S'il y a quelque chose qu'on peut faire facilement lorsqu'on est surveillant, c'est 'forcer' les gens à être mal à l'aise. Sur le coup, j'ai réussi, je dirais même plus ... Il est tombé dans le piège, je l'ai persuadé que dans le cas où il serait schizophrène ou qu'il se paierait ma tête, il serait perdant dans les deux cas. Pour le coup, il a donc dit la vérité pou éviter le pire. J'eus un petit rire déplacé lorsqu'il me révéla cette partie de lui qui avait mis à sac la salle. Devrais-je le croire ? Oui, en quelques sortes, de ce que j'ai vu, il y a un autre lui pas très net. Je décroisa mes bras et poussa un long soupire.

« Il suffisait de te pousser un peu pour que tu le dises. »

Je me tourna vers la salle, qui était en piteux état. Je claqua des doigts et fit léviter toutes les chaises et les tables pour les remettre debout et faire comme s'il ne s'était rien passer. Bon, ça avait déjà une plus belle allure comme ça. Cependant, il serait dangereux de laisser ce garçon dans des salles qu'il pourrait tout simplement détruire si personne ne l'arrête. Sans compter qu'il a raillé le tableau, et gribouiller des insanités sur les tables. Vraiment charmant, heureusement que ce n'est pas un élémentaliste, je n'aurais pas la responsabilité de ses actes. Je me retourna vers le premier concerné tandis que Noa continuait de jouer calmement avec son élément juste à côté.

« Tu as eu de la chance que je ne t'ai pas fait flambé, estime toi déjà heureux. » lançais-je en fronçant les sourcils.

Je m’avança vers une des tables et observa les ratures faites au compas dessus. Je les toucha et en conclut que je ne pourrais pas régler ce détail, il faudra appeler des sorciers pour ça. Je demanderais bien à la demoiselle en bleu mais elle doit être en train de conditionner ses poulains à leurs pouvoirs alors tant pis.Je jeta un regard bref au tableau raillé de toute part, remettant mes mains dans mes poches, je reposa mon regard sur le garçon.

« Ne recommence pas, et je ne te le dirais qu'une fois. Maintenant dis moi qui t'es. » dis-je en traduisant ma dernière phrase dans une langue qu'il comprendrait peut-être.

Je le regardai, assez choqué le voir faire léviter les tables et les chaises. Je me demandai comment il pouvait faire un truc aussi... "Wahou".
Il me demanda qui j'étais... Wow. Il l'avait déjà demandé. Mais je n'oserai pas le dire... Au cas où. Je tenais encore à ce qui me restait de vie.

"Je suis Brainwave Terumi."

J’omettais que j'étais nouveau. Il devait l'avoir compris.

"Et-Et... je ne peux pas contrôler ma schizophrénie. Mes pilules calmantes sont de moins en moins efficaces."

Je ne pouvais dire d'autre chose quand il m'avait dit de ne plus recommencer. C'était pas moi qui décidait. Si je le pouvais, je n'aurai pas saccagé une salle. A moins que je ne commence à ressentir une quelconque syphilis.
Je me relevai donc, en espérant vivement ne pas avoir à recroiser ce.. Surveillant effrayant.
Je pensais à plein d'autres choses également : comment cette drogue était arrivée sur moi et pourquoi mon miroir était par terre. Avec tout ce que je venais de vivre, je me sentais un peu plus blasé. J'allais plus voir la vie de la même façon maintenant que des choses aussi.. Ahem se passaient.

