant qui laissa un doux sourire apparaitre sur son visage. Cependant, sa bien aimée semblait être vexée de ses actes, voir même peut-être honteuse de rougir étant donné qu'elle les avait cachés avec la même main qui tenait à présent celle du surveillant, poser sur la cuisse de la chaman. Le geste de la chaman eut donna une impression de flash aux yeux du surveillant ainsi qu'un énorme haut-le-coeur étant donné que ce dernier n'avait pas totalement enflammé le côté de sa main ou avait touché, ce qu'il fit immédiatement pour rompre le contact. Faisait comme si de rien n'était, il fit remonté sa main baladeuse pour que celle-ci revienne à la hanche de sa compagne, rapprochant son visage de celui de Sakuya ou il déposa son front contre celui de la chaman.

- Ma douce, ma tendre... murmurait-il calmement. Il ne faut pas avoir honte de rougir... Pas quand nous ne sommes que tout les deux.

Sur ses paroles, il fit rapprocher le corps de la chaman prèt du sien. Si il y a quelques instants, il pouvait avoir une attitude sournoise, maintenant, il était d'une douceur aussi bien dans ses paroles que dans ses gestes. Obligeant celle-ci à se retrouver en dessous du jeune homme comme la dernière fois, dans le grenier en la faisant glisser sur le lit, Gareki se retrouver à quatres pattes au dessus d'elle. Il prit une main de la jeune femme pour entremêler ses doigts aux siens. Gareki avait beau être quelqu'un qui réfléchit avant d'agir, ce dernier ne prenait cependant pas en compte que quelqu'un puisse entrer à l'improviste dans sa chambre et le surprendre, Sakuya et lui. Il fallait dire qu'il se trouvait dans une position dominante, mais s'en moquait, son attention était simplement focalisé sur sa bien aimée.

- Mon amour... Y aurait-il un caprice passager de ta part que je puisse combler ?

Sakuya s'était habituée à la présence du jeune homme, oubliant presque son pouvoir. Elle avait tort, il n'était pas bénin. Remarquant la main qu'elle avait attrapé n'était pas entièrement recouvert de flamme, son coeur loupa un battement. C'est inquiète qu'elle regarda le jeune homme qui semblait pourtant être en pleine forme. Je n'ai rien senti ... Je dois être plus prudente à l'avenir. Le pouvoir de la chaman était connectée à celle-ci qu'elle le veuille ou non, il s'éteignait le soir quand elle dormait et se réveillait en même temps qu'elle le matin. Pour une fois, peut-être n'était-il pas encore 'activé' ? Peu importe, elle ne se permettrait pas que cette erreur se reproduise une seconde fois. Ramenant sa main à ses hanches et collant son front à celui de la jeune femme, celle-ci se sentit rassuré. Ça n'a pas l'air de l’air affecté ...

- Ma douce, ma tendre... Il ne faut pas avoir honte de rougir... Pas quand nous ne sommes que tout les deux.
« Hum ... »

Ses sombres yeux fixèrent ceux de son bien aimé avant que ses joues ne reprirent une teinte rouge. Ce n'est pas juste, pourquoi je ne peux pas contrôler ça ... Même s'il s'agissait de l'homme qu'elle aimait, la chaman n'arrivait pas à se résoudre à être aussi simple. Elle n'aimait pas rougir, ça montrait la gêne, l'embarras, et elle n'aimait pas montrer ces sentiments. Soudain, le jeune homme la fit glisser sur le côté pour se retrouver à quatre pattes au dessus d'elle, ce qui eût pour effet de la surprendre dans un moment où elle ne s'y attendait pas. Ça me rappelle étrangement le grenier ... Prenant la main de Sakuya pour entremêler ses doigts avec, la jeune femme ne put s'empêcher de se mordre la lèvre en détournant son regard.

- Mon amour... Y aurait-il un caprice passager de ta part que je puisse combler ?

Cette question la surprit, et prenant une mine indifférente, elle se mit à réfléchir. Un caprice ? Lequel choisir ... J'en ai beaucoup trop pour tous les combler. Beaucoup trop ... Et je ne peux pas les résumer en un seul, ça ne me suffirait pas. Reposant son regard sérieux sur le jeune homme, elle serra un peu plus la main de celui-ci.

