Tandis que les filles s'acharnaient presque sur le pauvre Noa, une nouvelle personne entra dans la salle de classe. Kaname souriait, même si ça semblait légèrement forcé. Comme je la comprend. On arrive dans une salle de classe, pour "fêter" Noël avec des gens que l'on connaît à peine, et qui sont sensés être notre future famille. Et en plus de ça, ça hurle et ça crie de partout.
... Bon, ok, je peux pas parler, je criais aussi. "Ouais, voilà, alors tais-toi !" Mais tu te la ferme Alice ?! Tandis que Kaname me faisait un signe, et se rapprochait de moi, je l'entendis vaguement chuchoter quelque chose. Gné ? Le petit monstre ? Je soupirais.
- Si tu savais ma pauvre...
Oh oui, combien de choses il avait pu se passer depuis le départ de Kaname dans notre chambre. En y repensant, je me rappelais qu'elle m'avait lâché à ce moment-là !! Oh, mais non, je vais pas oublier ça aussi facilement, crois-moi ! Tandis qu'elle partait rapidement vers Gareki, comme ayant lu mes pensées, je fis un petit sourire. Ok, séquence retrouvailles avec le surveillant, je me vengerais plus tard. Après la fête. Ou peut-être avant tiens !
Jouant toujours avec mon filet d'eau, je trouvais mon endurance bien meilleure qu'à mes débuts, deux mois plus tôt, même si je ne pouvais pas encore faire grand chose de mon serpentin... Le faisant passer entre mes doigts, je le sentais légèrement me mouiller, mais j'avais pris l'habitude. Me levant en direction de Miki et Aerith, qui avaient enfin décider de s'asseoir, je leur fis un sourire. Mon verre à la main, je m'assis près d'elles.
- Allez-y mollo avec l'alcool maintenant, surtout toi Aerith.
J'allais commencer à stopper moi aussi, même si je supposais avoir une meilleure endurance que les deux jeunes filles. Je rigolais toute seule à présent. Mais qu'est-ce que j'ai bien pu penser de si drôle ? Je ne me souvenais même pas. C'est pas l'alcool ?... Si ?

Gareki esquissa un petit sourire devant les réactions de la jeune Kaname. Il doutait que tout se passait encore bien parce que sa présence était requise car la plupart des personnes présente ne tenait pas l'alcool et du coup, elles tombaient vite dans les vapes une fois la limite atteinte. Quand il s'agissait de dormir, par contre, il ne risquerait nullement d'oublier de remercier Kaname à ce moment là, il s'entendait trop bien avec elle pour oublier une telle chose. D'une certaine façon, cette " fête " ressemblait bien à Dante. Vouloir faire connaissance de sa " famille " qui est en faite séparé par race était une bonne idée de sa part, bien que se soit plutôt chez lui que la fête devait le mieux se passer car il était le genre de personne à faire beaucoup de chose pour ce genre de fête, en plus d'avoir un caractère rigoureusement joyeux sur les bord, différement à Gareki qui était plutôt quelqu'un de calme.

- Si c'est toi qui me le demande, alors, j'irais dormir, dit-il sur un ton moqueur.

Sur ces paroles, il glissa un doux baiser sur la joue de la jeune fille en silence, comme à son habitude. Le silence par ci, le silence par là... Gareki était vraiment quelqu'un de silencieux dans ses gestes et même généralement aussi, bien qu'il fut une période de sa vie ou ce n'tait pas toujours le cas. Se redressant un peu, Kaname dans les bras, il se contentait de la regarder dans les yeux. Il amait regarder le visage d'une personne, en particulier des filles car ceux-ci s'avéraient magnifique par moment, comme celui de Kaname, loin de là l'idée de trouver les autres jeune filles ici présent moche.

- Mais dit-moi, as-tu utilisé ton pouvoir dernièrement ? Questionna-t-il curieusement. N'oublie pas que je suis aussi ton professeur... en plus d'être ton surveillant.