Je n’écoutais plus vraiment se que es deux autres disait essayant de faire de petite action avec se pouvoir qui avais pris une forme relativement attendrissante ! Il me donnait l'impression d’être un enfant dont il fallait s'occuper et au quel on finis par s'attacher . . . Je me demande si c'est pareil pour tout le monde ?
Je finis tout de même par tendre une oreille lorsque le nouveau se présenta ! Terumi hein ? Comme si on avais pas remarquer que tes pilules ne faisait plus effet ? Vu comment tu as essayer de nous . . . Tué ? je pense qu'on l'avais plus ou moins compris.
Je pousse un soupir en m’avançant vers mon surveillant suivis de mon filet d'eau pour me mettre au même niveau que lui

- Eh ben sa promet ! Non seulement il risque d'y avoir des dérapage avec nos pouvoir mais en plus faut qu'on gère nos problèmes mentaux . . .

Ça va encore être bien mouvementé tout sa ! Sympathique ! En tout cas il a gérer tout a l'heure le surveillant ! Puis il a l'air intime avec ses éléments . . .
Sans vraiment m'en apercevoir je m’étais mis a fixer Kristoph avec une sorte de . . . D'envie ? dans les yeux.

Une fois qu'il se fut présenté sous le nom de Brainwave Terumi, et qu'il me précisa qu'il ne contrôlait pas schizophrénie, je poussa un soupire discret. Ne pas contrôler sa schizophrénie ? Certes, nous avons pu le remarquer. Et pas qu'un peu. J'espère dans mon fort intérieur qu'il ne deviendra pas élémentaliste, ce genre de saute d'humeur improvisées mettraient en danger tout le monde, les élèves, les bâtiments, même les surveillants je dirais. Lorsqu'on ne contrôle pas son élément, il suffit d'une émotion trop intense pour déclencher des catastrophes irréversibles. Je ne m'y connais pas en schizophrénie, et ce n'est pas mon problème en fait, pour tout dire. Néanmoins, ça sera ma faute s'il passe quelque chose ... Alors que Noa s'était remis juste à côté de moi, je lui répondis très brièvement en voyant qu'il me regardait presque avec de l'envie dans les yeux.

« Problèmes mentaux pour lui oui ... Et encore, il n'est qu'humain, s'il venait à être élémentaliste ... Je crains le pire. » dis-je en me frottant les yeux.

Je faisais revenir mon filet et lui montrait les traces de brûlure qu'avait laissé le feu au sol, il s'en approcha et les mouilla légèrement jusqu'à les rendre quasi invisible. On va dire que ce qui c'est passé ici n'aura jamais eu lieu. Jamais. Je lança un bref regard vers Brainwave, et décida de le questionner. J'aurais préféré pouvoir entraîner mes jeunes poulains pour développer leur capacité mais vaut mieux que je m'assure du pourquoi et du comment ses pilules ne font plus effet, ce qui est ... emmerdant.

« Brainwave, sais-tu pourquoi tes pilules ne font plus effet ? » demandais-je avec une once de méfiance.

Après avoir suivi avec un léger retard à partir de la chambre,j'arriva enfin où ils sont,et en entrée,je ne pus que dire tout en entendant des voie familiere:

-Est ce que sa va?

Mais lorsque je vis le bazard,je me dis que je suis dans le pétrin...Aie...
Mais j'ai vu que le surveillant avais le controle...Ce qui me m'étonna avec un léger sourire narcistique...
Bref j'apperçois vite fait une personne qui mais inconnue...

-Mais qu'est ce qui c'est passer,et t'es qui toi!!!

Puis je m'interronpis et me remis a parler en reprennant mon sang froid:

-Euh...Excusez moi mais tu t'appelle?

"Ma schizophrénie est à un stade beaucoup trop avancé maintenant et est irréversible."

On devait maintenant me prendre pour un malade mental : SUPER.
J'observais le nouvel arrivant tout à coup.

"Brainwave Terumi."

Je ne fis l'habituel "et toi". Pas le temps. Pas l'envie. Pas la force mentale non plus. Enfin, qu'est-ce que j'en avais à foutre de lui ? Bon, bon. Ce n'était pas très.. Sympathique.

"Et toi ?"