« Oui, un. Que je ne te demanderais pas souvent. » répondit-elle calmement. « Serre moi dans tes bras. »

Sentant que sa bien aimée resserait son emprise sur la main du surveillant, celui-ci esquissaun petit sourire en coin en écoutant le caprice de la jeune chaman qui lui semblait être encore léger comparer à certain qui pourrait être plus interessant de la part de la jeune femme. Mais Gareki s'en contentait et la serrer contre lui le suffisait emplement... pour le moment tout du moins. Lâchant la main de sa compagne, le jeune homme se redressa en prenant les hanches de la jeune femme avant de les faire glisser dans le dos de la concerner pour la serrer doucement contre lui, faisant passer son visage par dessus de l'épaule de sa bien aimée par la même occasion et réciproquement. Gareki prenait souvent un certain plaisir dans ce genre de moment, se sentant généralement bien. C'était étrange pour lui étant donné qu'il ne sagissait que de serrer la personne qu'il aimait dans ses bras. Regardant du coin de l'oeil par la fenêtre, il se demanda si il faisait bien de rester au lit avec Sakuya à cause de son grade de surveillant.

- Ma bien aimée, n'as-tu pas envie de prendre une douche ? Questionna le surveillant dans le creux de l'oreille de Sakuya.

C'est vrai que cela allait un moment maintenant qu'ils étaient tout les deux rester au lit sans rien faire d'autre que de se câliner, ou encore se taquiner - sourtout Gareki - alors que normalement, la jeune homme devrait déjà avoir prit une douche et être occupé de manger au réfectoire. Tient, en repensant au réfectoire, il se demanda si il ne devrait pas y faire un tour aussi avec sa tendre et douce étant donné que c'était le matin et que comme chaque matin, il avait faim. Certe, moins qu'habituellement car il n'y pensait pas du à la présence de Sakuya, mais maintenant qu'il y pensait, l'appétit lui venait petit à petit. C'était psychologique bien sur, il le savait, mais il ne devait pas négligé son travail.

- Que dirais-tu d'aller manger, tout les deux après.... ?

Il n'avait pas fallu longtemps pour que le jeune homme saisisse Sakuya comme elle l'avait demandé. Laissant passer sa tête par dessus l'épaule du surveillant, la chaman ferma les yeux. Ces instants courts étaient les plus agréables pour elle, et sentir le corps de son bien aimé tout près d'elle la rendait heureuse intérieurement. J'aurais du demandé quelque chose de plus compliqué ... Ça sera pour la prochaine fois. Pour l'instant ... Serrant Gareki contre elle, la jeune femme profitait de ce moment si étrange pour elle. Jamais il ne lui avait été donné de serrer quelqu'un dans ses bras, ou même d'approcher une personne de cette manière. Tout lui était si nouveau.

- Ma bien aimée, n'as-tu pas envie de prendre une douche ?
« ... Si. » dit-elle en frissonnant légèrement. « Mais ... Toutes mes affaires sont dans ma chambre. »

Sakuya ne s'embarrassait pas de répondre par de longues phrases inutiles, la réponse, le jeune homme lui-même devait la connaître. Le seul détail qui dérangeait la chaman, c'était le fait que toutes ses affaires se trouvaient dans sa chambre, dont celle de rechange. Le déplacement d'ici jusqu'à sa chambre ne la dérangeait ; mais elle ne voulait plus quitter l'étreinte de Gareki. Il faut que je me fasse une raison, je ne vais pas rester éternellement ici. Relâchant le jeune homme, elle passa une main dans ses cheveux, sa prétention avait refait soudainement surface.

- Que dirais-tu d'aller manger, tout les deux après.... ?
« Je ... » répondit-elle brusquement.

Loin d'elle l'idée de refuser, mais allaient-ils devoir aller au réfectoire ? Au restaurant ? Les endroits bondés ne sont pas fait pour la chaman. Elle s'y sent cloîtré, pour une raison inexplicable, les foules ne sont pas sa tasse de thé. Rabaissant son regard, elle serra une de ses mains par stress. C'est frustrant, je ne peux quand même pas lui dire non ... Comment lui expliquer qu'elle ne supportait la présence d'autres personnes ? Depuis son arrivée, tous les lieux qu'elle avait fréquenté étaient souvent vides, couloirs, grenier ... Même sa chambre. Sakuya voulait y aller avec lui, mais ne trouverait pas la force de supporter le regard des autres qu'elle tuerait sans pitié si elle en avait l'occasion.

