Le jeune Gareki n'était pas le genre de personne à avoir les yeux dans les poches. Il voyait bien que sa jeune élève était fatigué, bien qu'elle devait possèder assez d'énergie pour faire quelques truc encore. Ce dernier resta silencieux quand à la réponse de Kaname et regarda son chapiteau de carte avec une certaine satisfaction. Elle était grande, il n'y avait pas à dire, mais chaque chose disparait avec le temps, ce n'était pas difficile à comprendre. Il pointa le doigt sur le sommeil du chapiteau et une flamme s'alluma comme si le doigt de Gareki était un briquet. La flamme se propajait lentement et calmement grâce au contrôle permanent que le jeune homme avait dessus. Il se tourna alors vers Kaname et ajuste à nouveau ses lunettes de vitesse qui était encore une fois, correctement mise. C'était une sorte de tic pour lui de faire ça.

- Heureux de voir que me réponse te plait, murmura-t-il avec sérénité. Je te donnerais ton prochain exercise demain... s'entrainer comme tu l'as fait à du t'épuiser, je supose ? Questionna-t-il.

Bien sur, il connaissait déjà la réponse à sa question, il l'avait posé juste pour le plaisir de poser cette question, et rien d'autre. Il se leva de son bureau et se rapprocha de Kaname comme si le chapiteau de carte qui était maintenant en feu n'existait pas. Arriver de l'autre côté du banc qui le sépparait d'elle, il tendait le bras pour cresser les doux cheveux de la jeune fille avec tendresse. Il aimait particulièrement ce geste qui montrait son affection pour elle sans pour autant la faire prendre pour un animal. Il claqua alors du doigt avec l'autre main, faisant disparaitre le tas de flamme, ne laissant que des cendre de carte encore fraichement chaude et vif, tout en laissant glisser sa main le long de la joue de la jeune fille. Par la suite, il resta silencieux, son regard plongé dans celui de la jeune fille.

- J'aurais imaginé que tu me demandes autre chose qu'une question tu sais. J'ai dit que je cèderais à tes caprices... N'importe lequels et je ne concidère pas ta question comme un caprice, justement.

Caprice, caprice. Gareki lui même en était remplie et les réponses que lui fournissait Kaname le faisait bien sourire intérieurement. ce ne fut que lorsque cette dernière le prit dans ses bras qu'il ne cacha pas sa réaction, ne cachant pas sa surprise au geste de la jeune fille. Mais il se laissa cependant faire et posa une main rassurante dans le dos de la petite caprisieuse. Ce fut un moment court car Kaname se détacha de lui pour sortir son gsm, faisant comprendre la situation au jeune homme qui était encore un peu étourdit. Il reprit alors de suite son air en voyant une certaien inquiètude dans le regarde de Kaname qui fixait son gsm. Il ne voulait pas faire son curieux et se contenta donc juste de lui parler.

- Qu'est-ce qu'il y a Kaname ? Questionna-t-il.

Sa voix portait un peu plus vu l'expression qu'avait la jeune fille pour l'instant. Cela l'inquiètait pas particulièrement, mais il avait tout de même un mauvais présentiment. Il se mit alors à réfléchir sans le montrer sur ce qu'il pouvait bien se passer pour que la jeune fille aie l'air si troublé. Il esquissa alors un petit sourire sur le coin de sa lèvre, baissant légèrement la tête en rapassant sa main dans les cheveux de la jeune fille pendant un petit moment. Celle-ci l'avait regarder et lui, avait détourner le regard.

- Si tu n'as pas besoin de moi, dépêche-toi de partir... Quelqu'un a peut-être besoin de toi.

Le jeune homme n'eut pas besoin de savoir ce qu'il était écrit sur le gsm pour le savoir. Tout ce voyait dans l'expression de la jeune fille, et du faite qu'on l'ai envoier un sms. Rien qu'avec ça, cela signifiait qu'on l'appellait quelque part.