Oh... Je l'avais fait. C'était à m'en déprimer. Conspiration crée par moi contre moi-même. Je me coupais du monde quelque seconde, les yeux et le visage tout comme le corps sans aucune expression. Je sortis quand même de mon néant, mon si beau néant où il n'y avait rien. J'étais fatigué.. Mon lit devait m'attendre. J'étais aussi impatient de le revoir.

J'us à peine le temps d'analyser et d'avoir quelques idée sur "ce qui c'étais passer ici"que je dus dire mon identité même si je n'avais pas envie,tous ce qui m'intérésent c'étais de savoir ce qui c'est dérouler dans cette salle...Mais bon,si je m'étais la fermer aussi...Mais non,il faut toujours que je pose des question à tous le monde...ça devient laçant à force...Bref,je vais lui répondre et après je me la ferme...Mais je repose quand même la question...:

-Hein,moi?Euh je suis Blade...Blade Rikasha...Mais sinon,vous pouvez me dire ce qui c'est passer dans cette salle pour qu'il y est tant de...Hum...Destruction,de...hein (Voyant du sang un peu dans la zone où il y a des trace de bruleure au sol et des égrantinures à la personne à qui j'avais donné mon nom,c'est à dire Brainwave Terumi )...de sang...
"[très bas]ok"...Bref,quelqu'un pourait me répondre?

Oh ? Un stade avancé ? Sympa. Je sens que je vais bien m'amuser moi ... Bref. Après tout, nous sommes dans la salle de classe des élémentalistes, qu'il bousille une autre classe, ce n'est pas de mon domaine de gestion. Mais comme par hasard, il a fallu que ce soit cette classe en particulier qui y passe. J'étais prêt à lui ordonner de réparer ce que je n'avais pas encore remis en place dans la salle quand un nouveau venu entra dans la salle. Enfin, nouveau venu, c'est vite dit, il s'agissait de Blade qui avait du nous suivre de la chambre, un peu en retard je présume. Dommage, s'il avait été là un peu plus tôt, il aurait pu mettre en valeur ses nouvelles capacités en tant qu'élémentaliste. Une fois que notre schizophrène se fut présenté à notre élémentaliste de feu et il nous demanda à plusieurs reprises ce qui s'était produit dans cette fameuse salle de classe. Je croisa les bras, et poussa un soupire en fixant Brainwave d'un regard plutôt méfiant.

« Notre cher petit nouveau a fait en quelques sortes pas mal de ... dégâts dans cette salle. »

Je posa mes mains sur mes hanches et observa de nouveau la salle autour de moi. Non mais sérieusement, comment il a pu mettre une salle dans un état si ... bordélique. Il paraît faible et incapable de faire une chose pareille, pourtant ce que j'ai vu tout à l'heure aurait très bien pu le faire ... Le Brainwave numéro deux quoi.

« Tu aurais pu demander à ton double de saccager la salle des humains plutôt que celle des élémentalistes. » dis-je en poussant un grognement.

Entendant ce que disait notre surveillant je me tourna vers Brainwave,et je réexamina la salle d'un coup d'oeil trés rapide,et die en souriant un peu:

-Ah ouai quand même,c'est pas partout qu'on voit ça...Mais...Pourquoi t'a détruis notre salle est pas celle des autres?ça aurais été plus marrant!

Je termina ma dernière phrase en rigolant un peu,mais ce fus de courte duréé...He oui,lorsque je vu Monsieur Kris,notre surveillant un peu...comment on peut dire...un peu énerver,et encore,le mot est trop faible...Bref,le voyant je dis pour me rattrapé:

-Euh,ouai,le surveillant il a un peu raison sur ce point...

Puis réfléchisant quelques secondes,je termine ma phrase de la sorte:

-...Mais...vu que la salle est méchament "Bousiller",on ne va plus avoir cours?

En termina ma phrase,je me dis que je vais peut être regréter ce que je viens de dire tout compte fais...C'est ce que mes feux Folley de couleur Violet essayer de me faisait comprendre en tout cas...