« ... Où ? » questionna t-elle.

Gareki resta silencieux quand la chaman lui avoua que toute ses affaires étaient dans la chambre de celle-ci. Il ne voyait pas ou était particulièrement le problème, elle pouvait tout aussi bien remettre le yukata qu'elle portait aujourd'hui car cela ne faisait... quoi, même pas deux jours qu'elle l'avait ? Mais d'une certaine façon, il la comprenait et c'était peut-être mieux ainsi. Si elle désirait aller à sa chambre alors il l'accompagnerait, comme le ferait n'importe quel petit-ami avec sa compagne, ça lui semblait naturel. Se détachant de Sakuya, il regarda celle-ci passer un coup dans ses cheveux, l'amusant d'une certain façon car ça faisait un peu genre de sa part. Mais ça faisait partie du charme de Sakuya de se comporter de la sorte et Gareki soupçonnait la jeune chaman d'avoir un petit côté lunatique par moment, ou alors elle avait un caractère qui revenait par moment.

Lorsqu'elle mensionna l'endroit ou voulait aller manger Gareki, celui-ci resta muet. Il savait pertinament qu'au vue des endoits qu'avait fréquenter la chalan jusqu'à présent, celle-ci devait alors ne pas se sentir à l'aise quand il y avait du monde autour d'elle. Il fallait alors qu'ils mangent tout deux quelque part ou peu de monde était ou penserait aller, ce qui ne fit pas venir un endroit quelconque dans l'esprit du jeune homme. Sur ce point là, il n'était pas comme la chaman ce qui faisait qu'il ne fréquentait pas d'endroit peu bondé de personne et chaque endroit que connaissait Gareki ne semblait nullement convenir àa sa bien aimée. Restant muet un moment, il s'adressa enfin à sa compagne en caressant la joue de cette dernière avec sa main enflammée.

- Hum... Pour le moment, allons plutôt à ta chambre ou tu pourras avoir des habils de rechange pour quand tu auras prit ta douche... je viens aussi bien sur... j'en prendrais une aussi là-bas si ça ne t'ennuis pas..., ajouta la surveillant, ne sachant pas si ça gênrait la chaman. Après, nous réfléchirons enssemble à un endroit ou manger qui conviendra à tes désires... ça te va ? Questionn le jeune homme sur un ton doux.

La peur d'être dans un endroit rempli la figeait ; quoi de plus naturel quand on sait qu'au moindre contact, c'est la catastrophe. Par amour, elle aurait pu aller n'importe où, tant que c'était avec Gareki. Mais ce n'était pas forcément simple. Fermant les yeux quelques secondes lorsqu'elle sentit la douce du jeune homme caresser sa joue, elle les rouvrit rapidement en entendant sa proposition.

- Hum... Pour le moment, allons plutôt à ta chambre ou tu pourras avoir des habils de rechange pour quand tu auras prit ta douche... je viens aussi bien sur... j'en prendrais une aussi là-bas si ça ne t'ennuis pas... Après, nous réfléchirons enssemble à un endroit ou manger qui conviendra à tes désires... ça te va ?
« Oui ! » annonça t-elle avec détermination.

Il était temps de se réveiller, après une nuit de sommeil paisible, il fallait bouger, et manger en particulier. L'idée de d'abord aller prendre une douche pour ensuite chercher un endroit où aller manger lui convenait parfaitement. Espérons que mon colocataire inconnu ne soit pas là ... Sakuya ne tenait pas plus que ça à faire connaissance de son colocataire et serait heureuse de voir qu'il ou elle n'est pas dans la chambre à cette heure-ci. Elle attendit que le jeune homme se lève pour qu'elle puisse faire de même. Passant une main sur son yukata, elle regarda la main du jeune homme, qu'elle attrapa après que celle-ci soit recouverte de flamme. Le visage froid de la chaman cachait désespérément bien sa bonne humeur, qui était si rare.

« Allons-y. » fit-elle en se dirigeant vers la porte de la chambre, sans lâcher la main du jeune homme. Une fois la porte close, lui et la chaman partaient en direction de la chambre de celle-ci calmement.

( Tu peux rp direct à la chambre ! : D )

« Qu'est-ce que tu fais ?! Repose moi tout de suite ! » s'était-elle mise à crier, se contrefichant qu'il pouvait y avoir des élèves les regardant ; heureusement, ce n'était pas le cas.