J'étais plongé dans mon livre, je le trouvais vraiment intéressant. Malgré que je ne trouvais pas tout ce don j'avait besoin. Mais c'était déjà ça, et c'était même suffisant pour le moment ! Je continuais ma lecture, mais au bout d'un moment, je sursauta en relevant la tête pour voir qui avait parlé. En même temps, vu la seul personne présente dans la pièce à par moi, ça ne pouvait être que lui. Décidément, ils ont un don pour me faire sursauter ceux là ! Je le regardais en refermant le livres assez doucement.

<< Désolée de vous avoir réveiller... >>

J'avait chuchoté cette phrase en ne le quittant pas des yeux. Je détourna ensuite le regard pour regardez mon livre. L'ais je réveiller, car pourtant, j'était persuadé de ne pas avoir fait trop de bruit. J'avait même tout fait pour ne pas le déranger. Je dois être maladroite quand même, et avoir fait du bruit sans m'en rendre compte.

<< C'est vrai, que les salles de classes son souvent vide... >>

Bas en même temps. On est jeunes. Et en général, les jeunes n'aimes pas les cours tant que ça. Voir même pas du tout, et on les évite au plus que l'on peut. Même moi je n'aime pas les salles de cours. Surtout celles de maths. Je n'ai jamais aimé les maths et je n'ai jamais était forte en sa. Et pour moi, les salle de maths puaient toujours. C'était affreux ! Mais bon, ici, on nous force pas a

en faire, alors, tant qu'il n'y a pas de maths. Tout me va.

J'avais parcouru les mètres séparant ma chambre de la classe des élémentalistes d'un pas tâtonnant. Je n'allais vraiment pas vite. Comme si je redoutais de voir un monstre en train de faire ceci ou cela. Un monstre avec une dentition semblable à celle d'un requin, au passage.
La porte. Mon coeur rata un battement. Je me plaquais au mur, essayant de m'en éloigner le plus possible. Mais imaginons que le prof soit une sorte de radar à élémentaliste ! J'avais la peur au ventre. Je me rapprochais de la porte.
Mes pieds ne semblaient pas être aptes à continuer le voyage. Le coeur n'y était pas non plus. Le bout de mes ongles frôla la poignée. Comme si elle m'avait brûlé rien que de cette façon, je retirai vivement ma main. Et une chose qui se voulait être le courage reprit ses droits. Ma main saisit la poignée de la porte. Celle-ci s'ouvrit avec tant de lenteur que je crus que j'allais y passer ma vie.

Je m'engouffrai dans la pièce. Il ne faisait pas très froid. Il y avait une fille qui lisait. Un homme qui lui parlait. Il avait l'air un peu endormi... et SBAM. Des souvenirs vinrent faire mu-muse avec mon esprit. Cet homme, je le connaissais ! Quand je ne savais pas aligner une phrase en japonais et tout ça !

" Excusez-moi... Monsieur... êtes-vous bien Kristoph... Le professeur des élémentalistes ? "

Tiens, une fille avec des cheveux verts. Pas très courant. Comparée à moi et mes cheveux blonds... Elle était tellement plus originale.
Quoique... Un garçon aux cheveux aussi longs que les miens, n'est-ce pas quelque chose d'anormal ? ...

Je m'approchais tout sourire de la jeune fille aux cheveux verts. Je la trouvais jolie. Elle n'était pas comme les autres. J'adorais la différence.

" BONJOUR ! Moi c'est Brainwave ! Enchanté ! J'espère qu'on va vite devenir amis ! "

Je lui adressais l'un de mes éblouissants sourires qui faisaient craquer tellement de gens. Je m'étais emparé de sa main en lui parlant d'une future amitié, peut-être.
Ah, mince ! La courbette ! Je la fis en vitesse, tous mes cheveux blonds partant en avant avec moi. Mes joues rosirent légèrement, je remis mes cheveux en place en me redressant.