Je baissais les yeux quand le surveillant dont je ne connaissais toujours pas le nom parla de moi au nouvel arrivant. Je commençais déjà à ranger ce qui ne l'était pas, écoutant d'une oreille plus que distraite ce que disait le nouveau venu. Le "on ne va plus avoir cours" me fit souffrir l'ombre d'un instant et je me remis à ranger.
Je posais mon regard vers ce qui ressemblait à du feu... OK lui je l'approche pas.
Je pris mes cheveux d'une main et les rassemblais en une queue de cheval haute avant de reposer mes yeux sur l'autre avec son eau. Mais où avais-je pu atterrir ? Je poussais un soupir las.
Au moins c'était pas un truc de désintoxication ou autre chose du genre. Fait chier. Je roulais des yeux, regardant autour de moi, l'air vague avant de m'appuyer contre un mur.
Je marmonnais quelque chose dans ma "barbe" (stupide expression à mes yeux) à ma propre intention. Voilà que je me grondais moi-même, jurais contre ma bêtise et ma façon de me laisser soumis à cette schizophrénie... Puis une question tomba en plein dans ma tête.

"Eh, euh... je baissais les yeux, gêné, avant de continuer. C'est quoi ces... Machins qui flottent à côté de vous ?"

Je me sentis bête et pas à ma place tout à coup. Peut-être était-ce normal de voir quelqu'un avec ce genre de choses bizarres à côté de soit... Bref, première impression que je donne : quelqu'un qui sait rien. Inculte ? Tsseuh. Tant pis. Que je m'instruise. Peut-être que... Non. Et puis... Une question vient en écho dans mon esprit.

"Et euh... Pourquoi suis-je brûlé ?"

Bien sûr, je m'exprimais en anglais. Mon niveau en japonais se limitant à "bonjour, au revoir, merci, s'il vous plait" quasiment... Bien sûr, je savais me présenter, du par-cœur. Nieuh. Rien d'impressionnant.

C'est amusant comme on s'adapte vite au évènement ! Il y a a peine 30 minutes je gueulais comme un putois contre mon "pouvoir" et maintenant je joue avec ? Ou est la logique la dedans ?
Tout en réfléchissant une nouvelle fois au pourquoi de se "phénomène" je me mis a redresser des tables, effleurant du bout des doigts les marques graver dans le bois. Le blond schyzophrenopsychopathe posa une question qui suscita mon attention ! Je pose mes yeux sur lui puis lui dit avec un sourire en coin

-C'est bien la question que je me pose ! Un phénomène surnaturel du a notre supériorité a se qu'on m'a dit ?

Je le vis regarder sa peau, qui avais tout de même brûler avec ses connerie, avec un semblant d’interrogation dans le regard !

-Tu t'est fait sa tout seul mec ! T'a voulu joué les casse cou en passant dans les flammes de notre surveillant adoré.

Il fallais bien lui dire les choses tel qu'elles étaient ! J'ai toujours eu une sorte d'admiration pour les schizophrènes, voir comme ils peuvent passer d'un caractère a l'autre ! Tout simplement . . . Impressionnant ! Même si ici il vaut mieux s'en méfié.
Je mis ma mains dans mes cheveux pour remettre quelques mèches en place puis la remis dans ma poche pour regarder toute les tables encore étalé au sol. Un long soupire m'échappa en signe de dépitation* devant tout le boulot que nous aurions a faire ! On va tout de meme pas e laisser ranger tout seul ! Même s'il est déranger se serai vache.
Je me remis donc a remettre les tables en place sans ajouter plus de mot mis a part un

- Au fait moi c'est Noa





*Se mot est inventé par Noa U_U

Un déroulement de paroles des plus magnifiques,j'avais enfin compris ce qui c'étais passer...Mais le surveillant...Il est méchament balèze si je puis dire...Hum...Mais voyant que la salle dérangeais par rapport à tout à l'heure,je me décida donc:

-Attendais moi,je vais vous aidé...Bon les feux folley multipliez vous seulement par deux,la moitié efface les marque de cendres et de brulure au sol et au plafont,puis aller soigner notre ami ici présent...Quand à l'autre moitié aidé moi pour ce qui est de l'armoire s'il vous plait...