Gareki avait préférer garder le silence. Il n'avait pas réagit quand la jeune fille l'avait reprit dans ses bras, ni même quand elle lui avait donné un baiser sur la joue, mais en était gêné intérieurement. le silence était maintenant le maître dans la classe du jeune enseignant qui ne savait que faire à présent. Il doutait que quelqu'un puisse arriver pour voir si le professeur était là. Lui même avait été jeune donc il savait bien que les élèves ne voulait pas fréquenter cette classe. Il regarda alors la porte encore entre-ouverte que Kaname n'avait pas réellement prit la peine de fermer pendant sa course et il caressa sa jouen l'endroit ou elle l'avait embrassé, avant qu'il ne caresse ses lèvres pendant un instant. Peut-être avait-il décisé quelque chose à ce moment, mais peu lui importait actuellement. Il prit les bougies bien entamer et les jeta, quittant par la suite la salle de classe en silence.

Après avoir parcourut les rues du dehors avec tranquillité, c'est en reprenant son grand air indifférent qu'il rentrait dans House pour pouvoir parcourir tranquillement les couloirs en tant que Surveillant. Ses vêtements étaient un peu mouiller, et ses cheveux légèrement blanc à cause des flocons qui étaient tombés sur sa tête, mais il s'en moquait. Ce n'est pas ces petites choses qui risquaient de le déranger. Il se dirigea vers sa classe en espérant que Kaname était revenu pour pouvoir encore faire certain de ses exercises et en arrivant devant la porte, il se rendit compte que celle-ci avait été ouverte par quelqu'un d'autre. << Tiens donc... >>, pensa-t-il en pendant que la personnes qui était là était Kaname. Il resta indifférent en voyant que la personne qui était là n'était pas Kaname, mais une jeune fille qui lui semblait très jeune par rapport à lui. De plus, il resta silencieux en voyant que celle-ci chantait aussi faux qu'une casserole.

Il prit la peine d'entrée en éttoufant un rire dans sa main droite pour aller à son bureau. Il toucha le bureau en bois pour que la matière de ce dernier ne se transforme en une grande latte en bois. La jeune fille avait déjà remarqué sa présence mais ne semblait pas avoir encore retiré ces écouteurs. Il leva donc son bras bien en prenant un bonne inspiration avant de l'abattre en utilisant l'air pour accélérer la mouvement et envoyer tout les onde sonore sur la jeune fille qui sursauta de plus belle. Il fallait dire que maintenant qu'il était en classe, il était un professeur et non un surveillant donc, il pouvait se permettre ce genre de chose. Il resta indifférent en voyant la jeune fille qui devait être un peu déboussoler avec toute les ondes du bruit que venait de lui envoié Gareki. Celui-ci rigolait bien intérieurement même si il savait que ce n'était pas très simpas de sa part. La jeune fille retira enfin ses écouteurs.

- Il est interdit d'écouter de la musique en classe, fit-il sur un ton calme tout en tapottant la latte dans son autre main. Je suis Gareki Shiro, l'un des professeurs de cette classe, et toi, jeune fille ?

Gareki resta silencieux quand la jeune fille se présenta comme étant Miki. De plus, elle n'avait pas été mise au courrant qu'il y avait deux professeurs dans toutes les catégories de l'école ? Cela laissa perplexe le jeune professeur qui déposa tranquillement la latte sur le côté de son bureau comme si tout ce qui venait de se passer était normal avant de regarder le téléphone briser non loin de lui. Le pauvre tableau a du bien encaiser son arriver. Il regarda à nouveau Miki qui semblait mécontente, mais aussi intrigué à la fois. Il fallait dire que c'était normal, qu'un jeune homme de même pas vingt-cinq ans se présente comme étant un professeur n'était pas banale de nos jour. Il gardait cependant son air indifférent comme à son habitude et resta silencieux pendant un certain temps. Si cette jeune fille était ici, cela signifiait-il qu'elle était aussi une élémentaliste ? A force de ne voir personne ici, Gareki avait commencé à croire que seul Kaname était la seul élémentaliste.