Qu'est-ce qu'il cherche à faire ? Je lui ai juste dit de ne pas douter de mes sentiments ! C'est normal de me prendre comme un sac à patate ?! La seule chose que la chaman savait, c'était leur destination, sa chambre. Durant tout le trajet, Sakuya n'avait pas cessé de lui hurler dessus en frappant son dos de toute force dans l'espoir qu'il la lâche. Une fois arrivée à la porte de la chambre, le jeune homme était rentré comme si de rien n'était avec la chaman sur le dos. On a eu du bol que personne ne nous voit déjà ! Tss ! Alors que la porte était fermée et qu'ils se retrouvaient une fois de plus tous les deux, la chaman ne changea pas son caractère pour autant.

« REPOSE MOI ! »


« Qu'est-ce que t'as pris de me prendre comme un vulgaire sac à patate ?! » demanda t-elle sur un ton vexé.

S'étant tout deux enfin retrouvés à la chambre, Gareki ne fit pas dans la délicatesse pour ce qui était de reposer la jeune chaman. Il fallait dire qu'ele n'avait pas été douce non plus, non pas parce qu'elle n'avait pas de force dans ses bras qu'elle n'en avait pas dans le voix. Ses oreilles lui faisait légèrement mal à cause de sa compagne qui n'avait cessé de lui crier dessus, et c'était une chance que personnes ne se soit précipité vers eux pour voir ce qu'il se passait. Soupirant comme réponse à la jeune femme, il alla fermé à double tour la porte de sa chambre pour ensuite se retourner vers sa bien aimée. Ce qu'elle était bruyante quand elle s'y mettait par moment. Il ne prit pas la peine de chercher loin comme réponse, se contentant de se rapprocher du lit ou se trouvait la jeune femme pour prendre son son visage entre ses main protégés par l'élément du vent, et déposé un baiser sur les lèvres de sa compagne. Son visage entier était lui aussi avait la protection, donc, rien ne pouvait se passer en se qui concernait le pouvoir de la chaman. Après un instant à rester ainsi, il espéra que ça l'avait calmer.

Se détachant peu après ses lèvres de celle de la jeune femme, il esquissa un sourire satisfait. Le calme avait enfin réapparut dans la chambre, soulageant le jeune homme. Entendre Sakuya de la sorte pourrait faire laisser se poser des questions à ceux qui seraient passés de la porte de la chambre, insinuant des choses entre adolescents qui prendront ensuite sous forme de rumeurs ou des sous-entendus, ce que ne souhaitait pas le jeune homme. Il caressa ses lèvres du bout de son index en tournant son regard vers celui de la jeune femme pour voir sa réaction car il n'avait pas crié gare.

- Alors ? Comment c'était ? Questionna-t-il avec un sourire malicieux.

- Alors ? Comment c'était ?
« Qu- ... Quoi ?! » finit-elle par dire comme si elle venait de se réveiller.

Immédiatement, elle passa sa main sur sa bouche comme si le geste l'avait dégoûté, ce qui était complètement faux. Prenant un air vexé, elle croisa les bras. Ce baiser était sûrement son premier, il n'y avait pas de doute possible, non, ce qui l'avait légèrement vexée est qu'il ne l'ait pas prévenu. C'était trop ... soudain. Même si elle refusait d'admettre qu'elle avait tout particulièrement apprécié cet instant, elle n'avait pas vraiment senti les lèvres du jeune homme sur les siennes. Sûrement son pouvoir .... C'était peut-être infime, mais quelque chose les séparait quand même. Et si son pouvoir n'avait pas été suffisant, le contact aurait été là ; le jeune homme avait donc prit un risque que Sakuya ne négligeait pas.

« Tu aurais pu me prévenir ! » ajouta t-elle sans le regarder, cherchant à calmer ses maudites rougeurs.

La réaction de la jeune femme sembla être un peu abusé aux yeux du surveillant qui était bien amusé de son côté, arborant un sourire toujours aussi malicieux, il aimait constater le visage rougit de la jeune chaman. La prévenir ? Comme si ce genre de chose était prévisible, c'était un baiser improviser que le jeune homme n'avait pas particulièrement eut en tête. Cependant, il s'était douté que ça aurait fait taire la jeune femme sans problème quelconque et en soit, Sakuya n'avait pas répondut à la question du jeune homme qui resta silencieux face à ça. Toujours sourire malicieux sur les lèvres, il prit la peine de s'assoire sur le même lit que la jeune femme pour voir de plus près la gêne qui l'habitait. Il prit la peine de reprendre la visage de la jeune femme entre ses mains pour obliger celle-ci à le regarder. Certe, sa façon de faire était la même que lorsqu'il l'avait embrassé, mais il ne comptait le faire une nouvelle fois.