Puis je me mis à aidé avec mes 8 feux Folley les autres,c'est à dire Noa et Brain'...

J'écoutais attentivement ce que venais de dire le surveillant sur ces "machins" après qu'un feu se soit jeté sur moi ce qui m'avait fait hurler. Littéralement.
J'eus un toussotement gêné en faisant un petit "hum, hum"... Bref, je trouvais vraiment que mes magnifiques moment étaient tous ratés. Virilité = 0. Muscle = 0. Cris de fillette = 76. J'avais compté. Enfin... J'avais commencé à compter il y avait déjà un mois de cela. Dans ces moments là, je me serrai littéralement ENTERRE sur place si j'avais une pioche à côté de moi. Mes joues rosirent contre mon gré. Je ne me disais qu'une chose qui repassait en boucle dans mon esprit : disparaitre. C'aurait été tellement plus simple que d'affronter les regards moqueurs qui se posaient sur moi dans mes moments de "AAAAAAAAAH". Et encore, si j'avais vu une araignée, j'aurai hurlé en criant qu'on l'enlève... Bref, on m'aurait pris pour un cinglé arachnophobe (quoi que, je suis arachnophobe!). En même temps, hein, y a que les malades qui aiment ça. Peut-être que mon autre moi aime ça... Je passais du pourpre au livide. J'imaginais des centaines et centaines d'araignées se faufiler dans mon lit... Me caresser les jambes de leurs pattes velues... ME MORDRE ET ME TRANSFORMER EN SPIDER-MAN ! Bref : l'horreur suprême. Eûrk. Rien que d'y penser... Enfin. Je pourrai aussi en mourir... Arghh. Quelle horreur...

Bref, je m'éloignais ... BEAUCOUP quand d'autre élémentaires s'étaient retrouvés trop proches de moi. Euh... Nan. Cheveux longs + Feu = Mauvaise affaire. Moi pas vouloir couper mes cheveux. Donc je m'éloignais plus que possible. Refusant que ces flammes m'approchent. Je me mis même à courir vers les opposés de la salle, au cas ou. Je devais ressembler à un vrai dératé. Moi = Catastrophique. Hunn... J'éternuais, mes éternuements faisaient toujours "Hanhuuuuu". Je me mouchais exaspéré. Bon, comme première journée, récapitulatif : j'avais déjà réussi à faire une crise, saccager une salle, me fâcher contre un élémentaire, connaitre trois personnes dont un surveillant, me faire littéralement cramer, risqué mes cheveux... J'ai appris deux trois choses aussi... Bref, c'était... ÉPUISANT. Je m'asseyais donc sur une chaise. Regardant l'oeil vide et dénué de toute expression ou émotion le plafond. Histoire de replonger dans mon si beau néant, si reposant...

Je reposais mon regard sur le surveillant. Il était canon ! OK. Je tournais la tête sur le côté en mode"Qu'est-ce que je raconte moi ?..." . Je devais être rouge pétant. Comme d'habitude.
Douleur monumentale. Trop d'informations dans mon cerveau surchargé. Je comprenais pourquoi je devenais Alzheimer. En même temps, là, c'était un peu gros. Je vrillai donc mon regard vers les deux autres... Hnn...Le fameux Noa aussi était pas mal... Mon regard pesait le pour et le contre. Du moins Kristoph et Noa. Blade ne m’intéressait pas... Tant mieux que personne n'était télépathe ici... Sinon je me serai déjà foutu une balle dans la tête.