- Maintenant, tu es au courrant qu'il y en a deux, trancha-t-il sur un ton calme. Mais dit-moi, tu es un élémentaliste qui maîtrise quel élément ? Le feu ? L'eau ? La terre peut-être ? Voir le vent ?

Il pouvait proposer autant d'élément qu'il le voulait, de toute façon, elle était un peu obligé de lui répondre et Gareki ne voyait pas en Miki la capacité du feu et du vent. Il hésitait plus avec l'eau et la terre. Il s'assit sur son banc, comme à son habitude en attendant une réponse de la jeune fille. Si cette dernière était du feu comme Kaname, cela serait bien triste pour elle. Mais dans le cadre inverse, ça pourrait être plus interessant selon lui.

Gareki resta silencieux quand la jeune fille mit ses pieds sur le banc. Ou ce croyait-elle ? Dans une salle de détente ou elle pouvait se croire permit de tout ? Si c'était le cas, qu'elle aille ailleurs car ici, c'était une salle de classe ou on apprend des choses. Il ne dit cependant rien, ne voulant pas avoir l'impression d'être trop dure avec elle plutôt qu'avec Kaname, qui, ne le cachant pas, le rendait plus doux. Elle était de l'élément de la terre d'après ce qu'elle venait de dire et Gareki la regarda discrètement de haut en bas. La terre signifiait la vie, la nature... cette fille ne semblait pas convenir à cela au yeux du jeune homme. Mais il ne devait pas non plus juger trop vite non plus, se serait stupide ! Il prit le temps de réfléchir en regardant la demoiselle avec indifférence et convenu tout de même de prendre la peine de la tester avant de critiquer. Il n'arrivait pas à la diserner comparer à Kaname, ou peut-être était-ce Kaname qui lui ressemblait ?

- La terre donc... Murmura-t-il. Tu peux donc ressentir la vie qui nous entoure et la contrôler si tu le désires, la faire revivre et même la faire mourir, disa-t-il sans trop de conviction avec le porpos de " faire mourir ". Dit-moi, tu contrôles déjà en partie ton pouvoir ou pas du tout ? Que je sache tout de même si il m'est possible de t'aider...

Sur ces paroles, il tapota sur la table pour que la latte en bois s'enfonce dans le bureau, revenant là ou Gareki avait prit le bois qu'il s'était permit de prendre. Maîtriser la terre est un grand avantage car c'est un élément qui maîtrise les autres en plus d'en être entourer. Bois, terre, arbre, et même le métal était incruster de fragment de terre. Tout ce qui entourait Gareki et Miki pouvait devenir une arme pour eux deux même si la dernière chose que fairait Garekin c'était de se battre sans raison. Il avait tout de même un rôle à tenir. De plus, il attendait la réponse de Miki pour savoir si il devait quitter les lieux ou non. Il n'aimait pas se sentir inutile, mais il devait aussi se faire une raison parfois. N'étant pas du genre à s'imposer si elle savait déjà faire quelque truc, il partirait et la laisserait tranquille. Si elle a besoin d'aide, elle n'en avait qu'à faire par à Gareki car ce dernier ne peut savoir qui et qui a besoin de son aide, justement.

Gareki fut un peu surpris de voir une soudaine envie de poser des questions à Miki même si d'une certaine façon, il amait ça. En tant que professeur, il se devait de lui répondre, mais il était un peu étonné qu'elle ne sache pas encore bien contôler son pouvoir. Tout était une question d'habitude et de concentration. L'ennuit, c'est que Miki était du type terre, et non de feu comme Kaname qu'il avait prit la peine de lui faire faire des exercises avant de la laisser partir après son coup de téléphone. Il se redressa sur son bureau avant de tapoter dessus, faisant qu'une poignet était apparut qu'il empoigna se modela sur le bureau avec le bois. Il retira tout d'un trait, créant à la fois, un trou dans le bureau, et d'un autre côté, un magnifique katana en bois fraichement crée. Il caressa la lame en bois d'un air très attentif, ne prenant pas la peine de regarder la jeune fille.