- Comment tu veux que je te prévienne de ce genre de chose ? Questionna-t-il. Et ça t'as plu ou pas ?!

En plus, il trouvait les actions de la chaman bien plus interessante quand elle ne s'attendait pas à ce genre de chose car elle ne savait pas contenir ses émotions sur le coup, cela se voyait trop. Quand à lui, il ne semblait pas plus choqué que ça de l'avoir embrasser, voir même, il en avait prit un plaisir prèsque mesquin à le faire. Bien que l'air ne se voit pas, malheureusement, le contact entre leurs lèvres ne pouvaient être sentit, ce qui était bien dommage car le contact donnait plus de sensation. Enfin, Sakuya devrait plutôt en être heureuse car ça l'aurait encore plus traumatisé que ce qu'il venait de se passer et voir même, le surveillant aurait plus loin si dans le baiser si le pouvori de la jeune femme n'agissait pas comme un bouclier.

C'est énervant de ne pas pouvoir se débarrasser des rougeurs en claquant des doigts, la chaman s'en était vite rendue compte. Ayant détourner son visage par gêne, elle fronça de nouveau les sourcils lorsque le jeune homme vînt s'asseoir près d'elle tout en prenant le visage de celle-ci, dans le but qu'elle ne puisse pas détourner son regard. Son visage s'était crispé de même qu'elle montrait presque les dents. Quoi ? Ça t'amuse toujours autant de me voir rougir ?! Posant ses mains sur celle du surveillant, la jeune femme poussa un grognement.

- Comment tu veux que je te prévienne de ce genre de chose ? Et ça t'as plu ou pas ?!
« Quelle question stupide ! » dit-elle en rougissant un peu plus.


« Bien sûr.» dit-elle d'une voix presque inaudible. « Mais tu vas finir par t'épuiser à force d'utiliser ton pouvoir ! » finit-elle par dire l'air de nouveau énervé.

La réponse de la jeune femme avait été dite de façon tellement fine que le surveillant avait faillit la louper, mais il était comme; Rien ne lui échappait, et tout ça grâce à l'utilisation du vent qui portait le son de la jeune chaman aux oreilles du jeune homme. Toujours avec un sourire sur les lèvres, il fut cependant déconcerté de voir que sa bien aimée déballait encore le même débat que d'habitude; La consomation d'énergie à cause de ses pouvoirs. Ne disant rien une fois de plus, il affichait un air du genre à s'en fouttre des paroles de la jeune femme, soupirant pour ensuite pousser sa compagne contre le lit pour pouvoir s'assoire sur elle sans vraiment le faire, s'appuiant sur ses genoux pour ne pas écraser la jeune chaman. Il fallait croire qu'elle était ainsi, toujours à s'inquièté de la santé du surveillant. Ce dernier bloqua les bras de la jeune femme pour ne pas qu'elle tente de se libéré.

- T'es bruyante Sakuya, on va croire que je te fais des cochonneries si tu continues à crier de la sorte.

Bien sur, Gareki n'était sérieux, mais il le cachait pour avoir l'air convainquant. Différemment à sa douce et tendre, il avait la capacité de sentir toute présente dans l'enseinte du bâtiment grâce à la capicité de la terre. Et il savait pertinemment que personne ne passait dans le couloir, mais avec les cries de Sakuya, ça risque peut-être d'attirer l'attention des gens qui se trouver dans les chambres à côtés. Gareki avait prit un plaisir à changer de sujet car il pensait que la jeune chaman avait trop tendance à sous estimer sa force et surtout sa capacité de récupération pendant son sommeil.

Apparemment, le sujet de son pouvoir n'était pas ce qui intéressait le surveillant. La chaman pourtant y pensait, elle savait que son pouvoir n'était pas infini, et qu'un jour peut-être, il en subira les conséquences. S'il ne veut pas entendre raison, tant pis pour lui ! Après avoir soupirer comme s'il voulait ignorer les paroles de la chaman, il la poussa sur le lit, de manière à pouvoir s'asseoir au dessus d'elle, sans l'écraser. Alors qu'elle était prête à se redresser en s'aidant de ses bras, ceux-ci furent vite bloquer par le jeune homme qui avait anticipé tout mouvement. Sakuya gigota pendant quelques instants pour tirer ses bras et les libérer, mais comme d'habitude, c'était inutile.