Inconsciemment, j'enroulais avec délicatesse une mèche de cheveux d'or autour de l'un de mes doigts fin. Donc... J'en revenais à mes réflexions pour le moins ... Hnn. Passant mon regard fantomatique (j'avais toujours eu ce regard inexpressif quand je pensais.) sur les deux apollons... APOLLONS ?! Voilà que je fantasme un peu. Je me repris secouant la tête comme si ç'aurait pu chasser ces pensées pour le moins... Etranges de mon cerveau.
Mes joues reprirent cette rougeur dérangeante. J'aurai voulu m'enterrer sur place. Je retournais ma chaise. Offrant mon dos à tout le monde. Et mes (magnifiques) cheveux blonds qui effleuraient mes reins sans rien demander (goujats.).

Les lèvres pincées, j'observais en face de moi, pour le moins dérangé.

La salle avais enfin repris une composition normale et maintenant plus un mot n’était prononcer. Je m’était un installé sur une table prés du mur afin de pouvoir y appuyé mon dos et avoir une vue panoramique sur la salle et ses "habitant". Passant les yeux sur toute les personnes présente je fus surpris de voir que Braiwave nous tournais le dos ! Hmm pas très mignon le petit ! J'eu un sourire en coin quand la voix de Kristoph se fit entendre.

-J'ai plus rien a demander personnellement. Je finirais bien par m'habitué a sa présence.

C'est vrai je finirais bien par m'habitué a tout ceci ! Oh ! Et il faudra que j'en parle au fille ! D'ailleurs . . . Comment elles vont ces deux la ? faudrait que je prenne de leur nouvel un jour de la vie ! Bref ! Je sais pas ou elles sont et j'ai la flemme d'aller les chercher !
Je me remis sur mes pieds en m'étirant un grand coup, faisant remonter légèrement mon tee-shirt dans le bas, avant de reposer une dernière fois mon regard sur les autres.

-J'vais faire un tour moi . . . Sa dit quelqu'un ? Or not ?

Mon filet d'eau, tout excité, se mis a tourner autour de moi a une allure folle comme un enfant a qui on promet un ballon. A priori il avais compris se qu'il se passait et en semblait ravis ! Je fis un sourire avant de reporter mon attention sur les autres.

Je tournais la tête vers ... Mh... Comment déjà ? Ah ! Oui ! Noa... Bref. Ce Noa allait apparemment partir. Je préférais prendre congé moi aussi... Oh, purée. Je ne voulais pas devoir être à côté de lui, ni-même derrière... Dans un couloir... Sombre... Imaginons en plus qu'il soit gay ! VIOOOOOOOOL ! ♥ Oh, purée...
Je me tapais le front contre le dos de ma chaise. Rien que mes pensées me déprimaient. Non pas que je sois en manque ! Euh... Ouais ! Loin de là. Mais... Qui sait ce que j'aurai pu faire... Laisser de la bave par terre comme un escargot ?... On barre déjà cette option.
Je soupirai, indigné. Je me demandais si les gens voyaient mon petit manège, espérant que non.Quoique... Je devais avoir l'air S-T-U-P-I-D-E. Et tout en majuscule mes choux.
Je reportais mon regard ambré vers Kristoph... Il a vraiment tout pour plaire celui-là ! ... Hum... Regardons ailleurs.
Je bougeais donc mes yeux vers le petit élément tout excité.... TROP CHOU ! Haha.
Bon. REPRENONS NOTRE PUTAIN DE CALME LÀ-DEDANS ! Oh.
Voilà. Mon coeur était léger comme une plume... Et le cerveau... Plus qu'encombré. Oh...
Je poussais un petit soupir, mécontent. J'aurai pu me jeter dans un concasseur, j'aurai eu moins mal au crâne. C'était terrible. Pire que vomir toute sa barbe à papa après être passé dans les montagnes russes. Bref, tout simplement... Eûrk.