- Tu sais, Miki, même moi je ne maîtrise pas encore bien mes capacitées, dit-il sans la regarder. En ce qui concerne les limites de ton pouvoirs, c'est à toi de les connaitres, je ne peux pas te les imposer. Pour ce qui est de s'améliorer, c'est comme le sport; Il faut continuer régulièrement l'entraînement, expliqua-t-il avant de pointer le sabre vers Miki. Ton pouvoir est limité par la vie de la terre; tu peux faire pousser des arbes ou bien contrôler la terre, tu n'as pas le pouvoir de maitriser le soleil qui cependant nous fait vivre et sache que les choses qui te sont interdites, que je t'interdis, c'est de simplement tuer. Mais bon, chaque chose en sont temps, tout comme tes questions d'ailleurs, ajouta-t-il sur un ton plutôt taquin.

C'est vrai, chaque chose en sont temps ! Miki, elle, avait l'air d'être trop pressée de contrôler son pouvoir et ce n'était pas une bonne chose au yeux de Gareki qui aimait faire les choses progressivement. En plus, il s'agissait tout de même de maîtriser la terre donc, ce n'est pas quelque chose qu'elle arriverait à maitriser les doigts dans le nez. Gareki serra le poignet du katana en bois pour que se dernier ne se transforme en branche d'arbre pour ensuite la déposer sur le coin de son bureau pour ensuite regarder Miki avec encore son air indifférent.

- Es-tu si pressée de maîtriser ton pouvoir ? Questionna-t-il. Il ne va pas te tuer tu sais.

<< Mon Dieu ce qu'elle est exespérante >>, pensa tout de suite Gareki quand il voyait l'impatience de Miki pour apprendre à maîtriser son pouvoir. Etait-ce si dificile de comprendre qu'en fonction des personnes, la maîtrise de l'élément était différent ? Il ne pensait pas non. De plus, cette fillette qui semblait complètement blasé par les mouvement qu'il produisait lui semblait être... comment dire... capricieuse ? Oui, c'était le mot. Son objectif était de lui parler pour voir comment il devait la juger et tout ce qu'elle donnait comme impression était qu'elel était une capricieuse qui veut tout, tout de suite comme si tout devait être logique. Cette personne qui était en face de lui avait une logique qu'il n'appréciait pas. Il fronça légèrement les sourcils, laissant apparaitre une expression de désagrément pendant une fraction de seconde avant de redevenir indifférent. Il posa sa main sur la branche pour que celle-ci regagne son bureau et se leva pour s'étirer. Il était exaspérer de cette élève qui ne semblait pas comprendre qu'il n'était pas le cerveau le plus intéligent du monde, qu'il n'avait pas toute les réponses à ses questions. Il se dirigea donc vers Miki d'un pas tranquille mais décidé avant de se stopper devant la jeune fille en croisant les bras.

- Mais dit-moi, Miki, tu as beaucoup de questions en tête d'après ce que je vois, mais as-tu seulement prit la peine de chercher toi même les réponses à ces question ? As-tu chercher, ne serait-ce qu'une fois à entraîner ton don ? A connaitre ta limite ? A savoir ce qui t'étais interdit ? Questionna-t-il alors toujours un ton calme. Et puis, t'es-tu seulement demandée pourquoi tu es devenue une élémentaliste ?