- T'es bruyante Sakuya, on va croire que je te fais des cochonneries si tu continues à crier de la sorte.
« Je m'en fiche ! » affirma t-elle en continuant de gigoter dans tous les sens.

« Et puis je continuerais de crier tant que tu ne m'auras pas lâché les bras ! » affirma t-elle clairement.

Voir une chaman se débattre face à un élémentaliste était réellement quelque chose de distrayant étant donné que niveau force, Sakuya n'égalisait vraiment pas le surveillant. De plus, avec l'âge, la différence de force entre homme et femme devenait de plus en plus important, surtout dans leur cas étant donné que Sakuya avait seulement 18 ans, quand à Gareki, lui, en avait 23. 5 ans les différençait et ça pouvait savérer être énomre pour certaine personnes. Lorsqu'elle le menaça de crier si il ne la libéra pas, le surveillant soupira une fois de plus, déconcerté de ce que disait la jeune femme. Elle ne savait pas ce qu'il avait sous-entendu par " cochonnerie " ou quoi ? C'était pourtant un therme souvent utiliser de nos jour pour parler des rapport sexuelle. Regardant la jeune femme, il arqua un sourcil.

- Tu veux vraiment que les autres croit qu'on fait l'amour ? Questionna-t-il.

Hors sujet. Normalement, il aurait du trouver une menace pour que la jeune femme ne crie pas, mais cela semblait être une méthode tout aussi interessante aux yeux de Gareki qui avait hâte de voir la tête de sa compagne lorsqu'elle aurait comprit ce qu'il voulait dire. Elle était ignorante sur plus de chose qu'il ne l'eut crut en tout cas, malgré les thermes que les jeunes utilisaient souvent, mais il fallait croire que Sakuya n'avait pas réellement cherchée à s'approcher d'eux.

Sakuya était prête à hurler s'il le fallait, bien que ce soit une mauvaise idée. Attiré l'attention du reste du monde n'était pas son but, non, elle voulait juste se libérer de l'emprise que le jeune homme avait sur ses bras, ce qui était parfaitement légitime d'une certaine manière. Alors qu'elle continuait de gigoter tel un poisson hors de l'eau, elle s'arrêta en entendant le surveillant soupirer. Quoi ? T'aimerais être à ma place peut-être ?! Rah je vous jure !

- Tu veux vraiment que les autres croit qu'on fait l'amour ?
« Pardon ?! » s'exclama t-elle en ouvrant grand les yeux.

La chaman avait brutalement stoppé tout geste ; elle savait certes peu de chose mais pas au point de ne pas comprendre ce que le surveillant venait de dire. Et pour elle, crier comme elle avait l'intention de le faire ne pourrait pas faire supposer aux autres de quelconque rapports. Reprenant un visage normal, elle poussa un grognement. Bon sang ! La différence de force était trop importante pour que la chaman gagne, mais sa détermination la poussait à essayer, même en sachant qu'elle n'y arriverait pas. C'est facile d'être dominant quand on a 5 ans plus et qu'on est un homme ! Tu parles ! Rageant intérieurement de cette différence d'âge qui ne l'aidait pas à cet instant, elle renonça à se défendre tout en répondant à la question du jeune homme.

« Non ! Mais il n'empêche que j'aimerais que tu me lâches ! » dit-elle en le regardant.

Le surveillant restait silencieux quand à l'obstination dont faisait preuve Sakuya. Se débattre encore et toutjours, ne savait-elle pas juste se laisser à lui ? Il fallait croire que non et ce n'était pas le surveillant qui allait faire l'inverse si il se retrouvait dans la même situation. La réaction de Sakuya semblait doublement exagéré de celle ou le jeune homme lui avait demandé si son baiser lui avait plus. Elle ne semblait pas particulièrement choqué ou abassourdit, mais peut-être que c'était juste Gareki qui s'imaginait trop de chose. Se retanant de soupire une énième fois, il leva les mains comme si on venait de l'accuser de quelque chose face à un policier, libérant les bras de la chaman sans pour autant se bouger de celle-ci. Le surveillant remarqua alors à quel point elle était d'humeur survoleté même quand ils n'étaient que tout les deux.