" Tu t'appelles comment ? Tu as quel âge ? Est-ce que tu aimes les pommes ? "

Et je partais dans une série de questions, ne lui laissant même pas le temps de répondre. Ca faisait longtemps que je n'avais pas parlé à une fille. Je n'allais pas oublier une miette de la conversation avant bien longtemps !

Je pris entre mes doigts une mèche de ses cheveux et m'extasiais littéralement sur ses cheveux. Sur leur couleur, la gaieté que ça donnait à son visage, sa façon d'avoir son style... Bref, je parlais. Je vidais mon sac. En oubliant complètement le professeur !

Je souriais tellement que j'en avais mal à la mâchoire. Ca faisait du bien de parler à quelqu'un d'autre. D'être heureux.

J'éclatais de rire en voyant sa tête.

" Ca se voit que c'est naturel, sinon tes racines n'auraient pas cette couleur. A moins que tu sois allée chez un merveilleux coiffeur et je t'aurai soudoyé pour avoir son adresse. "

J'avais pris un air très sérieux puis avait rit. Un rire frais. Bref. Je me disais qu'elle devait avoir un fameux pouvoir spectaculaire. Je me penchais vers elle en regardant Kristoph.

" Dis.... C'est bien lui notre professeur, n'est-ce pas ? ..., je me mis à parler encore plus bas. Pour ne pas qu'il nous entende, pas du tout. Il a des airs assassins ! "

Et je lui offris un autre sourire et me balançais en avant et en arrière. Je me sentais bien. Je voulais devenir l'ami d'une fille. La vie était belle.
Je me recoiffais avec mes doigts vite-fait parce que j'étais quand même super-décoiffé.
Je regardais le prof qui faisait peur et me rappelais les évènements passés. C'était il y a longtemps... Il avait dû oublier...

" Ah... en fait, comme j'ai un peu voulu frimer... (je levais mes yeux timides vers le prof) et comme je ne sais pas trop quoi que que sont... Bref, je suis un élémentaliste - ou du moins c'est ce qu'on m'a soufflé - et on m'a dit de venir vous voir parce que j'ai faillit détruire les portes du self en voulant les ouvrir sans les toucher... "

Bon... Je savais déjà que j'étais écarlate. Je matais mes pieds, de plus, comme si tout cela ne suffisait pas. Je laissais mes cheveux dorés cacher mon visage. J'eus presque envie de me cacher dans la chevelure de ma nouvelle amie ! Si on pouvait se considérer comme amis.

" Mais... euh... Ce n'est pas arrivé ! ... "

Je craquai. Je me cachai derrière la dénommée Miki. Je lui murmurai d'une voix douce à l'oreille, mais plus imperceptible tu meurs (Si j'avais pas la bouche "collée" à son oreille, elle n'aurait jamais pu m'entendre !), que je ne savais pas ce qui allait m'arriver. Que j'avais peur. Peur du blond, là, qui ne m'était pas totalement inconnu.
Je laissais tomber le bout de mon nez dans ses cheveux et humais leur odeur suave. J'esquissais un petit sourire. Elle devait se dire que j'étais qu'un pervers qui lui tripotait le crâne, si ça se trouvait. Cachette pas discrète. En fait, un peu stupide. Mais j'imagine pas à quel point j'aurai été con si j'avais sauté sous la table.
Je ressentis une secousse. Juste sur moi. Comme si... mon élément voulait me pousser sous la table ! Je m'accrochais fermement aux vêtements de Miki - new poooote - essayais de pas tomber sous la table.

Elle devait maintenant me prendre pour un dingue arracheur de vêtements. Et d'ailleurs, pour ne pas qu'ils lâchent, je dus bien arrêter de la serrer comme si elle était superman. Je tombais à terre sur les fesses - AÏE ! - et de plus sous la table contre laquelle je m'étais cogné la tête. MA-GNI-FIQUE.