Il avait posé l'ultime question; la raison du pourquoi être devenue un élémentaliste, la question que tout le monde se serait au moins posé une fois dans sa vie et qui, malgré toute ses connaissance, ne pourra jamais connaitre la réponse. Pourquoi ? Parce que c'est exactement comme demander la raison de l'existence de l'homme, une autre question qui reste sans réponse. Il ne voulait pas être agressif, il ne l'était pas, ce n'était pas sa nature. Il voulait juste qu'elle comprenne qu'il y a des questions qui restera toujours sans réponse. Et puis, la limite ? Pourquoi posé cette question à Gareki alors que ce dernier ne la connaissait même pas, c'était stupide, totu simplement. Il la regardait bien dans les yeux avant de soupirer.

Miki ne semblait ne semblait pas vouloir répondre à Gareki qui restait silencieux avant de se passer la main sur son visage quand la jeune fille s'excusa. Il y avait d'énorme raison pour qu'elle s'excuse auprès de lui, mais il s'en moquait un peu car c'était tout à fait normal, selon lui, qu'un élève se comporte de cette façon. D'ailleurs, lui même avait un côté rebelle quand il était encore au lycée, donc, tout, il connaissait. Il se redressa un peu en rangea sa main dans sa poche, après quoi il s'assit sur la chaise du banc juste en face de celui de Miki, la regardant toujours avec autant d'indifférence. Elle détournait les yeux... Lui avait-il fait du mal ? Il se le demandait franchement car il n'avait peut-être pas aussi zgréable qu'avec Kaname. D'ailleurs, il se demandait pourquoi il devait toujours penser à Kaname dans ce genre de situation. Peut-être parce que c'était la seule personne qu'il avait l'impression d'être proche. Oui, ça devait être ça.

- C'est moi qui m'excuse, en tant que professeur je suis sencé répondre à tes questions, mais bon, fit-il. Cela ne fait même pas une semaine que je le suis donc je suis pas encore habitué à mon rôle, expliqua-t-il calmement. Et je suppose que ton pouvoir t'irrites un peu et crois-moi, je peux te comprendre là dessus car je suis passer par là, bien plus que tu ne peux l'imaginer.

Il se tue. Il ne voulait pas recommencer à parler de son passer comme il l'avait fait à Kaname, même si c'était sans faire exprès, pour qu'elle comprenne que son pouvoir n'était pas dangereux. En tout cas, pas comme l'eau ou vous risquez de crée un tsunami, ou le feu qui risque de propager plus vite à cause du stresse du possesseur. Cependant, Gareki était soulagé sur un point; Elle n'était pas suffisament en communion avec son pouvoir pour qu'inconsciement elle déclange un tremblement de terre ou une autre chose encore plus démentiel. Il regarda la jeune fille avant de lâcher un petit soupire étouffer.

- Miki, tu as déjà fait fleurire un arbre dernièrement ? Questionna-t-il comme ça.

Miki le regarda comme un animal rare ce qui le laissa perplexe, jusqu'à ce qu'il entende la réponse de la jeune fille en question. Celle-ci était positif et elle demanda même comment il était au courrant. Il ne le savait pas, loin de là même. Il avait posé cette question par pur hazard mais il était tout de même heureux de voir que c'était le cas. Vu qu'ils étaient en hiver, les arbres perdaient leur feuilles, signe qu'ils devenaient fragile en présence du froid. Le faite qu'elle aie pu les faire refleurire était signe qu'elle pouvait insufler de la vie dans les branches froide et morte des arbes même si c'est dernier ne sont pas réellement mort, plutôt en sommeil. Elle les réveillait, c'était déjà ça. Gareki regarda dehors avant de regarder à nouveau Miki qui resta encore perplexe par rapport à lui, et, il le comprenait assez bien en faites.

- Je ne le savais pas Miki, avoua-t-il. Est-ce que tu trouves que ton pouvoir est si éffrayant que ça, quand tu vois ces arbres refleurir ? Questionna-t-il toujours aussi calmement.