- Voila, j'ai lâché tes bras, dit-il comme si il s'adressait à un enfant.

Mais il ne s'était pas bougé, ce qui faisait que la chaman restait tout de même bloquer en dessous de lui. Même si elle pouvait renverser la situation d'une façon dont seule Gareki connaissait la méthode. Il connaissait beaucoup les positions physique étant donné qu'il avait toujours vécu dans un dojo en se battant de manière japonaise divers. Mettre Sakuya à terre n'était pas un problème pour quelqu'un pour lui et il en était particulièrement fière. Esquissant un sourire en coin, son regard devenu plus doux et il ne pu s'empêcher de caresser le jolie minois de sa bien aimée.

- Voila, j'ai lâché tes bras.

La jeune femme poussa un léger soupire avant de poser son regard sur celui du jeune homme qui ne la lâchait pas des yeux. J'ai du mal à me détendre, c'est normal non ? Je n'aime pas être détendu. Je ne dis pas qu'être comme une pile électrique me conviendrait mais presque. Sakuya savait qu'elle n'avait aucune raison d'être aussi réticente face à l'homme qu'elle aimait mais ses paroles restaient en travers de ses pensées. Certes, le sujet avait changé depuis mais la chaman n'avait pas oublié ce qu'il avait dit et affirmé. Il n'hésitera pas à me tuer, c'est ... triste non ? Elle était si bien enfoncée dans ses pensées qu'elle sursauta en sentant une main caresser son visage. Aussitôt, elle regarda le jeune homme qui esquissait un sourire doux ; elle dégagea sa main d'un coup, pas forcément dans le but dans d'être méchante ou de le repousser, mais la chaman avait une autre idée. On est que tous les deux, alors tant pis ... Elle tendit les bras vers Gareki, comme les enfants le font à leur parents lorsqu'ils veulent être câliner. Un geste qui pouvait paraître totalement puéril, mais en se mettant à la place de la chaman, on comprenait qu'elle ne savait pas comment s'y prendre. Son visage semblait plus calme, mais gardait une once de froideur malgré tout.

« Gareki ... » dit-elle calmement comme si elle insistait un peu plus pour qu'il la câline.

Silencieux, Gareki ne su comment prendre le geste de rejet de la chaman à son égard. Se pourrait-il qu'elle n'aime pas que le jeune homme lui touche le visage ? C'était une possibilité mais il ne voyait pas en quoi étant donné que ce n'était pas la première fois que Gareki le faisait de toute manière. Ce ne fut que lorsque la jeune femme tendit les bras vers lui en pronçant son nom que son visage indifférent exprima un grande surprise en la voyant ainsi. Elle lui rappellait un enfant qui réclamait égoïstement un câlin, se qui touchait le surveillant qui trouvait ça d'un mignon prèsque inhabituel chez la chaman. Affichant un sourire, il accepta volontier ce que lui demandait sa bien aimée et la prit dans ses bras doucement pour pouvoir savourer lentement ce moment avec la chaman qui passait réellement pour une enfant. Mais n'étais-ce pas normal ? Elle n'avait jamais eut de relation aussi rapprocher aussi bien physiquement qu'émotionellement avec un homme si ce n'était que lui. Serrant sa compagne contre lui, il caressa doucement le dos de la jeune femme.

- Câlin arriver à destination, murmura le surveillant.

En faites, sortir avec quelqu'un comme Sakuya était une relation à double tranchant à cause du travail de Gareki. Il avait le droit de l'aimer et faire se qu'il voulait, quand il le voulait, mais dans le cadre ou si Sakuya veut tuer quelqu'un, alors Gareki n'a d'autre choix que de mettre fin à sa vie et ainsi être connaisseur d'un peine de coeur sans précédent pour le jeune homme. Fermant les yeux, il cessa d'y penser tout espérant que cela n'arrive jamais, préférant savourer ce moment ou il dorlotait sa compagne doucement. Il se sentait tellement bien dans le creux des bras de la jeune femme qu'il serrait capable de tout cèder rien que pour elle.

- Câlin arriver à destination.


« Presque aussi doux que les miens. » fit-elle d'un air très prétentieux en continuant de toucher les cheveux du jeune homme.