" Désolé, Miki, je ... "

Un vent inconnu soufflais sur mon visage et j'avais presque l'impression qu'il me tirait les cheveux. Je me recroquevillai sous la table. Je ne pleurais pas. J'avais juste peur. Poussé. J'avais aussi l'impression d'être poussé en arrière par une force inconnue. Froide. Non, glaciale.
Mes joues rosirent à cause du froid. Je n'étais pas habillé pour ça. J'en frissonnais.

" Je dis ça juste comme ça mais j'ai un peu froid et besoin d'aide. Je me fais maltraiter par une forme invisible qui fait que ça... "

" Baaaah... "

Grade question. Répondre à qui en premier ?

" Je sais pas. Il me fait penser à moi psychopathe qui veut assassiner tout le monde... sauf qu'il s'en prend qu'à moi. Et quand je lui parle, je pense qu'il pense plus à essayer à me tuer qu'à autre chose. C'était limite si c'était pas moi qui finissait dans ma mini-tempête pour les portes... Je lui ai jamais dit de trucs méchants, et à peine de trucs tout court, en fait. Mais il a un réel problème. Je suis sa seule cible. Je pense qu'il voudrait prendre le contrôle de moi, me posséder ! Comme mes... euh... "Pulsions". Par contre, je ne sais pas lutter contre de l'air et... Je peux même pas me défendre. Pourquoi j'ai un élément pas gentil ? (je levais les yeux vers Miki) Donc toi aussi ton élément te déteste comme par magie ?... ME FRAPPE PAS ! "

J'avais mis une bras qui faisait "mur" entre nous. Bon. Je n'aurai pas du me montrer si... "aguicheur" ? ÉTRANGEMENT, à chaque fois que mon élément me collait comme n'importe quel pervers, mon corps se relâchait, je ne faisais attention à rien. Un peu drogué, en fait. Et quand il essayait de me tuer, j'avais l'impression que j'avais face à moi mes crises. Que c'était même pas la peine de lutter. devais-je en parler ? Non, ça n'avait aucun sens, j'imaginais.
Je m'assis en face du prof. Souvent poussé par de gros coups de vent qui me faisaient presque tomber en avant ou des bourrasques venant de l'autre côté. Pourquoi il était aussi excité ?!

" Vous pensez que c'est parce qu'il va rencontrer d'autres éléments qu'il a envie de me tuer ou tout simplement qu'il aime martyriser les gens ? Enfin, je dis ça... Je peux rien dire. J'aimerai pas trop me faire défigurer sur le moment ou... Tomber d'une falaise comme par magie. Enfin... Après, c'est pas moi qui déci-... "

Une grande bourrasque dans la salle, cette fois, je ne fus pas le seul à se faire attaquer. Quelques tables tombèrent, moi j'avais tellement eu peur que je m'étais mis à larmoyer et crier des "ARRÊTE !" désespérés.

" Il a un problème avec moi... Ou peut-être... Qu'il veut l'autre ? "

Oulah... Je voyais un petit peu flou... J'avouais avoir oublié mes pilules calmantes, vu que je n'avais pas passée la nuit dans ma chambre. N'empêche... J'essayais de prendre mon paquet de comprimé que je gardais sur moi en permanence - on ne savait jamais - qui tomba au sol. Je cachais ma tête dans mes bras, le vent s'adoucit, devint légèrement chaud... Je levais la tête. Différent. J'écrasais du pied mes petits médocs insignifiants. Prenais connaissance de cet endroit.

" Ah, mais je suis déjà venu ici... "

Je remuais en souriant de ma façon si spéciale. Si effrayante, aux yeux de certaines personnes.