"Je pense que... Je vais m'en aller. Je vous ai déjà posé beaucoup de problèmes..."

Je me levai, rangeant bien ma chaise et tout avant de sortir de la salle.. Et puis je fis autant de bruit qu'une plume qui touche le sol quand ce fut mes pieds qui l'effleurait. Ma finesse.. Ah... (non, non, je ne me vante pas ! ... Bon, c'est moi qui raconte.).

Après le calme,et ce que demande le surveillant,je n'avais pas tellement de question,tout ce que je voulais c'étais vivre,Bref,Noa poser une question,je lui répondie tout simplement:

-Ouai moi ça me tente étendonnais la situation,de toute façon je n'est rien à faire d'autres...

Puis j'observa en attendant une réponce de ça part,une dernière fois la salle...

Blade fut le seul qui accepta ma proposition ! Brainwave s'en alla discrètement et Kristoph lui s'en alla d'un air blaser. Pas que tout cela me dérange ! Je lui fis donc un sourire sympa puis tout en m’avançant vers la porte je lui proposa un lieux que j'aimais particulièrement ! Je voulais tester quelque chose

- J’espère que tu as pas peur de l'eau mec ? J'aimerais aller a la plage surfer un peu . . . Sa te dit d'essayer ?

Je retournais mon regard vers lui pour attendre sa réponse. Mon regard se porta sur les inscription faite sur les tables et un petit sourire en coin fit son apparition. Il n'y était pas aller de mains morte le petit blond ! Comment quelqu'un d'aussi frêle peu faire un bordel pareil ?

Attendant ce que venais dire Noa,je fis un sourire,celà devais le tout premiers défie qu'on me lança,je ne pus que dire une chose en étant si exiter:

-Héhé,Mais bien sur,Tu va voir ce que je sais faire haha,mais je ne te ferais pas de cadeau haha!

Puis je me dis que je voulais aussi testé un truc là-bas...
Bref je me dirigea de ce pas tout en lui disant bêtement:

-Va si je te suis,je sais pas où c'est héhé...

Après avoir fait le long chemin du supermarché jusqu'à House, je dus m'aider de la carte du pensionnat pour pouvoir retrouver la classe qui m'avait été assigné et réussit à la retrouver peine, le matériel que j'avais acheter au supermarché sous les bras que je trimbalais avec peine. Arrivant devant la classe, je l'ouvris et constata qu'il n'y avait paersonne, me laissant silencieux. Ce n'est pas que ça me dérangeait, mais j'aurais au moins espérer rencontrer quelqu'un. J'entra pour déposer le matériel que j'avais acheter sur le bureau, dévisageant la salle sans rien dire. C'est ça ma classe ? Hé bien, je sens que ça va être une vrai partit de plaisir. Indifférent, je pris mon matériel et alla le mettre dans le coin, à côté du bureau du professeur. J'avais aussi prit soin d'écrire dessus; " Ne pas touchez, merci ! Le surveillant Gareki ". Je regarda le résultat sans rien dire et me demanda si c'était vraiment convainquant comme truc...

J'alla devant le tableau en silence, prenant l'éponge sans rien dire et asspira l'humidité qu'il y avait dans l'air pour pouvoir mouillé l'éponge. Constatant que l'éponge était suffisament humide, j'arrêta ma manoeuvre pour pouvoir nettoier le tableau sans rien dire. Une fois fait, je déposa l'éponge sur le bureau et m'assit sur ma chaise en me ballançant sans rien dire, comme si c'était tout ce qu'il y avait de plus naturel. Si jamais je tombais, je pouvais toujours me rattraper avec la force du vent vent sur le sol. C'est ce genre de petit avantage que j'amais de savoir que je maîtrisais l'Ether. Bon, je vais un peu attendre et voir ce qu'il en est, puis, je partirais dans le cadre ou il n'y a toujours personne.