C'est vrai qu'elle avait beau dire qu'elle avait peur de son pouvoir, ce qu'elle pouvait faire, de toute c'est conneries. Gareki, quand à lui, s'était demander si elle avait au moins prit la peine d'analyser la situation et de voir si ce qu'elel faisait était mal ou horrible. Faire ce qu'elle a fait était beau contrairement à ce qu'elle pensait et ce qu'elle fait, c'est ce qu'ell est. Donc, elle était une bonne personne et ce n'était pas Gareki qui pensait l'inverse car le comportement de la jeune fille s'était adoucit depuis son arriver. Il tira de sa poche son porte feuille avant de regarder à l'interieur. Il sortit quelque billet qui vallait leur poid avant de les déposer doucement entre les mains de Miki qu'il avait prit.

- J'avais prèsque oublié, dit-il calmement. Prends cet argent, c'est en parti de ma faute si tu as jeté ton gsm là tout à l'heure. Et je t'interdit de refuser.

Miki lui avait expliquer la raison pour lesquelle elle trouvait ça effrayant et Gareki la comprenait. Être différent des autres, pensez être anormale et en avoir peur était tout à fait normale en faite. Mais elle ne devait pas vraiment avoir peur de ne pas être normale car elle n'était pas la seule dans son cas. Gareki était lui aussi un élémentaliste, Kaname aussi, et bien d'autres personnes étaient comme elle et lui. Même si il n'y avait pas beaucoup de personnes comme eux... Puis, ce fut de voir Miki sourire en lui remerciant de lui avoir donner de l'argent, en espérant qu'elle l'utilisera pour se racheter un autre téléphone, et non pour autres choses. Il resta silencieux un petit instant avant de commencer à parler en regardant Miki toujours avec son air indifférent.

- De rien, se contenta-t-il de dire.

Miki l'avait remercié avant de sortir de la salle de classe. Gareki lui avait fait un signe amicale de la main pour lui dire " au revoir ", même si grâce à la capacité du vent, il savait que la jeune fille était resté un petit moment derrière la porte avant de quitter réellement les lieux. Gareki ne fit rien, restant toujours assis au même endroit depuis que Miki était partit, ne sachant quoi faire à présent. Il avait rencontrer maintenant deux élèves de sa classe, deux filles d'âge différent l'une de l'autre. Miki possédait le don de la terre, celle de la vie, et Kaname celle du feu, de la destruction. Cependant, encore une fois, cela le laissait perplexe car bien que Miki avait commencé à changer progressivement, il ne la voyait pas avec le don de la terre, tout comme Kaname qui possédait le pouvoir du feu qui, pourtant, était très amicale avec lui, même plus, pensait-il en se souvenant qu'elle l'avait tout de même prit dans ses bras. Il chassa ce souvenir de sa mémoire en penssant que se serait la dernière fois que cela n'arriverait plus. Il soupira avant de regagner son bureau en silence, toujours cette même expression d'indifférence sur le visage, attendant que quelque chose se passe. Peut-être devrait-il prendre une douche et aller se changer ?

Le sommeil ne venait pas le chercher, tout comme la plupart de ses élèves d'ailleurs. La classe n'était imprègné que sa simple présence, et de personne d'autre. Peut-être qu'ils faisaient autre chose ? Cela semblait logique au yeux de Gareki qui ne disait rien, et ne faisait rien. Ses vêtement était maintenant sec, tout comme ses cheveux, grâce à la chaleur que produisait son corps. Il regarda une dernière fois la porte d'entrée de la classe avant de se lever de son siège pour essuier une dernière fois le tableau. Il regarda le tableau aspirer lentement l'eau qu'il avait étaler dessus, ne sachant pas quoi faire d'autre si ce n'était que ça. Son sac de matériel était toujours là, mais il ne l'avait plus utiliser depuis la dernière fois qu'il avait vu Kaname. Peut-être que ce qu'il avait acheter ne servirait qu'à cette dernière, et à personne d'autre en fin de compte. Il se retenu de soupirer avant de tourner les talons en silence pour sortir de la pièce. Une fois arrivé dans le couloir, il se laissa emporter dans un couloir au hazard en tant que surveillant maintenant.