" Il n'a pas tenu longtemps, le petit niais... Il n'est pas marrant comme jouet, je risque de me faire mal en l'agressant trop... "

Je regardais le professeur dans les yeux. Cette leur qui disait "j'aimerai bien tuer la petite plante à côté." dansait dans mon regard. Je cherchais dans mes poches mes armes habituelles... Que je ne trouvai pas. Je dus avoir l'air plutôt dépité. J'étais comme nu. Sans rien pour me protéger à part ce petit élément qui palpitait autour de moi. Attendant mes ordres comme s'ils eussent été magiques.

" Si cette plante est une camarade, les autres sont des légumes ou des animaux ? "

Je parlais avec l'air le plus sérieux du monde. Ces plantes me gênaient. Allez. Un coup en lâche. Je me barre, je laisse l'autre petit et je me la coule douce. Si ça se trouve, il va croire que c'est moi et croire que je me fous de sa gueule !
Je me concentrai fermement. Le vent doux caressait mes cheveux, mes doigts, mes épaules... Il s'agita. S'éleva. Je lui demandais de se calmer. Que je faisais ça pour embêter l'autre. Il arrêta. Je sentais qu'il souriait, même si je ne pouvais le voir.

Je papillonnais des yeux. Déjà ?... Pourquoi j'avais mal ? Pourquoi cette position était si désagréable ?! J'ouvris les yeux. Encore noir autour de moi. J'espérais ne pas être allongé par terre.
Comme des tentacules autour de moi. Je gémis doucement et finis par discerner les couleurs. J'essayais de bouger. Quoi ?! Je me débattais comme un fou. J'avais mal en plus. Ma peau sensible commençait à s'irriter. OUTRAGE.

" S'il vous plaît ! Dites à vos plantes de me lâcher ! "

Il allait sûrement croire que je n'étais pas encore moi-même. Je paniquais. Encerclé. Impossible de se mouvoir... Que faire ?! J'appelais en vain mon élément, murmurais de douceâtres paroles. Sans recevoir de réponse. Pas même un souffle.
Mes yeux s'humectèrent sans mon autorisation. Je larmoyais encore...

" Désolé mais je ne connais pas son numéro de portable. "

Franchement. J'essuyais du dos de la main les larmes qui me picotaient les yeux. QUEL TRAITRE !
Je remarquais le regard irrité de Miki... Mince.

" Miki.. Je suis désolé d'avoir failli arracher tes vêtements mais... J'allais tomber par terre. Et je sais pas ce qu'il t'a dit ensuite... Il est plutôt ... Méchant ? "

Bon, je vais me taire...
Ces plantes étaient juste... Oppressantes. Dès que je levais les yeux, elles étaient là... et je me recroquevillais su moi-même. Je posais mon front contre mes genoux. Plus qu'à attendre qu'il revienne, qu'on me trucide, qu'il reparte en traitre, que mon élément se déchaîne contre... MES CACHETS ! Si j'en prenais un, il ne pourrait pas ! Ou presque. Il serait calmé, et les battements fous de mon coeur par la même occasion. J'étais persuadé que le professeur les entendait. De plus en plus distinctement et... Putain. Je lançais un regard par-dessus mon épaule, histoire de voir ce qu'ils étaient devenus... Écrabouillés au sol.
Mon paquet d'urgence - car je ne suis jamais trop prudent ! Je passais une main dans mon soutien-gorge - les autres n'avaient qu'à pas se mêler de mes habitudes vestimentaires. Je sortais les médocs et en avalais un. Beurk. Ca passe mal, sans eau.
Je sentais mes forces qui me quittaient un peu - un effet secondaire de la longue liste... Dormir ce serait bien, oui... L'idée était si séduisante... Je me ressaisis en clignant au moins cinquante fois des yeux en cinq secondes. Je ne devais pas. Enfin, seulement parce qu'il y avait des gens autour... Mais j'étais déjà épuisé à la base, plus mon élément et mon médoc... trop pour moi ! ... Arrête de t'inventer des excuses, mon chou.
Voilà que je me parlais à moi-même. J'avouais ne pas avoir lu la notice en entier, mais "délirer" mentalement m'avait échappé.